Célébration Eucharistique
Ensemble célébrons
Ensemble rendons grâce
Eucharistie signifie " Rendre grâce " c'est-à-dire "MERCI ! "
Qu’est-ce que l’Eucharistie ?
L’Eucharistie est le sacrifice même du Corps et du Sang du Seigneur Jésus,
qu’il a instituée pour perpétuer au long des siècles jusqu’à son retour le sacrifice de la croix,
confiant ainsi à son Église le mémorial de sa Mort et de sa Résurrection. L’Eucharistie est le signe de l’unité, le lien de la charité, le repas pascal, où l’on reçoit le Christ, où l’âme est comblée de grâce et où est donné le gage de la vie éternelle.
Quant le Christ a-t-il institué l’Eucharistie ?
Il l’a instituée le Jeudi saint, « la nuit même où il était livré » (1 Co 11,23),
alors qu’Il célébrait la dernière Cène avec ses Apôtres.
Comment l’a-t-il instituée ?
Après avoir réuni ses Apôtres au Cénacle,
Jésus prit le pain dans ses mains, le rompit et le leur donna, en disant : « Prenez, et mangez-en tous : ceci est mon corps livré pour vous ». Puis il prit dans ses mains la coupe remplie de vin et leur dit : « Prenez, et buvez-en tous, car ceci est la coupe de mon sang, le sang de l’Alliance nouvelle et éternelle, qui sera versé pour vous et pour la multitude en rémission des péchés. Vous ferez cela, en mémoire de moi ».
La consécration à la messe est réelle.
Le Pain et le Vin deviennent vraiment le Corps et le Sang du Christ.
La messe est offerte à Dieu le Père comme geste d’offrande.
L’Eucharistie est une nourriture donnée par Dieu aux hommes afin qu’ils vivent de Lui.
Un chrétien se prépare à recevoir le Corps du Christ. Puis, ensuite,
il est invité à communier à chaque eucharistie, particulièrement le dimanche.
Comment préparer l'animation d'une célebration eucharistique (messe) ?
1ères questions à se poser :
a/ Quel est le temps liturgique en cours (Avent, Noël, Carême, Temps pascal… Temps ordinaire) et ses particularités ?
(Bien marquer les différents temps liturgiques : les temps de Noël et de Pâques seront particulièrement festifs
alors que ceux de l’Avent et du Carême, sans être tristes pour autant, seront plus retenus car ce sont des temps de pénitence et de conversion.
b/ Quel est le type d’assemblée ? Les fidèles sont-ils des pratiquants réguliers ou occasionnels ?
c/ Quel support est proposé à l’assemblée pour encourager sa participation ? Un carnet de chant, une feuille de messe, un écran ?
d/ Quels sont les différents acteurs qui auront un rôle chanté ou musical pendant la célébration (président, soliste, schola, grand ou petit chœur, orchestre, assemblée) et quelles sont leurs talents musicaux ? On s’ajustera aux capacités du lieu et du jour. Même si une « participation pleine, consciente et active » est possible lorsqu’on écoute une chorale interpréter une pièce musicale, on veillera à ne pas faire de nos assemblées des concerts et à favoriser le chant de tous car « chanter, c’est prier deux fois ».
CÉLÉVRATION EUCHARISTIQUE
Ci-dessous
CÉLÉBRATION EUCHARISTIQUE -
(Messe Pèlerinage LCE à la Grotte de Lourdes le mercredi 22 septembre 2021)
Eucharistie
GROTTE DE LOURDES
(Cancer Espérance - septembre 2021)
Rites d’ouverture
Le chant d’entrée
est la porte d’entrée de la célébration, il exprime et réalise l’union des fidèles rassemblés, il aide à entrer dans le mystère célébré et accompagne la procession d’entrée du prêtre et des ministres.
Le chant d’entrée doit favoriser le chant de tous : on choisira de préférence un répertoire participatif en privilégiant des textes « communautaires » (en « nous » plutôt qu’en » je »). N’oublions pas que les messes dominicales sont avant tout célébration du mystère pascal , mémorial du Christ mort et ressuscité !
Il commence au début de la procession des ministres et se termine quand ceux-ci sont arrivés à leur siège.
Chant d'entrée
JE VIENS VERS TOI LES MAINS OUVERTES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant d'entrée
LES MAINS OFFERTES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant d'entrée
MON DIEU MON ÂME A SOIF DE TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant d'entrée
MAGNIFICAT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Préparation pénitentielle et acclamation au Christ
Après l’invitation du prêtre, on garde un temps de silence pendant lequel tous, ministres et fidèles, se préparent à invoquer la miséricorde de Dieu.
Pour la prière pénitentielle et l’acclamation au Christ, on choisira une des quatre formes prévues par le Missel :
• Prière pénitentielle du « Je confesse à Dieu » récité + Acclamation du Kyrie (récité ou chanté)
• Prière pénitentielle du « Seigneur, accorde-nous ton pardon… » + Acclamation du Kyrie (récité ou chanté)
• Triple invocation « Seigneur Jésus, envoyé par le Père… » avec le Kyrie intégré
• Rite de l’aspersion (par exemple, pendant le Temps pascal ou aux messes dominicales…) accompagné d’un chant adapté.
Préparation pénitentielle
KYRIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Hymne de louange
Le Gloria fait partie des hymnes les plus anciennes de l’Église primitive : c’est un des grands modèles de prière chrétienne. Par elle, c’est l’Église toute entière qui loue le Père, supplie l’Agneau, dans la communion de l’Esprit Saint.
Comme toutes les pièces de l’Ordinaire: respecter le texte donné. Choisir une mélodie rendant possible la participation de tous.
Selon les indications du Missel, on chante le Gloria aux messes dominicales, solennités et fêtes.
On l’omet pour les temps de l’Avent et du Carême.
Sauf impossibilité majeure, il sera plutôt chanté, soit avec toute l’assemblée, soit en alternance avec la chorale ou l’animateur. Idéalement, il est chanté sans coupure ni reprise d’un « refrain ». Si l’assemblée ne connaît pas bien le Gloria choisi, on pourra envisager d’utiliser un refrain pour favoriser la participation de tous.
Hymne du Gloria
GLOIRE À DIEU
Msique : Jean-Claude GIANADDA
Liturgie de la parole
Psaume responsorial
Puisque le psaume répond à la Parole de Dieu, il est préférable que la personne qui le chante ne soit pas la même que celle qui lit la Première Lecture.
Le psaume est fait pour être chanté et non récité dans toute la mesure du possible, et il suppose une participation minimale de l’assemblée (par exemple le chant de l’antienne). Cette dernière sera tirée du Lectionnaire, inspirée des paroles du psaume ou de son thème général, voire du temps liturgique ou de la fête célébrée.
S’il est chanté par un chantre, il peut être judicieux que celui-ci psalmodie sur une mélodie libre qui lui permettra de bien mettre en valeur les paroles et d’être en harmonie avec le rythme du psaume. S’il a peu l’habitude de la psalmodie libre, il pourra s’appuyer sur une psalmodie écrite simplement en improvisant quelques variations.
Psaume
Le psaume peut aussi être chanté par toute l’assemblée. Elle peut par exemple le chanter en alternance avec un chantre ou avec une chorale. Dans ce cas, le refrain pourra être pris éventuellement au début et à la fin mais on évitera alors de couper le psaume.
Psaume 33
JE BÉNIRAI LE SEIGNEUR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Acclamation de l’Évangile
« Alléluia » signifie « Louez Dieu « . Cette joyeuse acclamation accompagne habituellement la procession de l’Évangéliaire de l’autel jusqu’à l’ambon.
Pendant le Carême, l’Alléluia est remplacé par une autre acclamation au Christ présent dans sa Parole. Le chant de l’Alléluia et la proclamation de son verset ayant lieu pendant que le prêtre (ou le diacre) se déplace, il ne convient pas que ce dernier proclame le verset.
Attention, la procession vers l’ambon est plus ou moins longue : veillons à ne pas mettre fin trop tôt à l’acclamation.
Après la lecture de l’Évangile, on veillera à garder la réponse « Louange à toi, Seigneur Jésus ! » plutôt que reprendre un Alléluia. En effet, à ce moment de la célébration, l’assemblée ne se contente pas d’une acclamation de joie, mais elle confesse que la Parole de Dieu, c’est le Seigneur Jésus lui-même.
Alleluia avant l'Évangile:
« Alléluia » signifie « Louez Dieu « . Cette joyeuse acclamation accompagne habituellement la procession de l’Évangéliaire de l’autel jusqu’à l’ambon.
Pendant le Carême, l’Alléluia est remplacé par une autre acclamation au Christ présent dans sa Parole. Le chant de l’Alléluia et la proclamation de son verset ayant lieu pendant que le prêtre (ou le diacre) se déplace, il ne convient pas que ce dernier proclame le verset.
Attention, la procession vers l’ambon est plus ou moins longue : veillons à ne pas mettre fin trop tôt à l’acclamation.
Après la lecture de l’Évangile, on veillera à garder la réponse « Louange à toi, Seigneur Jésus ! » plutôt que reprendre un Alléluia. En effet, à ce moment de la célébration, l’assemblée ne se contente pas d’une acclamation de joie, mais elle confesse que la Parole de Dieu, c’est le Seigneur Jésus lui-même.
Acclamation de la Parole
ALLELUIA
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Symbole de la foi (Credo)
Il est récité ou chanté le dimanche et les jours de solennités, selon l’une des deux formes prévues par le Missel (Symbole de Nicée-Constantinople ou Symbole des Apôtres). Il peut aussi prendre la forme baptismale (triple dialogue), utilisée lors de la Vigile pascale et dans le rituel du baptême.
Prière universelle (P.U)
Dans la prière universelle, l’assemblée toute entière exerce sa fonction sacerdotale en suppliant et intercédant pour :
• l’Église et ses pasteurs,
• le monde et ses dirigeants,
• ceux qui souffrent ou sont dans l’épreuve,
• la communauté locale.
Pour cela, il est préférable que l’intention soit présentée à l’assemblée : » (Frères et sœurs), prions pour… afin que… » et que les fidèles répondent par la prière (en général un refrain). Autrement dit, le vrai moment de prière n’est pas à proprement parler l’intention mais le refrain – et le silence qui peut le précéder.
L’essentiel est de veiller à la cohérence de l’ensemble, en évitant par exemple que la demande s’adresse au Père, et le refrain au Christ…
Liturgie eucharistique
Préparation et présentation des dons N°08 - 09
Cette étape marque le début de la liturgie eucharistique. Le pain et le vin « fruits de la terre / de la vigne et du travail des hommes » sont présentés sur l’autel pour que, par la puissance de son Esprit, Dieu les consacre en Corps et Sang de Jésus. De la même manière, chacun des fidèles se prépare et se présente pour être uni à l’offrande de Jésus – pour que Dieu le consacre par la puissance du même Esprit.
Un chant ou une pièce instrumentale peut accompagner et aider à vivre ce moment. Ils dureront tout le temps de la présentation (y compris l’encensement).
Chant d'offertoire
DIEU SEUL SUFFIT
Texte du refrain: Ste Thérèse d'AVILA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant d'offertoire
DIEU SEUL SUFFIT
Texte du refrain: Ste Thérèse d'AVILA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant d'offertoire
TOUTE MA FORCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Louange eucharistique
La manière de proclamer la préface doit appeler le chant du Sanctus par l’assemblée : il est souhaitable que le Sanctus « jaillisse » de la préface (pas d’introduction musicale trop longue). Comme l’Alléluia, le Sanctus est une acclamation de joie : parmi les pièces de l’Ordinaire, ils seront donc chantés en priorité (par rapport au Kyrie, à l’acclamation d’anamnèse ou à l’Agnus Dei).
Louange eucharistique
SANCTUS - SAINT LE SEIGNEUR -
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Ananmnèse
Acclamation d’anamnèse N°11
L’acclamation d’anamnèse est chantée ou dite selon l’invitation choisie par le célébrant. Elle comporte les trois dimensions du « mémorial » prévues par le Missel (mort – résurrection – venue dans la gloire) et s’adresse directement au Christ.(Tu es Vivant) Dans le cas où l’anamnèse est chantée mais n’a pas d’introduction, le prêtre peut l’introduire en disant : « Chantons et proclamons le mystère de la foi ».
ANAMNÈSE
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Doxologie conclusive
La doxologie qui conclut la prière eucharistique est dite ou chantée par le prêtre (seul). Elle est ratifiée par l’acclamation du peuple. La réponse de l’assemblée peut être plus ornée si on souhaite souligner cet Amen – le plus solennel de la liturgie eucharistique.
NOTRE PÈRE ( Le Notre Père est souvent proclamé )
Le Notre Père est dit ou chanté selon les circonstances et ce qui a été convenu.
Ci-joint "Notre PÈRE" chanté
NOTRE PÈRE
Paroles : Évangile
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de PAIX : Le chant de PAIX (Vienne la colombe) est suivi de l'Agneau de Dieu qui est le chant de la fraction du Pain.
Pendant le rite de la Paix on chante " Vienne la colombe" (chant N°12)
Puis, lorsque le rite de la Paix est entièrement terminé, on passe au rite de la fraction du Pain et
au chant de l' Agneau de Dieu
Chant de Paix
( avant l'Agneau de DIEU)
VIENNE LA COLOMBE
Paroles et Musique : Jean-Claude GIANADDA
Agneau de Dieu
L’Agnus Dei, qu’il soit récité ou chanté, accompagne la fraction du pain et aide l’assemblée à entrer dans la solennité et la gravité du moment. C’est donc ce rite de la fraction qui commande le début et la fin du chant de l’Agnus Dei : on le commence au moment où le prêtre débute la fraction et on le termine où le rite s’achève. Si la fraction se prolonge, on peut reprendre l’invocation « Prends pitié de nous » autant que nécessaire. En revanche l’Agnus Dei n’est pas censé accompagner la distribution du Corps du Christ aux prêtres concélébrants.
Acclamation de l'Agneau de DIEU
AGNEAU DE DIEU
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Chants de communion
À chaque Eucharistie, le Christ s’offre en nourriture et nous transforme en Lui. Le chant de communion doit aider à vivre ce moment essentiel en favorisant la paix et le recueillement.
On peut proposer principalement 2 options que l’on pourra cumuler pour les grandes occasions ou si la communion est très longue :
• Soit on opte pour un chant qui commence au moment de la communion du prêtre et qui accompagne la procession des fidèles jusqu’à la fin, en leur permettant d’intervenir au moins un refrain.
• Soit on choisit un chant d’action de grâce paisible, pour prolonger la communion eucharistique en intériorisant la grâce reçue, sans pour autant oublier la dimension communautaire. Le silence aussi est très important dans la liturgie, en particulier à ce moment.
Si la longueur de la communion le requiert, pensons à intercaler des pauses musicales plutôt qu’enchaîner automatiquement tous les couplets sans pause. On peut aussi prendre plusieurs chants.
S’il n’y a pas de chant de communion (par exemple pour des messes très simples de semaine), on lit l’antienne de communion.
Chant de communion
PAR LE PAIN ET PAR LE VIN
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de communion
JÉSUS ME VOICI DEVANT TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de communion
TROUVERS DANS MA VIE TA PRÉSENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de communion
TROUVERS DANS MA VIE TA PRÉSENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de communion
JE VIENS VERS TOI LES MAINS OUVERTES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Rite de conclusion
Chants d’envoi :
Même si le Missel ne prévoit pas de chant final, il est souvent d’usage d’en prendre un. Il manifeste la joie reçue par les fidèles et prolonge en quelques sortes la louange et l’action de grâce. Il n’est pas un temps de prière intériorisée, mais il prolonge le rite d’envoi comme un appel à témoigner et à partager, dans la joie, le don reçu de Dieu.
Un morceau instrumental entraînant pourra aussi accompagner ce temps de l’envoi.
Chant à Marie avant la sortie
CHERCHER AVEC TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de sortie
L'AMOUR EST PLUS FORT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de sortie
L'AMOUR EST PLUS FORT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de sortie
NOUS LE VOULONS CE MONDE BLEU
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Chant de sortie
REPRENDS TA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA