Jean-Claude
GIANADDA
CHANTE MARIE
Année 2021 -
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Ce Cd Jean-Claude GIANADDA CHANTE MARIE
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Vente de ce Cd au profit de :
- Père Pedro Akamasoa Tananarive MADAGASCAR
- Des Soeurs de N.D de la Salette qui font un travail remarquable
auprès des plus pauvres à Ihousy et Tananarive MADAGASCAR
Orientation catéchétique :
Que nous enseigne la Vierge Marie ?
La Vierge Marie nous enseigne à nous tourner vers Jésus.
Marie est avant tout celle qui, parce qu'elle a répondu la première à l'Amour total de Dieu, nous guide à faire de même.
Figure discrète et silencieuse de l'Évangile,
la Vierge Marie est d'abord Celle qui conduit à Jésus.
On ne peut pas séparer la Vierge Marie de la Trinité et de la Rédemption.
Le Concile œcuménique de Nicée, de 325,
a posé les fondements:
- Jésus "Fils de Dieu" « fait homme ».
Le Concile d’Éphèse de 431
ré-affirmé le terme grec « théotokos » : « Mère de Dieu »:
« L’Emmanuel est Dieu en vérité et, pour cette raison
la Sainte Vierge est Mère de Dieu.. »
Refuser le titre « Mère de Dieu » à Marie, ce n’est pas diminuer le statut de Marie, mais celui de Jésus.
C’est refuser la nature divine à l’homme Jésus,
c'est refuser l’union des natures divine et humaine
en l’unique personne du Christ.
Le Nouveau Testament parle peu de Marie. Néanmoins, nous avons assez d’indications pour la connaître, découvrir son attitude profonde de disciple de Jésus, son fils, Fils de Dieu. C’est là le meilleur d’elle-même qui transparaît et éclaire notre foi de Chrétiens.
Jean, l’évangéliste relate une des dernières paroles de Jésus : « Femme, voici ton fils ». Jésus confie l’apôtre Jean à sa mère.
Puis Jésus confie Marie à son disciple : « Voici ta mère » (Jean 19, 25-27)
Par la suite, Marie sera désignée comme mère des Chrétiens, de tous ceux qui reconnaissent le Messie de Dieu sous les traits du crucifié et proclament sa Résurrection.
Au jour de Pentecôte, on retrouve Marie présente au milieu des disciples. Depuis son « oui » de départ, Marie a toujours fait preuve de persévérance dans la foi. Au cours des siècles, les Catholiques ont toujours vu en Marie le disciple par excellence.
En elle, se manifeste tout ce que Dieu peut réaliser en un être humain accueillant la sainteté de Dieu.
La piété mariale est une chance pour l'évangélisation.
Marie médiatrice
Marie intercède pour nous parce que,
en elle, le Fils de Dieu est venu nous sauver.
Marie est associée par le Saint Esprit qui repose sur elle, associée par sa foi à toute la vie du Seigneur,
la Vierge est devenue aussi, au pied de la croix (Jean 19, 25-27), la Mère de tous les hommes sauvés par le Seigneur.
Marie intercède parce qu’elle est la Mère de Dieu et la Mère des hommes, notre mère à chacun de nous. Son intercession est maternelle. Les chrétiens sont attachés à elle à cause de l’Amour Maternel qu’ils ressentent.
Qu’ils soient saints ou pécheurs, tous se tournent vers elle. La raison de cet élan est un attachement de fils vis-à-vis de leur mère. Plus précisément, dans la foi, les chrétiens croient à cette présence unique de leur mère auprès du Sauveur, auprès de la source de toutes les grâces. « Ils croient… »
Nous l’affirmons : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous… »
À Jésus avec Marie !
La fête de l'Assomption !
La fête de l'Assomption est introduite au Ve siècle par l'évêque Cyrille d'Alexandrie.
Autrefois fête nationale de notre pays (en souvenir du vœux de Louis XIII).
L’Assomption célèbre la montée au Ciel de la Vierge Marie,
Mère de Jésus, premier fruit de la résurrection de Jésus.
Au terme de sa vie terrestre, Marie est entrée directement dans la gloire de Dieu,
autrement dit « montée au ciel »,
L’Assomption a été définie comme dogme (c’est-à-dire « vérité de foi »)
par la constitution apostolique Munificentissimus Deus de Pie XII en 1950.
Nous croyons en la « résurrection de la chair » (Credo)
La fête de l'Assomption, offre à notre méditation le Magnificat !
Le Magnificat est,
non pas un discours mais une prière....
Non pas une imploration mais une louange.
Non pas une action mais un regard...
Le Magnificat, célèbre un Dieu étonnant qui se penche sur sa servante
jusqu'à s'unir à l'humanité humiliée.
À Jésus avec Marie !
00 - COEUR IMMACULÉ DE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Que signifie Immaculée Conception ?
Immaculée Conception signifie que la Sainte Vierge est exempte du "péché originel", c'est-à-dire « sans tache ».
Il s'agit d'un dogme de l'Église catholique qui a été proclamé, le 8 décembre 1854 par le pape Pie IX par la bulle Ineffabilis Deus, mais cette croyance existait déjà chez certains Pères de l'Église au IV° siècle. Elle est souvent confondue par erreur avec la conception virginale de Jésus-Christ, c'est-à-dire le dogme de l'Incarnation, mais elle ne concerne que la conception de Marie elle-même.
L'Immaculée Conception est célébrée par l'Église catholique le 8 décembre lors de la fête qui lui est dédiée. Il s'agit d'une fête de précepte.
RÉFLEXION :
Le Pape François, dans le cadre de l’année de la foi, en consacrant le monde au Cœur Immaculé de Marie le 13 octobre 2013 invite toute l’Église et le monde à oser la foi totale dont Marie est le modèle et le guide. C’est un appel et un espoir affirmant que la foi est à la portée de l’Homme, qu’elle est possible !
La virginité spirituelle signifie :
- la fidélité aux Écritures,
- l’ouverture aux autres
- et la pureté de la foi.
Les paroles de Marie aux serviteurs du banquet de noce à Cana (Jn 2,1-12) sont une invitation à tous les peuples à devenir une partie du nouveau peuple de Dieu.
Prière :
Merci Coeur Immaculé de Marie de m'avoir accordé votre protection tout au long de ces 50 années "d'activité chantée", de m'avoir guidé et conduit vers Jésus.
Merci de m'avoir obtenu l'énergie, la santé...et les grâces nécessaires pour affronter les difficultés, et gagner les combats...Merci de m'avoir obtenu le goût d'être pleinement de mon temps... et la soif de l'aventure pour devenir moi-même: homme libre et abandonné à Dieu.
Obtenez-moi la grâce d'aimer davantage Jésus.
COEUR IMMACULÉ DE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Dans les Evangiles Marie est très discrète.
Elle est là au début- Elle est là à la fin.
J’ai envie de croire qu’elle a accompagné Jésus durant sa vie publique. Et qu’elle était même présente au temps de l’Eglise Primitive. (Souvenez-vous la Pentecôte au milieu des apôtres)
Jean 2, 1-12 Cana « Ils n’ont plus de vin…. Mon heure n’est pas encore venue… » « Tout ce qu’Il vous dira faites… ! »
Qu’est-ce que Jésus est venu nous dire ? Il est venu nous dire la FILIATION
- Filiation à Dieu Père (Notre Père)
- Filiation à Marie (« Voici ton fils voici ta mère »)
Partager son humilité, son mystère, sa pauvreté, sa discrétion,
c'est le meilleur moyen de connaître MARIE, et la connaître c'est découvrir la Sagesse
Marie parmi tous les saints est en tout incomparable. Elle possède leur sainteté et pourtant elle ne ressemble à aucun. Et, malgré tout, nous pouvons exprimer le désir de lui ressembler. La raison en est que, de toutes les créatures, c'est elle qui a le plus parfaitement atteint la ressemblance avec Dieu, ressemblance que Dieu a voulu trouver, à des degrés divers, en nous tous. C'est quand nous nous serons dépouillés et serons devenus aussi humbles et aussi discrets qu'elle, ressemblant à Lui en ressemblant à elle, que nous Le possèderons le plus véritablement.
Cd N°1
01 - AVE MARIA, ENTENDS NOS PRIÈRES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
À Jésus avec Marie !
L'Ave Maria (c'est-à-dire «Je vous salue Marie», en latin) est certainement la plus connue et la plus répandue de toutes les prières à la Vierge Marie notre Mère.
C'est à partir du XIIIe siècle que plusieurs conciles en France, en Espagne, en Angleterre et en Germanie proposèrent cette prière au peuple chrétien : elle faisait partie de celles que tout fidèle devait connaître. Les moines cisterciens et les religieux dominicains contribuèrent très activement à sa diffusion.
Saint Bonaventure et saint Thomas d'Aquin reprirent aussi cette prière dans leurs traités.
« Maria. Mamma di tutti » (i.e. Marie. Mère de nous tous), éditions San Paolo, sorti depuis peu, le Saint-Père partage avec nous ses réflexions et les prières qu’il dédie à Marie et, en même temps, nous aide à comprendre le fond, ou à nous rappeler tout simplement, la vrai signification des paroles de la prière dédiée à la Mère de Dieu la plus connue et la plus ancienne : le Je vous salue Marie.
Qui est la Vierge Marie ?
Lorsqu’elle se présente, elle nous dit son nom: " Je suis l’Immaculée "
Mais ce n’est pas cela qu’elle est premièrement. Elle n’est pas non plus d’abord l’épouse de saint Joseph, ou la fille d’Anne et Joachim. Ni la Reine des Cieux, ou la Vierge des vierges, ou la Porte du Ciel… Elle est tout cela mais elle est surtout, principalement,
la Mère de Dieu, la Mère de Jésus-Christ qui est Dieu. Dans ce titre de gloire sont contenus tous ses autres privilèges et tous ses autres noms.
01.- AVE MARIA entends nos prières
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
01.- AVE MARIA entends nos prières
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
01.- AVE MARIA entends nos prières
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 -BÉNIE SOIS-TU, MARIE POUR JÉSUS TON ENFANT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Peut-on trop aimer la Mère de Dieu ?
Pour nous faire une idée de l’amour qu’il convient de lui offrir, regardons quelle bienveillance lui porta Dieu lui-même : au commencement des siècles il songeait déjà à la parer de toutes les qualités de la nature et de la grâce… et lorsque fut venue l’heure de lui donner l’existence, il en fit le chef d’œuvre de sa création ! Sachant qu’elle serait sa Mère, il la combla merveilleusement de ses dons les plus précieux, au point d’épuiser, s’il était possible, les ressources de sa toute-puissance. Nulle créature ne fut davantage l’objet de la prédilection divine.
02.- BÉNIE SOIS-TU MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
03 - BÉNIE SOIS-TU MARIE VIENS HABITER NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
À Jésus avec Marie !
En mourant sur la croix, Jésus offrait sa Mère aux hommes. En disant à son Apôtre Jean :
« Voici ta mère », c’est comme s’il nous eût dit :
« Aime ma mère ! Aime-la comme je L’ai aimée. »
(Jean 19-)
Pourquoi se consacrer à la Vierge Marie ?
Si le Christ est notre intercesseur pour atteindre le coeur de Dieu Notre Père, la Vierge Marie nous permet, elle d’atteindre le coeur de Jésus.
En nous mettant à son école, sous sa protection, il nous est ensuite plus simple de comprendre les vicissitudes de la vie, de faire face avec courage et humilité à nos épreuves.
Elle nous permet de nous servir de son coeur Immaculé pour apprendre à aimer entièrement. Elle nous mène sur un véritable chemin de purification qui nous permettra de nous rapprocher de son Fils Jésus.
Elle nous aide à développer un véritable esprit de charité à l’égard de notre prochain. Se consacrer à la Vierge Marie, c’est prier à ses intentions si nombreuses. Celles qui reviennent le plus souvent sont liées à la paix dans le monde.
Un choix que nous devons reformuler jour après jour pour montrer notre fidélité et surtout afin de confier chacune de nos journées.
La Vierge Marie nous envoie par la suite nombre de grâces pour nous porter sur notre chemin de sanctification. Elle nous aide également à trouver nos réponses, à discerner ce que le Seigneur veut pour nous. Elle nous montre le chemin que le Père avait choisi pour nous au moment de notre création.
Consécration à la Vierge Marie
(Mgr Alberto Cosme do Amaral (1916-2005) – Evêque de Fatima de 1984 à 1993 )
Vierge Marie, Mère de Dieu et notre Mère
Nous nous consacrons à ton cœur immaculé.
Nous Te choisissons, aujourd’hui,
Pour notre Mère et notre Reine.
Étends sur nous, sur notre Église et sur l’humanité entière
Ta maternelle protection.
Donne la Paix à notre terre.
Garde-nous de toute injustice,
De toute division,
De toute violence et de toute guerre.
Renouvelle, dans la puissance de l’Esprit Saint,
Notre Église diocésaine de Marseille.
Ravive son souffle missionnaire
Afin qu’elle porte l’Évangile avec foi et audace.
Suscite, en son sein, de nombreuses vocations :
Des hommes et des femmes
Qui s’engageront en ton Nom
Pour être de véritables témoins,
Prophètes et évangélisateurs
Dont notre monde a tant besoin.
Jette ton regard de bonté sur toutes nos familles et nos communauté religieuses.
Restaure-les et fortifie-les par ta grâce.
Qu’elles deviennent des Communautés vivantes où s’épanouissent
la foi, l’Espérance et l’Amour
Amen !
(Mgr Alberto Cosme do Amaral (1916-2005) – Evêque de Fatima de 1984 à 1993 )
03.- BÉNIE SOIS-TU MARIE VIENS HABITER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - BIENHEUREUSE MÈRE DE DIEU
Paroles : Danielle SCIAKY - Musique : Jean-Claude GIANADDA
La piété mariale est souvent associée à un culte sentimental et populaire, réservé aux enfants, aux ignorants ou aux croyants d'un autre âge. Or une authentique piété mariale transporte au cœur de la foi chrétienne, de telle sorte qu'il devient impossible de dissocier Marie de l'action de la Trinité en faveur des hommes.
Quel catholique n’a jamais vu un autre chrétien s’étonner de la place qu’il réserve dans sa vie et sa prière à la Mère de Jésus, voire lui reprocher de rendre un culte trop ostentatoire à la Vierge Marie ? Il arrive même que cette critique émane parfois d’un catholique ! En pareil cas, que répondre afin de justifier notre piété mariale ?
Ne jamais séparer la Vierge Marie de la Trinité et de la Rédemption
En la matière, il ne suffit pas de mettre en avant les débordements de notre affection pour la Mère de Dieu. Sinon, on pourra toujours nous objecter que notre zèle marial porte l’empreinte d’un complexe œdipien, d’une fixation sur l’amour maternel (qui nous a manqué, ou bien que nous regrettons), et accuser ainsi notre piété de résulter davantage de notre affectivité que d’un ancrage dans l’objectivité de la foi. Rendre raison de la place de Marie dans l’ensemble organique de la foi, demande de cultiver une vue d’ensemble des divers articles du Credo. Sans doute tout le monde n’est-il pas appelé à être théologien. Mais si on nous presse un jour de justifier notre amour pour la Vierge et la grande place que nous lui accordons, il sera difficile de ne pas mentionner les liens entre Marie et les trois mystères majeurs de la foi : la Trinité, l’Incarnation et la Rédemption.
La Vierge au cœur du dispositif de la Rédemption
On reconnaît en effet une authentique piété mariale au fait qu’elle nous transporte au cœur de la foi chrétienne, de telle sorte qu’il devient impossible de dissocier Marie de l’action de la Trinité en faveur des hommes. La Vierge reste toute relative à Dieu. Sa mission et sa maternité spirituelle n’ont pas pour but d’arrêter les regards sur sa personne, mais de les reporter sur la Trinité, source et terme du salut.
Ainsi replacé dans le cadre trinitaire, notre amour pour la Vierge met en valeur les harmoniques, ainsi que l’architectonique, du plan de salut dans lequel s’insère la personne de la Vierge. Dans les gloires de Marie, tout tourne à la gloire de Dieu. Nul ne le sait davantage que l’humble servante de Nazareth.Après Saint Jean et Saint Paul, la Tradition de l'Église enseigne que Marie a participé à la formation du Christ, à son action rédemptrice
et à la fondation de l'Église.
Prière: Vierge Marie :
=> Vierge Marie « La première en chemin », merci de nous prendre par la main et de nous inviter avec toi à oser la confiance.
=>Vierge Marie « La première en chemin », toi qui accueilles toujours avec bienveillance la prière de tes enfants. Obtiens-nous la grâce de garder en notre cœur ton Fils ressuscité en ne faisant aucun obstacle à l’œuvre de l’Esprit Saint en nous.
=> Vierge Marie "La première en chemin" , Cœur Immaculé de Marie, trésor inépuisable de grâce, nous nous confions à toi, ainsi que nos familles et ceux qui nous sont chers.
Apprends-nous à répondre oui à Dieu, dans l’humilité, la pureté du cœur, la simplicité et l’abandon à sa volonté, pour notre salut et celui du monde entier.
=> Vierge Marie « La première en chemin », comme tu nous l’ enseigne à travers la statue de Notre Dame de la Garde, tu n'es pas montrée comme une mère possessive qui garde son enfant contre elle. Bien au contraire, tu es celle qui nous donne Jésus. Puisque tu nous conduit à son Fils,
Enseignes-nous la foi la plus ajustée à son Fils. Garde-nous sous ta maternelle protection.
Que par tes mains nous soit donnée la miséricorde divine pour qu’elle sanctifie notre cœur et celui des pécheurs, les rendant semblables à celui de Jésus.
=>Vierge Marie « La première en chemin », par ton intercession, ô Marie, fortifie notre foi, et ravive notre charité.
04.- BIENHEUREUSE CELLE QUI A CRU
Paroles : Danielle SCIAKY
Musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - CHANGE NOS VIES VIERGE MARIE EN JOURS DE FÊTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
À Cana Marie, Mère de Jésus intervient pour que la fête ne soit pas affectée et puisse se poursuivre.
La dévotion à Marie est née dès les origines du christianisme, nourrie par le texte apocryphe Protévangile de Jacques plus que par les textes peu nombreux du Nouveau Testament.
Mais le culte plus officiel rendu à Marie s’est développé surtout à partir du VIe siècle, à la fois dans les églises d’Orient et d’Occident.
Ce chant à Marie insiste sur son rôle et sa mission d’être la première : première sur notre chemin, première entre l’humain et le divin en étant la Mère de Dieu, première à nous prendre la main et à prendre en main notre destin.
Utilisation : chant pour une veillée. Lors d’une célébration, plutôt un chant d’envoi : nous repartons avec Marie sur les chemins de la vie.
05.- CHANGE NOS VIES VIERGE MARIE EN JOUR DE FÊTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
06 - CHANTE AVEC MOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La Vierge Marie intercède pour nous
Dans le chapelet, nous répétons sans cesse : « Priez pour nous, pauvres pécheurs ». Cette prière humblement ressassée, qui jaillit du fond de notre pauvreté, creuse en nous la soif du salut. Si nous supplions vraiment – pas de manière formaliste ou, pire, pour en tirer gloire (du genre : moi, je récite le rosaire tous les jours) –, ce cri va peu à peu nous briser le cœur et l’ouvrir à la lumière de l’Esprit saint. La Vierge Marie nous apprend aussi à nous abandonner à la miséricorde. Elle est la première des créatures à avoir le cœur brisé, sans avoir péché, pour la raison très simple qu’elle sait ce qu’est le péché, pour avoir vu son Fils mourir en croix à cause du péché. Elle est la première créature pardonnée puisqu’elle a été préservée, ce qui est le comble du pardon."
06.- CHANTE AVEC MOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - CHERCHER AVEC TOI DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
" À Jésus par Marie "
La consécration à Marie de saint Louis-Marie Grignion de Montfort est une école de sainteté reconnue. Mais comment vivre pleinement son exigence de laisser Marie totalement « disposer de nous » ?
Consécration à Jésus par Marie est une prière, où nous nous donnons à Jésus par la Vierge Marie.
Elle a été rédigée par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (1673-1716).
Faire toutes choses « avec Marie, en Marie, par Marie et pour Marie ». C’est l’appel ardent lancé il y a plus de trois siècles par Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, pour « établir le règne de la Très Sainte Vierge Marie » sur la Terre. Largement encouragée en son temps par saint Jean-Paul II – qui emprunta sa devise pontificale Totus tuus à une prière de Grignion de Montfort.
Une multitude de fidèles continue aujourd’hui encore de répondre à cet appel, en se consacrant tout entier à Jésus par les mains de Marie.
Prière de consécration à la Vierge Marie -
(Saint Louis-Marie Grignion de Montfort)
Je vous choisis, aujourd'hui
ô Marie,
en présence de toute la cour céleste,
pour ma Mère et ma Reine.
Je vous livre et consacre,
en toute soumission et amour,
mon corps et mon âme,
mes biens intérieurs et extérieurs,
et la valeur même de mes bonnes actions
passées, présentes et futures,
vous laissant un entier et plein droit
de disposer de moi,
et de tout ce qui m'appartient,
sans exception,
selon votre bon plaisir,
à la plus grande Gloire de Dieu,
dans le temps et l'éternité. Ainsi soit-il
" Marie tu marches d’un pas assuré, sur cette route que Tu dois suivre, avec ton Fils pour aller jusqu’à la Rédemption, jusqu’à notre Salut, jusqu’à la Croix. Tu vas sans crainte car le trouble ne pénètre pas ton âme virginale. Marie, tu scrutes la route pour découvrir les beautés de la Création que Dieu y a prodiguées, mais aussi pour voir se profiler dans le lointain l’ombre de la Croix, ce qui donne à ton regard cette gravité qui émeut. Sachant par avance ce que va coûter à ton petit Jésus le Salut de cette pauvre humanité pécheresse, d’un geste impulsif et maternel tu Le presses sur son cœur".
07.- CHERCHER AVEC TOI DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07.- CHERCHER AVEC TOI DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07.- CHERCHER AVEC TOI DANS NOS VIES : Con Tìm Với Mẹ
Interprétation et traduction:
groupe japonais :
ANGELO BAND (Official MV)
Con Tìm Với Mẹ
08 - DÉCOUVRIR LA SOURCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La source
Dans le Psaume 36 v 9, le psalmiste professe telle une proclamation solennelle un principe divin fondamental « Car auprès de toi est la source de la vie », c’est le cri de son cœur. Un cœur qui a reçu, tel un vase, la substance lui permettant de voir pleinement la réalité de Dieu. Ses yeux se sont ouverts et par la révélation de l’Esprit-Saint (La Lumière), il a vu la réalité du royaume de Dieu (La Lumière). Avant de pouvoir nous abreuver à cette source décrite par le psalmiste, il convient de la trouver. Or il est impossible de pouvoir y accéder sans la Lumière de Dieu. Il ne s’agit pas ici de compréhension intellectuelle, de savoirs ou de capacités personnelles, mais plutôt d’abandon, de soumission et de relation.
Il nous faut être remplis de Sa connaissance, Sa révélation, Sa Lumière, afin qu’Il illumine les yeux de notre cœur dans le but de connaître l’espérance qu’il nous a donné et à laquelle nous sommes appelés en vue de la réception de ce qu’Il nous réserve dans les cieux. (Éphésiens 1 v 17-19)
Cette source dont il est question n’est pas n’importe quelle source. C’est elle qui porte la vie, en laquelle nous trouvons « LA VIE ». Pas la vie que le naturel nous donne mais la vie de Dieu. La vie à laquelle Dieu, de toute éternité, nous a prédestinés. Cette vie qu’Il nous a offert lorsqu’Il a créé Adam dans son plan d’origine. Cette vie en relation avec Lui, ce contact, cette connexion perpétuelle avec Lui. Lorsque Dieu forma Adam de la matière terrestre, la bible nous dit qu’Il lui souffla dans les narines un souffle de vie et il devint « une âme vivante ». (Genèse 2 v 7) Le mot utilisé ici est le même que celui utilisé dans le Psaume 36. Il vient de la racine « היח » « khaw–yaw’ » qui à la fois signifie vie mais également éternité, guérison.
Dans la conscience religieuse universelle, les eaux sont senties à la fois comme faisant mourir et faisant vivre :
«L'eau est ce qui tue et ce qui fait vivre».
Le symbolisme de l'eau est donc radicalement ambivalent. Pas de vie sans eau : dans le ventre de sa mère, l'enfant grandit dans les eaux, sources fécondes, sources maternelles. Toute sa vie, l'enfant, devenu homme, aura un besoin radical d'eau pour boire et aussi pour se laver. Les eaux sont la substance primordiale et le fondement du monde entier.
L'eau est «germinative» et source de toute vie. L'eau est appelée «eau vive».
Du déluge à une nouvelle création
Mais les eaux sont aussi celles du déluge destructeur de toute vie. L'histoire du déluge est celle d'un cataclysme mortel comme un typhon. L'eau d'une inondation subite après un orage est une eau qui détruit et qui tue. Mais, paradoxalement, après la mort vient la vie : le déluge ouvre sur le récit d'une nouvelle création, d'une régénération. L'univers repart à neuf. La vie renaît aussitôt après. C'est ce qu'évoque, dans notre inconscient collectif, tout rite de passage par l'eau : il «renvoie à des eaux primordiales» d'où sont sortis tous les êtres déterminés. «Le rite des eaux a donc valeur de recréation et de renaissance pour l'existence historique» (L. Beirnaert).
Ce symbolisme de vie et de mort est lié à celui de l'eau purificatrice. La psychologie jungienne y verra un de ces archétypes qui habitent la «psychè» de l'humanité. Mircea Eliade estime que le rite de l'immersion exprime l'abolition de l'histoire :
Le symbolisme de l'eau dans le baptême fait référence à ces données : l’Église des premiers siècles a reconnu aux eaux baptismales une fonction mortifiante et maternelle.
Les eaux du baptême, comme les eaux de tout bain rituel, sont donc bien, elles aussi «sépulcrales et maternelles». Pour Ephrem le Syrien le baptême est un nouvel uterus. L’Église est aussi un uterus. La célébration de la Vigile pascale reprend, dans la prière de bénédiction de l'eau, le thème des eaux depuis la création et le déluge, et de l'eau élément de purification radicale. Le rite chrétien reste donc bien enraciné dans la conscience religieuse universelle. Le mystère de l'eau est en effet omniprésent dans l'Ancien Testament : les eaux de la Genèse, matrice de la création ; les eaux du déluge liées à l'alliance avec Noé ; les eaux de la mer rouge : libération de la servitude ; les eaux du Jourdain, liées à l'entrée dans la terre promise. Jésus entre dans cette histoire par son baptême dans le Jourdain et son dialogue avec la Samaritaine sur «l'eau vive». (Père Bernard Sesboüé, jésuite" La Vierge Marie est un « pare-feu »)
Dieu est tout proche de nous, mais il est aussi le tout-autre et son amour est un feu dévorant. Plus nous désirons cet amour, et plus nous avons besoin de l’humilité de Marie pour y entrer. L’amour de Dieu est trop grand pour nous, il a quelque chose d’insoutenable – sauf si nous consentons à être tout petits, comme Marie et avec elle. Où l’amour de Dieu se manifeste-t-il avec le plus de force ? À la croix. Et c’est justement là qu’il nous donne sa mère afin qu’en elle, nous redevenions des petits enfants, capables d’entrer dans le mystère de l’amour trinitaire.
La Vierge Marie nous conduit à Jésus et Jésus nous conduit à elle
" Soyons clairs : le but, c’est Jésus. Même lorsqu’elle s’adresse à Marie, aux saints et aux anges, notre prière est, fondamentalement, pour Dieu seul. Quand nous apprenons à prier aux enfants, il est important de ne pas mettre Jésus et Marie sur le même plan. Mais il n’y a pas concurrence entre Jésus et Marie, comme si en priant l’une, on risquait de négliger l’autre. Marie ne garde rien pour elle : sans cesse, elle nous tourne vers son fils. En même temps, plus nous mettons la prière au cœur de notre vie, plus nous sentons le besoin de nous appuyer sur la supplication de la Sainte Vierge. L’amour brûlant de la Trinité nous conduit dans les bras de Marie, qui sont comme un refuge pour nous, ses enfants." (Christine Ponsard)
08.- DÉCOUVRIR LA SOURCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08.- DÉCOUVRIR LA SOURCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - DEVANT TON ICÔNE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
l’icône
« Ce que l’Evangile nous dit par la Parole, l’icône nous le montre et nous le rend présent. » Ainsi, tout, dans l’icône, a un sens profond. L’Incarnation est le fondement de l’icône, et les icônes de la Mère de Dieu manifestent que « la place de la Vierge Marie est au centre de l’histoire du salut. En fait, la Providence divine, respectant la liberté des créatures, ne pouvait pas trouver son plus haut accomplissement dans l’Incarnation du Fils de Dieu avant que la Vierge Sainte n’ait consenti à ce que « le mystère resté caché depuis les siècles et les générations » (Col 1, 26) se réalise en elle, faisant d’elle la Mère de Dieu. »
L’Incarnation est le fondement de l’icône, et les icônes de la Mère de Dieu manifestent que « la place de la Vierge Marie est au centre de l’histoire du salut. En fait, la Providence divine, respectant la liberté des créatures, ne pouvait pas trouver son plus haut accomplissement dans l’Incarnation du Fils de Dieu avant que la Vierge Sainte n’ait consenti à ce que « le mystère resté caché depuis les siècles et les générations » (Col 1, 26) se réalise en elle, faisant d’elle la Mère de Dieu. »
La tradition reconnaît en saint Luc le premier iconographe de la Vierge à l’Enfant. Dans son évangile, saint Luc ne cesse de méditer sur le mystère du Christ et de Marie. En portant son Fils dans ses bras, la Vierge, qui « gardait toutes ces choses dans son cœur » (Lc 2, 19) médite toutes les paroles qu’elle a entendues : celles des bergers et des mages, et celles de Syméon, lui dévoilant, au Temple de Jérusalem, que son Enfant sera un signe de contradiction et qu’elle-même sera transpercée par un glaive.
Dans le modèle de la Vierge de Vladimir, l’Enfant regarde sa Mère, tandis que Marie nous regarde. Celui qui contemple l’icône est invité à entrer dans un dialogue silencieux de prière et d’amour entre le Christ et sa Mère et, avec eux, dans la méditation des Ecritures.
Le regard de la Vierge est grave, presque douloureux ; à travers elle, l’Eglise relit la vie du Christ-Enfant à la lumière pascale : « La lumière est entrée dans les ténèbres. Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas accueilli » (Jn 1, 11).
La Vierge nous présente avec tendresse son Fils, cet enfant innocent qui, pressentant déjà le refus des ténèbres, dit : « Me voici, Seigneur, je viens faire ta volonté » (Ps 39). Elle nous le donne comme si elle le livrait, dans sa petitesse et sa vulnérabilité, à notre liberté. « Son geste peut s'interpréter à la fois comme une désignation : elle montre le Sauveur ; comme une prière : elle intercède auprès de lui en faveur du genre humain ; comme une offrande : elle participe au don que l'Enfant fait de sa vie. ».
Le nimbe doré (auréole) des personnages signifie la sainteté : l’or symbolise le ruissellement de lumière divine en celui qui vit dans l’intimité de Dieu. Pour le Christ, le nimbe est crucifère : marqué du signe de la croix, et des lettres grecques signifiant le nom divin révélé à Moïse : « Celui qui est » (Ex 3, 4).
Auprès de Jésus les initiales de son Nom « Jésus-Christ » IC XC sont inscrites en grec.
Il se manifeste dans sa double nature, humaine et divine. Comme tous les petits enfants, Jésus a dû tant aimer sa maman ! Il se blottit contre Elle dans un geste d’infinie tendresse, mais en même temps il la console et la réconforte. Les gestes affectueux de la Mère et de l’Enfant témoignent de l’amour humain réciproque. Cependant tout sentiment humain dans une icône est transfiguré. Avec sobriété, l’icône décrit le bouleversant amour fou de Dieu pour l’homme, et la réponse de l’homme à Dieu, la rencontre entre l’homme et Dieu. La compassion de Marie pour son Enfant se transforme en amour maternel qui saisit toute la création et embrasse toute créature : ainsi est soulignée l’intercession perpétuelle de Marie pour toute l’humanité pour laquelle son Fils se sacrifie volontairement : « Voici ta mère » (Jn 19, 27). Marie est, pour nous, la toute-puissance suppliante.
L’icône est peinte sur un fond lumineux signifiant la présence de Dieu. Le ton «argile» de la robe de l’Enfant-Jésus symbolise la nature humaine qu’Il assuma pour notre salut, tandis que le modelé or souligne sa divinité (ces fins traits d’or sont appelés assist, l’or symbolisant la lumière divine). La couleur pourpre du manteau et du voile (maphorion) de la Vierge indique la royauté donnée à la servante du Seigneur. Elle symbolise aussi l’amour divin qui a revêtu Marie. Le ton bleu de sa robe et de son bonnet peut évoquer la sagesse et la fidélité. Les étoiles qui brillent sur son front et sur ses épaules marquent l’éclat de sa virginité. Les initiales grecques MP OU la désignent comme Mère de Dieu, nom dont elle fut désignée au Concile d’Ephèse en 431.
« Ainsi l'icône de la Mère de Dieu fait-elle participer celui qui la contemple au mystère de la tendresse divine. »
09.- DEVANT TON ICÔNE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - DIS-LUI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Tournons-nous vers l'Église du Christ: "Lumière des Peuples",
Tournons-nous vers Marie sa Mère et notre Mère, qui nous parle pour mieux nous conduire à son Fils, Jésus-Christ, Notre-Seigneur.
Marie intercède pour nous parce que, en elle, le Fils de Dieu est venu nous sauver.
Marie est associée par le Saint Esprit qui repose sur elle, associée par sa foi à toute la vie du Seigneur,
la Vierge est devenue aussi, au pied de la croix (Jean 19, 25-27), la Mère de tous les hommes sauvés par le Seigneur.
Marie intercède parce qu’elle est la Mère de Dieu et la Mère des hommes, notre mère à chacun de nous. Son intercession est maternelle. Les chrétiens sont attachés à elle à cause de l’Amour Maternel qu’ils ressentent.
Qu’ils soient saints ou pécheurs, tous se tournent vers elle. La raison de cet élan est un attachement de fils vis-à-vis de leur mère. Plus précisément, dans la foi, les chrétiens croient à cette présence unique de leur mère auprès du Sauveur, auprès de la source de toutes les grâces. « Ils croient… »
Nous l’affirmons : « Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous… »
Commentaire et utilisation :
Prière toute simple de confiance et d’abandon envers Marie, quand on vient faire brûler un cierge devant sa statue ou son icône.
Chant pour une veillée mariale, une procession aux flambeaux à Lourdes...
10.- DIS-LUI, MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10.- DIS-LUI,MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - MAGNIFICAT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Magnificat-Lc 1, 46-55
n'est pas une prière à Marie mais il s'agit d'un chant de Marie à son Seigneur : " Le Puissant fit pour moi des merveilles Saint est Son Nom"
Le Magnificat nous fait contempler en Marie la réalisation parfaite de la pauvreté évangélique
Ce Magnificat célèbre la miséricorde divine qui, grâce au Fiat de Marie, commence à introduire la nouvelle alliance par laquelle vont s’accomplir les promesses faites dans l’ancienne alliance à Israël,
à Abraham et à sa descendance.
Comme toute la liturgie est l’acte de la communauté chrétienne qui se laisse « agir » par son Dieu, on comprend que le Magnificat ait une place privilégiée dans la liturgie des Heures : il est, chaque jour, le cœur de l’office de Vêpres ; on le chante debout, après s’être signé, pendant que le célébrant encense l’autel, quand il y a lieu de le faire.
Le Magnificat est le cantique chanté par la Vierge Marie après l'Annonciation, lors de la visite qu'elle rend à sa cousine Élisabeth, plus âgée qu'elle et enceinte. ...
Également intitulé Cantique de Marie, ainsi que Cantique de la Vierge,
le Magnificat est tiré de l'Évangile
de Luc, 1, 46-56
Le Magnificat est le chant d'action de grâce de Marie, en réponse à la salutation d'Élisabeth, sa cousine, rapporté par l'évangile de Luc, est le plus beau des cantiques bibliques. Déjà en usage dans la communauté primitive de Jérusalem, il y a deux mille ans, il fut longtemps un des chants les plus populaires de la liturgie chrétienne. Pourtant, la majorité des exégètes ne l'attribuent plus à Marie aujourd'hui...
Nous avons des raisons très sérieuses d'attribuer ces mots à la Mère de Jésus elle-même. C'est Marie qui les transmit à la communauté primitive.
Il montre l'universalité et l'originalité du Magnificat : le renversement des hiérarchies humaines et des structures d'injustices pour nous faire entrer dans la révolution de l'Amour de Dieu. En ce sens, Marie ne serait-elle pas le Premier Évangéliste ?
Le Magnificat est la prière de Marie à son Dieu.
La prière de Marie s’accomplit en fait dans le « Magnificat », sa « profession de foi » (Luc, 1, 46-55). Ce n’est plus la prière à Marie, c’est la prière de Marie. Chacun de nous peut en faire sa prière quotidienne. Elle est, en effet, l’action de grâce de Marie qui a cru en la Parole de Dieu. Même si sa situation humaine est angoissante, elle peut louer Dieu pour sa miséricorde infinie, son « amour qui s’étend d’âge en âge » et reconnaître qu’il entend l’appel des pauvres et des petits. « Le Seigneur fit pour moi des merveilles ! Saint est son nom ! » Avec la Vierge Marie nous apprenons la louange et l’action de grâce, nous devenons disciples et nous ouvrons notre cœur au Seigneur. Soyons heureux de la prier et d’apprendre par elle à prier Dieu notre Père.
Le Magnificat est :
non pas un discours mais une prière....
Non pas une imploration mais une louange.
Non pas une action mais un regard...
Le magnificat, célèbre un Dieu étonnant qui se penche sur sa servante
jusqu'à s'unir à l'humanité humiliée.
11.- MAGNIFICAT !
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
12 - MAGNIFICAT CHANTONS ENSEMBLE SES MERVEILLES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La prière du Magnificat est une prière directement tirée de l’Évangile selon saint Luc (1,42-55), aussi nommée cantique de Marie.
La Vierge Marie, enceinte de Jésus, rend visite à sa cousine sainte Elisabeth. Lorsqu’elle entre dans la maison de Zacharie et Elisabeth, cette dernière est remplie d’Esprit Saint et nous offre la belle et puissante prière à Marie qu’est le Magnificat.
Le Magnificat est le cantique chanté par la Vierge Marie après l'Annonciation, lors de la visite qu'elle rend à sa cousine Élisabeth, plus âgée qu'elle et enceinte. ...
Également intitulé Cantique de Marie, ainsi que Cantique de la Vierge,
le Magnificat est tiré de l'Évangile
de Luc, 1, 46-56
Le Magnificat est le chant d'action de grâce de Marie, en réponse à la salutation d'Élisabeth, sa cousine, rapporté par l'évangile de Luc, est le plus beau des cantiques bibliques. Déjà en usage dans la communauté primitive de Jérusalem, il y a deux mille ans, il fut longtemps un des chants les plus populaires de la liturgie chrétienne. Pourtant, la majorité des exégètes ne l'attribuent plus à Marie aujourd'hui...
Nous avons des raisons très sérieuses d'attribuer ces mots à la Mère de Jésus elle-même. C'est Marie qui les transmit à la communauté primitive.
Il montre l'universalité et l'originalité du Magnificat : le renversement des hiérarchies humaines et des structures d'injustices pour nous faire entrer dans la révolution de l'Amour de Dieu. En ce sens, Marie ne serait-elle pas le Premier Évangéliste ?
Le Magnificat est la prière de Marie à son Dieu.
La prière de Marie s’accomplit en fait dans le « Magnificat », sa « profession de foi » (Luc, 1, 46-55). Ce n’est plus la prière à Marie, c’est la prière de Marie. Chacun de nous peut en faire sa prière quotidienne. Elle est, en effet, l’action de grâce de Marie qui a cru en la Parole de Dieu. Même si sa situation humaine est angoissante, elle peut louer Dieu pour sa miséricorde infinie, son « amour qui s’étend d’âge en âge » et reconnaître qu’il entend l’appel des pauvres et des petits. « Le Seigneur fit pour moi des merveilles ! Saint est son nom ! » Avec la Vierge Marie nous apprenons la louange et l’action de grâce, nous devenons disciples et nous ouvrons notre cœur au Seigneur. Soyons heureux de la prier et d’apprendre par elle à prier Dieu notre Père.
12.- MAGNIFICAT CHANTONS LE SEIGNEUR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
13 - MAIS QUI ES-TU MARIE ?
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Rappelons-nous que si nous sommes sur cette terre, c'est
PAR LE CHRIST, AVEC LE CHRIST, POUR LE CHRIST!
Or, le chemin le plus court et le plus direct, le plus facile et le plus complet, le plus tendre et le plus heureux pour parvenir au Christ est : LA VIERGE MARIE, Elle-même.
La Vierge Marie fut saluée par l'ange Gabriel comme "comblée de grâces", ce qui suffit à laisser deviner la splendeur de ses perfections ! En effet, Celle que Dieu avait choisie, de toute éternité, pour lui proposer de devenir la Mère de Son divin Fils, notre Rédempteur, ne pouvait être autrement que douée de toutes les perfections naturelles et surnaturelles et donc de toutes les vertus correspondantes !
C'est pourquoi, par application anticipée des mérites de la Rédemption, la Vierge Marie fut-elle préservée, dès sa conception, de la tâche originelle. Ce privilège -inouï et unique- fut voulu par Dieu, pour Celle en qui son Verbe devait s'incarner,"quand fut venue l'heure de la plénitude du temps". Marie est donc née avec la perfection des dons naturels de tous ordres donnés par le Créateur à sa créature avant la chute en Adam.
A ces dons naturels, il faut ajouter aussi ceux de la grâce ! Et comme en Marie, aucune faiblesse personnelle due au péché originel, ni aucun péché même véniel, ne sont venus contrarier la réception de la grâce de Dieu, c'est en plénitude que ces dons ont pu rayonner en son corps, en son âme et en son esprit, pour la "combler de grâces".
"Comblée de grâces" mais libre, Marie a du, comme toute créature, pratiquer les vertus morales et théologales...
Mais Marie n'en demeurait pas moins une créature libre, comme Adam et Eve en Paradis et le "Oui" qu'elle donna à Gabriel, le messager de Dieu, lors de l'Annonciation, fut un "Oui" parfaitement libre, choisi et volontaire. Dieu a proposé et Marie aurait pu dire non... Or elle a dit "Oui", le oui d'une obéissance absolue ("qu'il me soit fait selon votre parole") là où Eve, par sa désobéissance, avait provoqué la chute du genre humain...
Ainsi, "comblée de grâces" mais libre, Marie a du, comme toute créature, exercer les vertus morales (c'est-à-dire naturelles) et les vertus théologales (c'est-à-dire surnaturelles), afin de cheminer fidèlement sur la route que Dieu lui proposait et de tenir coûte que coûte dans sa fidélité, malgré les immenses épreuves qui la conduisirent jusqu'à la crucifixion de son propre Fils au Calvaire...
C'est donc bien par vertu personnelle, dans un choix librement consenti, que Marie a dit oui jusqu'au bout à sa vocation. En ce sens, la Vierge Marie est un modèle à imiter pour chacun de nous, qui voulons répondre fidèlement à l'appel que Dieu nous lance. Car il y a un plan d'amour de Dieu sur chacun de ses enfants... Et Marie est à même de nous aider mieux que quiconque à répondre "oui" à ce plan d'amour du Père...
13.- MAIS QUI ES-TU, MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
14 - MARIE CHANTONS ENSEMBLE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Jamais nous n’aimerons la Vierge Marie autant que Jésus lui-même :
Mère de Dieu et Mère de nos âmes, nous lui devons donc un amour toujours plus ardent, toujours plus filial, et jamais nous ne pourrons dire que nous en avons fait assez.
" Faites-le bien passer ! " nous dit la Belle Dame de la Salette. C’est-à-dire : « Soyez Missionnaires »
Pourquoi être missionnaires en alliance avec la Vierge Marie ?
Quel lien y-a-t-il entre Marie et la Mission ? Marie n’a jamais rien annoncé, elle ne fait même pas partie des femmes qui sont au tombeau et s’empressent d’aller annoncer aux disciples que le Seigneur n’y est plus. Mais alors, qu’est-ce que ça change d’être missionnaires avec Marie ?
Y aurait-il une manière mariale d’être missionnaire ? Qu’est-ce qui nous distingue des autres ? Ce qui nous distingue des autres, c’est d’annoncer Jésus Christ avec Marie Mère de Dieu. Car elle n’est là que pour cela. Toute sa vie est relative à son Fils.
" Faites-le bien passer ! "c.à.d « Allez l’annoncer à vos frères »
Prière à Marie de Saint Bernard
(Appelée aussi Memorare,)
Souvenez-vous
ô très miséricordieuse
Vierge Marie,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun
de ceux qui ont eu recours
à votre protection,
imploré votre assistance
ou demandé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé de cette confiance,
ô Vierge des vierges, ô ma mère,
je viens vers vous,
et gémissant sous le poids
de mes péchés,
je me prosterne à vos pieds.
O Mère du Verbe incarné,
ne méprisez pas mes prières,
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer.
14.- MARIE CHANTONS ENSEMBLE SES MERVEILLES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
15 - MARIE DANS NOTRE VIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Quelle place doit occuper la Vierge Marie dans notre vie?
La place de la Vierge Marie dans notre vie n'est pas d'abord celle que nous lui laissons, mais celle que Dieu lui donne.
Avant que nous n'y songions, Il a fait de nous son enfant en nous faisant l'enfant de Marie.
Il lui a dit « Femme, voici ton fils », avant de nous dire « Voici ta Mère ».
Dieu nous donne la Vierge Marie comme Il l’a choisie pour lui. Il nous confie à elle comme Il se livre à elle.
Dieu donne à Marie, dans notre vie, la place qu’Il lui donne dans Sa vie à lui. Qui nous révélera cette place ?
Ni notre imagination, ni notre sentiment, mais notre foi au Verbe « conçu du Saint-Esprit et né de la Vierge Marie ».
Plus qu’aucun autre, la Vierge Marie a puisé dans son Fils la Vie qu’elle a pour mission de répandre. Elle aussi est née de la Rédemption. Conçue immaculée par la vertu de la Croix, la voici au terme de sa vie terrestre, introduite corps et âme dans la Demeure du Roi, au plus intime de notre être. Comment serait-elle loin lorsque Dieu nous habite ? Recluse en Dieu et donnée aux hommes, Marie est toute proche de nous dans la gloire de son Assomption. Au plus secret de nous-mêmes, elle est pour toujours celle en qui l’Esprit de Dieu façonne le Corps tout entier, l’Église que nous devenons sans cesse.
15.- MARIE DANS NOTRE VIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
16 - MARIE DU MOIS DE MAI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Pourquoi le mois de mai est-il associé à Marie ?
Il est difficile de dire précisément pourquoi le mois de mai est associé à la Vierge Marie. Le mois de mai ne comporte pas traditionnellement une grande fête mariale comme les mois d’août ou de décembre. Ce n’est que depuis la réforme liturgique de 1969 que la Visitation est fêtée le 31 mai. Il ne faut donc pas aller rechercher une explication du côté du cycle liturgique mais plutôt du côté du cycle des saisons. En Europe, le mois de mai c’est le mois des fleurs, le mois où le printemps se manifeste dans toute sa vitalité.
Ainsi dès le 13ème siècle, le roi de Castille Alphonse X le Sage (1221-1284) avait associé dans un de ses poèmes la beauté de Marie à celle du mois de mai. Au 14ème siècle le frère dominicain Henri Suso (1295-1366) avait pris l’habitude le premier mai d’orner les statues de Marie de couronnes de fleurs. Il y a donc très probablement un lien entre la beauté de la flore qui se déploie au mois de mai et notre Mère du ciel, la belle Dame.
A quand remonte cette coutume du mois de Marie ?
C’est à Rome, à la fin du 16ème siècle, qu’est née la coutume de consacrer les 31 jours du mois de mai à une prière mariale renforcée. Saint Philippe Néri (1515-1595) par exemple rassemblait les enfants autour de l’autel de la Sainte Vierge dans la Chiesa Nuova. Ils leur demandaient d’offrir à la Mère de Dieu des fleurs du printemps, symboles des vertus chrétiennes qui devaient aussi éclore dans leur vie chrétienne. Le mois de Marie est donc depuis le début, non seulement un bel acte de piété envers la Vierge Marie mais aussi un engagement à se sanctifier jour après jour. (Le père Renaud Saliba, recteur du sanctuaire de Pontmain).
Au 17ème siècle et au 18ème, les Jésuites ont beaucoup œuvré pour diffuser cette dévotion dans toute l’Italie. Ils recommandaient que, la veille du 1er mai, dans chaque maison, on dresse un autel à Marie, décoré de fleurs et de lumière. La famille était invitée à se réunir pour prier en l’honneur de la Sainte Vierge et à tirer au sort un billet indiquant la vertu à mettre en application le lendemain.
Cependant c’est en approuvant cette dévotion en 1815 que le Pape Pie VII (1742-1823) va permettre sa très grande diffusion dans toute l’Eglise. Le mois de Marie sera célébré dans les paroisses et dans les familles.
16.- MARIE DU MOIS DE MAI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
17 - MARIE NOTRE MÈRE GUIDE-NOUS VERS LUI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La Vierge Marie peut-elle nous guider ?
C’est LA bonne question. Depuis les origines, les chrétiens ont reconnu en Marie non seulement le modèle du disciple mais plus encore, le modèle de toute l’Eglise. Plus on fréquente la Mère du Seigneur et plus elle nous conduit à lui par son attitude, ses actes et ses paroles.
Marie, modèle du disciple du Christ.
Dans la tradition catholique, la dévotion et la théologie mariales trouvent leur pleine justification dans l’expression suivante : «Ne rien dire de la Vierge Marie sinon pour mieux dire du Christ». En effet, c’est pour son fils et par son fils qu’elle a été, selon les termes de l’ange, «comblée de grâce». Oublier qu’elle est la mère du Seigneur serait la séparer de la source qui a fait d’elle la Reine des cieux, la mère des apôtres et d’abord et avant tout la mère de Dieu.
La vie de Marie, jalons essentiels de la vie chrétienne A vrai dire, si Marie peut nous aider à mieux connaître Jésus, c’est parce qu’elle est le modèle du disciple, dans toutes les étapes de sa vie.
La Vierge Marie nous apprend le silence
La Mère de Dieu nous enseigne le silence, mais pas n’importe lequel. Il s’agit du silence intérieur sans lequel il n’y a pas de prière possible. Ce silence qui nous est si difficile parce que nous sommes bavards, dispersés, distraits par mille soucis sans importance. La Mère de Dieu, elle, est profondément silencieuse, parce qu’elle est simple. Elle est attachée à Dieu seul et ne cherche que sa volonté. Elle nous dévoile le secret du silence. Il n’est pas au terme d’une lutte et d’une violence : nous avons assez expérimenté que nos efforts, trop souvent, créaient une tension, elle-même destructrice du silence. En face du mystère de Marie, nous comprenons que le silence est plutôt le fruit d’un consentement, d’une dépossession, qui établit l’âme dans la paix. Il suffit de se livrer, avec toute la confiance d’un enfant.
Que tous les premiers Samedis du mois
nous trouvent plus empressés à réclamer sa puissante assistance.
« Sainte Marie, mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, et apprenez-nous à vous honorer d’un amour plus filial. »
17.- MARIE NOTRE MÈRE GUIDE-NOUS VERS LUI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Cd N°2
01 - MARIE TENDRESSE DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Marie, image de la divine tendresse.
Ceux qui ont eu le bonheur de connaître un véritable cœur de mère savent d’expérience à quoi peut ressembler un amour inconditionnel : un amour qui sait voir plus grand et plus loin que notre propre regard posé sur nous-mêmes.
Une véritable mère, par sa seule présence, nous élève, nous console, nous édifie et nous libère.
Marie, mère de tendresse Dans la tradition de l’Église, Marie est l’image de la divine tendresse, par qui nous pouvons percevoir quelque chose de la maternité de Dieu, car Dieu est mère autant qu’il est père.
Celle que l’Église appelle la Très Sainte Vierge Marie est le sacrement de l’Amour maternel de Dieu.
L’amour de Marie, comme celui de Dieu, nous enveloppe de manière très personnelle, nous appelant chacun par notre nom, nous chérissant d’un amour singulier.
En présence du cœur de Dieu, point de numéros : il n’existe que des personnes uniques à aimer.
Dieu nous voit tous comme une mère ses enfants et trouve chacun de nous le plus beau du monde.
Thérèse de Lisieux et la découverte du Cœur de Dieu
Celle que l’on appelle Thérèse de l’Enfant-Jésus vivait à une époque janséniste ou Dieu était plus craint qu’aimé.
Or, la « petite Thérèse » que l’Église déclara docteur de l’Église en 1997, découvrit le visage d’un Dieu qui n’est que miséricorde.
La petite voie de confiance de Thérèse consistait notamment à se laisser aimer par Dieu et à faire appel à lui afin qu’il puisse lui donner ce qu’il désire donner à tous ses enfants, à savoir : sa vie, son amour, sa paix, sa force, son réconfort, son soutien et sa consolation.
Se laisser aimer par Dieu, c’est se laisser aimer par un Dieu-Père… au cœur de Mère.
01.- MARIE TENDRESSE DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - MÊME SI TU CACHES TON VISAGE DANS NOS MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Marie est figure de l’Eglise, figure de l’homme croyant qui ne peut arriver au salut et à la réalisation plénière de lui-même que par le don de l’amour…
Pourquoi la Vierge Marie apparaît-elle ?
Dans la mesure où l'Église est en marche et où elle ne cesse d'oublier que Dieu « nous a tout dit à la fois et d'un seul coup » en son Fils (Jean de la Croix), la Vierge vient le lui rappeler. Telle est la mission qu'elle a reçue au pied de la Croix : elle est mère et éducatrice de l'Église. Ainsi, Marie n'apparaît que pour ramener ses enfants à Dieu, à la Parole, à ce que Jésus leur a demandé dans l'Évangile.
À Notre Dame de la Salette:
Deux enfants, Mélanie et Maximin, pauvres parmi les pauvres, ignorants parmi les ignorants, mais deux enfants au cœur pur, furent les témoins d’une apparition de Marie sur la montagne de La Salette (Isère). Maximin Giraud a 11 ans et Mélanie Calvat 14 ans. Lui est né à Corps (Isère) le 26 août 1835. Sa mère, Anne-Marie Templier, meurt alors qu’il n’a que 17 mois. Son père Germain Giraud, charron, se remarie peu de temps après. Malmené par sa belle-mère, le petit Maximin passe alors beaucoup de temps à l’extérieur, s’amusant avec son chien et gardant sa chèvre. Mélanie Calvat, quatrième des dix enfants d’un tailleur de pierres de Corps, est née le 7 novembre 1831. Très jeune, elle est sollicitée par ses parents sans le sou pour garder le bétail dans les fermes environnantes, voire pour mendier dans la rue. Tous deux sont sans culture et sans éducation religieuse.
D’abord assise et toute en larmes, la « Belle Dame » se lève et leur parle longuement, en français et en patois, de « son Fils » tout en citant des exemples tirés du concret de leur vie. « Avancez, mes enfants, n’ayez pas peur, je suis ici pour vous conter une grande nouvelle. (…) » Toute la clarté dont elle est formée et qui les enveloppe tous les trois, vient d’un grand crucifix qu’elle porte sur sa poitrine, entouré d’un marteau et de tenailles. Elle porte sur ses épaules une lourde chaîne et, à côté, des roses. Sa tête, sa taille et ses pieds sont entourés de roses. Elle poursuit : « Si mon peuple ne veut pas se soumettre, je suis forcée de laisser aller le bras de mon Fils. Il est si fort et si pesant que je ne puis plus le maintenir. Depuis le temps que je souffre pour vous autres ! Si je veux que mon Fils ne vous abandonne pas, je suis chargée de le prier sans cesse. (…) S’ils se convertissent, les pierres et les rochers deviendront des monceaux de blé et les pommes de terre seront ensemencées par les terres. (…) » Son message achevé, la « Belle Dame » gravit un raidillon et disparaît dans la lumière. Une consigne est laissée aux enfants : « Eh bien, mes enfants, vous le ferez passer à tout mon peuple ! Allons, mes enfants, faites-le bien passer à tout mon peuple ! »
Depuis plus d’un siècle et demi, les foules ne cessent d’affluer à Notre-Dame de La Salette (deuxième plus grand pèlerinage de France après Lourdes), poussées par leur curiosité ou en quête d’une élévation spirituelle, malgré la difficulté du chemin. Ils sont accueillis depuis 1962 par l’Association des Pèlerins de La Salette (A.P.S.).
02.- MÊME SI TU CACHES TON VISAGEE ENTRE TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
03 - MERCI, MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
" DIEU NE NOUS A PAS CRÉÉ AVEC NOUS, MAIS IL NE NOUS SAUVERA PAS SANS NOUS "
(Saint Augustin).
Prière:
=> Marie accompagne-nous sur les chemins de la vie, dans ce pèlerinage de foi que Tu as a emprunté
=> Accompagne-nous aujourd’hui sur nos routes humaines.
=> Tu as pris la route « en hâte » pour aller voir ta cousine Élisabeth,
=> Obtiens-nous de porter le Christ à ceux que nous visitons.
=> Tu as dû prendre la route pour le recensement à Bethléem,
=> Que nos voyages obligés nous fassent rencontrer le Christ pauvre.
=> Tu as dû t’exiler en Égypte,
=> Rends-nous compatissants aux exilés.
=> Tu es allée à Jérusalem pour la Pâque, avec Joseph et Jésus,
=> Que l’écoute de la Parole soit de tous nos pèlerinages.
=> Dans la joie, tu as quitté ta maison pour venir aux noces de Cana,
=> Réjouis-nous du vin du Royaume.
=> Tu as accompagné Jésus annonçant la Bonne Nouvelle sur les routes de Palestine,
=>Accompagne et réconforte les messagers de la Bonne Nouvelle.
=> Tu as suivi Jésus sur le Chemin du Calvaire,
=>Accompagne-nous quand nous portons la Croix.
=> Tu as accompagné les premiers pas de l’Église naissante,
=>Accompagne-la aujourd’hui, vers une nouvelle Pentecôte.
03.- MERCI MARIE D'AVOIR DIT OUI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - NOTRE DAME DE LA SALETTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
À Notre-Dame de La Salette la Sainte Vierge s'adresse à deux pastoureaux, Maximin qui n'avait d'ailleurs que 12 ans et Mélanie âgée elle de 15 ans. C'était le 19 septembre 1846, ils jouaient en gardant leurs brebis sur la montagne de la Salette,
près de Grenoble.
Le message transmis au Sanctuaire de Notre-Dame de La Salette est d’abord celui de Jésus Christ, c’est le message évangélique. Il est abordé à travers quelques points spécifiques dont Marie a parlé à Maximin et Mélanie le 19 septembre 1846. Par l’intermédiaire des voyants, tout en pleurant, elle nous adresse un appel pressant en nous invitant à nous réconcilier, à convertir nos cœurs à l’Amour, celui que son Fils a incarné. Elle a donné aux enfants – et à nous tous – des moyens simples pour y arriver : la prière régulière, le respect du dimanche et du Carême… Les paroles de Marie à La Salette résonnent aujourd’hui encore avec une surprenante actualité.
A cause des péchés de ses enfants, la Sainte Vierge pleure durant toute l'apparition. Elle leur parle des blasphèmes commis, de la non-sanctification du dimanche, de la désobéissance aux lois de l'Église et elle termine :
"JE NE PUIS PLUS RETENIR LE BRAS DE MON FILS... IL EST SI LOURD".
Nous pourrions méditer sur le sage conseil que la Sainte Vierge nous donna à la Salette :
"AH! MES ENFANTS, IL FAUT BIEN FAIRE VOTRE PRIERE SOIR ET MATIN..."
04.- NOTRE DAME DE LA SALETTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04.- NOTRE DAME DE LA SALETTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - NOTRE DAME DU PASSAGE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
L’heure du passage...de la rencontre...de la mort.
" Pourquoi demander à la Vierge Marie de prier pour nous « Maintenant, et à l’heure de notre mort » ?
Le saint curé d’Ars répétait inlassablement ses Ave Maria en insistant sur les mots entre tous aimés : « Priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l’heure de notre mort. » Il les avait si souvent commentés dans ses catéchismes : « Voyez mes enfants, quand vous dites : priez pour nous à l’heure de notre mort, c’est tout. » « Oh mes enfants, toute la vie de l’homme est un apprentissage à bien mourir. » « Oh ! mes enfants, quand la mort viendra, nous serons bien contents d’être bien préparés. » (Jean Claude Viret, Catéchisme du 7 et du 8 décembre 1849 – archives paroissiales d’Ars).
Des générations de chrétiens implorent la présence d’une mère pour les assister en ces étapes décisives de leur existence.
La maternité de Marie à notre égard ne consiste pas seulement en un lien affectif. Saint Jean nous rapporte l’une des paroles du Christ en croix, s’adressant au disciple qu’il aimait : « Voici ta Mère. » (Jn 19, 26-27). Marie n’est pas seulement mère du Sauveur mais aussi, à travers ce disciple bien-aimé, de tous les rachetés, de tous les membres du Corps mystique du Fils. Ces paroles, « Voici ta Mère », expriment l’invitation de Jésus envers ses disciples, de « recevoir Marie chez eux », dans une attitude d’amour.
La Vierge Marie nous prépare à la rencontre
Il est permis de penser que, à l’image des serviteurs de la parabole du Fils prodigue (Lc, 15), la Vierge Marie aide les défunts à revêtir la robe nuptiale, à retrouver leur dignité de fils de la Lumière, à entrer dans la joie qui surpasse tout désir. « Prie pour nous » suppose que la Vierge Marie, par sa sollicitude maternelle, prépare ses enfants à cette rencontre définitive et à cette joie éternelle. Saint Irénée enseigne que Dieu sauve le monde par ses deux mains : l’une est le Christ, l’autre l’Esprit Saint. Or Marie est toute remplie de l’Esprit Saint, son Époux, et collabore avec lui à l’œuvre du salut.
« Prie pour nous, maintenant et à l’heure de notre mort » : lorsque vient le moment où le « maintenant » coïncide avec l’aujourd’hui de notre mort, plus que jamais nous avons besoin de la tendre sollicitude d’une mère. La Vierge peut nous communiquer son humble écoute, son oui confiant, son espérance. ¨ (Sœur Marie-Aimée, fondatrice de la communauté des sœurs de la Nouvelle Alliance.)
05.- TOI NOTRE DAME DU PASSAGE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
06 - NOTRE DAME NOTRE MÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
«Marie n’est pas un détour pour rejoindre le Christ, elle est un raccourci».( Saint Louis-Marie Grignon de Montfort )
Élisabeth de la Trinité 1880-1906 - "Élisabeth", qui signifie en hébreu « Maison de Dieu »
La Vierge Marie a accompagné Elisabeth de la Trinité (Carmélite) tout au long de sa vie, surtout sous l'aspect de l'Avent, de l'attente de Jésus qui vient pour que sa présence enrichisse notre vie et envahisse le monde. Elisabeth est toute tendue vers son Seigneur et a su se préparer durant deux longues années avant l'autorisation de sa maman pour son entrée au Carmel, puis pour sa profession et enfin pour le grand passage de la mort, la venue définitive du Seigneur. Marie est pour elle la mère et le modèle par son attitude intérieure toute de silence et de recueillement.
« A chaque fête de Marie, je renouvelle ma consécration à cette bonne Mère. Aujourd'hui donc je me suis confiée à elle, et de nouveau je me suis jetée dans ses bras, Avec la plus entière confiance, je lui ai recommandé mon avenir, ma vocation. » (Élisabeth de la Trinité)
Comment réciter le chapelet ?
On commence par le Signe de Croix :
« Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. »
Puis, on redit notre foi avec la prière du Je Crois en Dieu.
Sur le Premier grain, on dit le Notre Père puis sur les trois grains suivants : trois Je vous salue Marie et le Gloire au Père,
hommage d’amour et d’adoration à la Trinité.
06.- NOTRE DAME NOTRE MÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - Ô MARIE SOUVIENS-TOI DE NOUS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
"Alors que Jésus est crucifié, l'un des voleurs suspendus aussi à une croix l'insulte :
« N'es-tu pas le Messie ? Sauve-toi toi-même, et nous avec ! »
Mais l'autre voleur crucifié lui fait des reproches :
« Tu n'as donc aucune crainte de Dieu ! Tu es pourtant un condamné, toi aussi ! Et puis, pour nous, c'est juste. Mais lui, il n'a rien fait de mal. » Et il dit : « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. »
Jésus lui répond : « Amen, je te le déclare : aujourd'hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » ( Lc23, 39-49)
Il y a, d’un côté, l’appel du malfaiteur, devenu dans la tradition « le bon larron », le converti à la dernière heure de sa vie : « Jésus, souviens-toi de moi lorsque tu viendras inaugurer ton Règne ! ». C’est comme si, d’une certaine manière, cet homme récitait sa version personnelle du « Notre Père » et de l’invocation : « Que ton règne vienne ! ». Mais c’est directement à Jésus qu’il adresse cette invocation, en l’appelant par son nom, un nom qui, en cet instant, revêt un sens particulièrement lumineux : « Le Seigneur sauve ». Et puis, il y a cet impératif : « Souviens-toi de moi ! ». Dans le langage biblique, ce verbe a une force particulière qui n’est pas rendue par notre pâle « se souvenir ». C’est une parole de certitude et de confiance, comme si on disait : « Prends soin de moi, ne m’abandonne pas, sois pour moi l’ami qui encourage et qui soutient ! ».
Rappelons-nous les dernières Paroles de Jésus sur la croix :" Père, que ta Volonté soit faite ! "
Chrétiens, nous sommes tous appelés nous aussi à nous abandonner avec une confiance d’enfant à la volonté de Dieu, quelles que soient les circonstances à travers lesquelles elle se manifeste.
Sancta mater, istud agas,
Crucifixi fige plagas
cordi meo valide.
Ô sainte Mère, daigne donc
graver les plaies du Crucifié
profondément dans mon cœur.
La Bible ne rend pas Dieu responsable des maux perpétrés par le diable ou les pécheurs, mais elle affirme que, mystérieusement, Il les permet. Lorsque le saint homme Job perd ses enfants, ses biens et sa santé, il ne dit pas, remarque saint Augustin : » Le Seigneur me les avait donnés et le démon me les a ôtés « ; mais, en homme éclairé, il affirme ; » C’est le Seigneur qui me les avait donnés et c’est Lui qui me les a ôtés, que son Nom soit béni ! » » (Jb 1, 21 ) Marie a donc pris très jeune l’habitude de s’abandonner avec confiance entre les mains de Dieu, comme les psaumes l’y invitaient.
A l’Annonciation, la Vierge Marie accepte d’avance avec une totale confiance toutes les conséquences du «oui » qu’elle prononce. Lorsque ces événements se produiront, elle les acceptera comme venant de la Main de Dieu : la naissance de son enfant dans une crèche, la fuite en Egypte, la disparition de son enfant lors de son premier pèlerinage à Jérusalem, son rejet par les gens de Nazareth, etc. Et l’Evangile précise bien que Marie et Joseph ne comprirent pas la réponse que Jésus leur fit, après qu’ils l’eurent retrouvé dans le Temple (Lc 2,5O).
07.- Ô MARIE SOUVIENS-TOI DE NOUS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08 - PRÈS DE TOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
MARIE EST-ELLE LA MÈRE DES CROYANTS ?
Dans les Évangiles, Marie est assez discrète. On la trouve notamment au pied de la croix. "Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : «Femme, voici ton fils.» Puis il dit au disciple : «Voici ta mère.» Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui." (Jn 19, 26-27) "Marie devient la mère de Jean, explique François Vayne, et donc la mère de tous les disciples la mère de l'Église." Les textes du concile Vatican II disent que Marie est mère de chaque catholique. "À condition de bien comprendre que l'Église c'est pas une institution, c'est un corps dont on est chacun membre, Marie est mère des membres du Christ qui forment l'Église."
MARIE MÉDIATRICE
Marie est médiatrice de toutes les grâces que Jésus veut nous donner. "Tout ce qu'elle a fait au long de sa vie c'est faire des médiations entre l'Esprit saint que son fils voulait nous donner et nous." C'est ainsi que François Vayne comprend les apparitions mariales, "elle continue à travers ses apparitions dans le monde : elle déborde d'Esprit saint pour nous le transmettre".
La Vierge Marie veille tendrement sur tous ceux qui invoquent son nom et son amour pour nous est plus grand encore que celui de notre mère terrestre. Elle est à l’écoute de nos moindres besoins, et nous aime du même amour que le Père, comme le montre cette image employée dans l’Évangile de Matthieu pour décrire l’amour de Dieu, image que l’on retrouve communément pour évoquer l’amour de la Vierge pour ses enfants : « Jérusalem, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes ? » (Mt 23,37)
Ô Marie, bénissez tous ceux que j'aime et tous ceux que j'aime moins.,
Vive à jamais Marie, l’Immaculée toujours Vierge, bénie entre toutes les femmes, Mère de Notre Seigneur Jésus-Christ, Reine du paradis ! Ô Marie, Mère de miséricorde, recouvrez-nous de votre manteau protecteur.
08.- PRÈS DE TOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - QUI PEUT BIEN MIEUX QUE TOI MARIE?
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Prière à Marie,
Mère de l’Espérance de St Jean-Paul II
Marie, Mère de l'espérance, marche avec nous !
Apprends-nous à proclamer le Dieu vivant ;
Aide-nous à témoigner de Jésus, l'unique Sauveur ;
rends-nous serviables envers notre prochain, accueillants envers ceux qui sont dans le besoin, artisans de justice, bâtisseurs passionnés d'un monde plus juste ;
intercède pour nous qui œuvrons dans l'histoire, avec la certitude que le dessein du Père s'accomplira.
Aurore d'un monde nouveau, montre-toi la Mère de l'espérance et veille sur nous !
Veille sur l'Église en Europe: qu'elle soit transparente à l'Évangile ;
qu'elle soit un authentique lieu de communion ;
qu'elle vive sa mission d'annoncer, de célébrer et de servir l'Évangile de l'espérance pour la paix et la joie de tous.
Reine de la paix, protège l'humanité du troisième millénaire !
Veille sur tous les chrétiens : qu'ils avancent dans la confiance sur le chemin de l'unité, comme un ferment pour la concorde sur le continent.
Veille sur les jeunes, espérance de l'avenir, qu'ils répondent généreusement à l'appel de Jésus ;
veille sur les responsables des nations : qu'ils s'emploient à édifier une maison commune, dans laquelle soient respectés la dignité et les droits de chacun.
Marie, donne-nous Jésus ! Fais que nous le suivions et que nous l'aimions !
C'est lui l'espérance de l'Église, de l'Europe et de l'humanité.
C'est lui qui vit avec nous, au milieu de nous, dans son Église.
Avec toi, nous disons : « Viens, Seigneur Jésus ! » (Ap 22, 20) : (
Que l'espérance de la gloire déposée par Lui en nos cœurs porte des fruits de justice et de paix !" (St Jean-Paul II)
Parmi les très nombreuses fêtes mariales, l'Assomption. Chaque année au 15 août, les catholiques célèbrent la montée au ciel de Marie. Catholiques et orthodoxes croient en effet que Marie est montée au ciel, corps et âme. L'Église catholique en a fait un dogme en 1950. Pour François Vayne, ce dogme de l'Assomption nous enseigne ceci : "À travers elle toutes les belles réalités de la vie ont valeur d'éternité, elle nous représente au ciel, rien ne sera perdu de tout ce que l'on vit de beau sur terre."
09.- QUI PEUT BIEN MIEUX QUE TOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - SAINT JOSEPH ÉCOUTE MA PRIÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Saint Joseph patron de l’Église universelle
Dès le début du XVIIe siècle, les papes Grégoire XV et Urbain VIII rendent la célébration de la solennité de saint Joseph obligatoire pour toute la chrétienté. Sa fête est alors fixée au 19 mars. Quelques années plus tard, au mois de juin 1660, saint Joseph apparaît à un jeune berger assoiffé, près du village de Cotignac, et lui indique une source miraculeuse. L’apparition est immédiatement reconnue par l’évêque du lieu, et les pèlerinages se multiplient. Le 8 décembre 1870, le pape Pie IX décrète saint Joseph patron de l’Église universelle. Près de quarante ans plus tard, le 18 mars 1909, les litanies de saint Joseph sont officiellement approuvées par le Vatican par un décret apostolique de saint Pie X.
Saint Joseph travailleur
Dans sa lettre annonçant l'année dédiée à Saint Joseph, le pape écrit:
" La crise de notre époque, qui est une crise économique, sociale, culturelle et spirituelle, peut représenter pour tous un appel à redécouvrir la valeur, l'importance et la nécessité du travail pour donner naissance à une nouvelle "normalité" dont personne n'est exclu."
Saint Joseph priez pour nous
Prière
du Pape François à Saint Joseph
Salut, gardien du Rédempteur, époux de
la Vierge Marie. À toi Dieu a confié son
Fils ; en toi Marie a remis sa confiance;
avec toi le Christ est devenu homme.
Ô bienheureux Joseph, montre-toi aussi
un père pour nous, et conduis-nous sur le
chemin de la vie. Obtiens-nous grâce,
miséricorde et courage, et défends-nous
de tout mal. Amen. (Pape François)
10.- SAINT JOSEPH ÉCOUTE MA PRIÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - SAINTE MARIE JE ME REMETS ENTRE TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Alors Marie dit : "Je suis la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon ta parole." (Lc 1, 38)
"Il s'est penché sur son humble servante." (Lc 1, 48)
La place de la Vierge Marie dans notre vie n'est pas d'abord celle que nous lui laissons, mais celle que Dieu
lui donne. Avant que nous n'y songions, Dieu a fait de nous Son enfant en nous faisant l'enfant de Marie.
Il lui a dit « Femme, voici ton fils », avant de nous dire « Voici ta Mère ».
Dieu nous donne la Vierge Marie comme il l’a choisie pour lui. Il nous confie à elle comme il se livre à elle. Dieu donne à Marie, dans notre vie, la place qu’il lui donne dans sa vie à lui. Qui nous révélera cette place ? Ni notre imagination, ni notre sentiment, mais notre foi au Verbe « conçu du Saint-Esprit et né de la Vierge Marie ». Plus qu’aucun autre, Maire a puisé dans son Fils la vie qu’elle a pour mission de répandre. Elle aussi est née de la Rédemption. Conçue immaculée par la vertu de la Croix, la voici au terme de sa vie terrestre, introduite corps et âme dans la Demeure du Roi, au plus intime de notre être. Comment serait-elle loin lorsque Dieu nous habite ? Recluse en Dieu et donnée aux hommes, Marie est toute proche de nous dans la gloire de son Assomption. Au plus secret de nous-mêmes, elle est pour toujours celle en qui l’Esprit de Dieu façonne le Corps tout entier, l’Église que nous devenons sans cesse.
La "Merveille", la grande promesse qui était annoncée, dans la chair et le sang, l'âme et l'être de Marie, fille d'Israël. Non pas dans un palais, non pas dans une princesse ou une reine, non pas dans un temple ou dans une créature céleste, mais dans une jeune fille humble et fidèle, dans une fille digne de l'Israël de Dieu, dans une femme qui allait devenir – mais qui l'était déjà dans son immaculée conception - la Femme qui enfante l'humanité nouvelle, la nouvelle Eve. Plus encore, bien plus grand et immensément extraordinaire, c'est dans cette femme anonyme que le Fils de Dieu va venir prendre chair en prenant naissance, chair, sang et vie en elle, par elle, avec elle, et en faire la
" Mère de Dieu " !
11._ SAINTE MARIE JE ME REMETS ENTRE TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11.- SAINTE MARIE JE ME REMETS ENTRE TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
12 - SALVE REGINA, MARIE CHOISIE PAR DIEU
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La Vierge Marie fut saluée par l'ange Gabriel comme "comblée de grâces", ce qui suffit à laisser deviner la splendeur de ses perfections ! En effet, Celle que Dieu avait choisie, de toute éternité, pour lui proposer de devenir la Mère de Son divin Fils, notre Rédempteur, ne pouvait être autrement que douée de toutes les perfections naturelles et surnaturelles et donc de toutes les vertus correspondantes !
C'est pourquoi, par application anticipée des mérites de la Rédemption, la Vierge Marie fut-elle préservée, dès sa conception, de la tâche originelle. Ce privilège -inouï et unique- fut voulu par Dieu, pour Celle en qui son Verbe devait s'incarner,"quand fut venue l'heure de la plénitude du temps". Marie est donc née avec la perfection des dons naturels de tous ordres donnés par le Créateur à sa créature avant la chute en Adam.
A ces dons naturels, il faut ajouter aussi ceux de la grâce ! Et comme en Marie, aucune faiblesse personnelle due au péché originel, ni aucun péché même véniel, ne sont venus contrarier la réception de la grâce de Dieu, c'est en plénitude que ces dons ont pu rayonner en son corps, en son âme et en son esprit, pour la "combler de grâces".
"Comblée de grâces" mais libre, Marie a du, comme toute créature, pratiquer les vertus morales et théologales...
Mais Marie n'en demeurait pas moins une créature libre, comme Adam et Eve en Paradis et le "Oui" qu'elle donna à Gabriel, le messager de Dieu, lors de l'Annonciation, fut un "Oui" parfaitement libre, choisi et volontaire. Dieu a proposé et Marie aurait pu dire non... Or elle a dit "Oui", le oui d'une obéissance absolue ("qu'il me soit fait selon votre parole") là où Eve, par sa désobéissance, avait provoqué la chute du genre humain...
Ainsi, "comblée de grâces" mais libre, Marie a du, comme toute créature, exercer les vertus morales (c'est-à-dire naturelles) et les vertus théologales (c'est-à-dire surnaturelles)(1), afin de cheminer fidèlement sur la route que Dieu lui proposait et de tenir coûte que coûte dans sa fidélité, malgré les immenses épreuves qui la conduisirent jusqu'à la crucifixion de son propre Fils au Calvaire...
C'est donc bien par vertu personnelle, dans un choix librement consenti, que Marie a dit oui jusqu'au bout à sa vocation. En ce sens, la Vierge Marie est un modèle à imiter pour chacun de nous, qui voulons répondre fidèlement à l'appel que Dieu nous lance. Car il y a un plan d'amour de Dieu sur chacun de ses enfants... Et Marie est à même de nous aider mieux que quiconque à répondre "oui" à ce plan d'amour du Père...
12.- SALVE REGINA CHOISIE PAR DIEU
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
13 - SANCTA MARIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Jean, l’évangéliste relate une des dernières paroles de Jésus : « Femme, voici ton fils ». Jésus confie l’apôtre Jean à sa mère. Puis Jésus confie Marie à son disciple : « Voici ta mère » (Jean 19, 25-27)
Par la suite, Marie sera désignée comme mère des Chrétiens, de tous ceux qui reconnaissent le Messie de Dieu sous les traits du crucifié et proclament sa Résurrection. Au jour de Pentecôte, on retrouve Marie présente au milieu des disciples. Depuis son « oui » de départ, Marie a toujours fait preuve de persévérance dans la foi. Au cours des siècles, les Catholiques ont toujours vu en Marie le disciple par excellence.
En elle, se manifeste tout ce que Dieu peut réaliser en un être humain accueillant la sainteté de Dieu.
13.- SANCTA MARIA je vous ai vu Marie
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
13.-SANCTA MARIA je vous ai vu Marie
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
14 - TOI QUI NOUS TIENS PAR LA MAIN
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Selon la tradition de l’Église,
Marie, témoin de l’Amour de Dieu peut recevoir plusieurs titres :
– « Mère de Dieu » (Concile d’Ephèse en 431). En Jésus, l’Église reconnaît le Dieu fait homme, c’est une affirmation essentielle de la foi chrétienne. Parce qu’elle est mère de Jésus, marie peut être appelée mère de Dieu.
– « Vierge ». En fait, il s’agit moins de dire quelque chose sur Marie, que sur Jésus. Il est le Messie, né non d’une volonté d’homme, mais donné par Dieu à l’humanité, gratuitement, de manière totalement inédite. Jésus vient d’ailleurs, il est dit : « conçu par l’Esprit Saint ».
– « Immaculée ». Dès sa naissance, Marie est orientée selon l’amour de Dieu, elle est prête à l’avènement du Christ venu pour le salut de tous les hommes.
14.- TOI QUI NOUS TIENS PAR LA MAIN
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
15 - TOUT PRÈS DE TOI, MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Les interventions de Marie à Constantinople ont été très fréquentes, notamment au sanctuaire de la Source Vivifiante, toujours très célèbre, à l'ouest de la ville, un peu à l'extérieur des remparts, près de la porte de Silivri. C'est le lieu d'une multitude de miracles qui se sont réalisés et continuent de l'être depuis plus de 15 siècles par l'intercession de la Vierge,
« Source de Vie ».
Au 19e siècle, l'église est reconstruite telle qu'elle existe encore aujourd'hui, ainsi qu'une autre plus petite abritant la Source. Cet endroit est appelée actuellement "Balikli" ou "Baloukli", du turc "balik" qui signifierait "poisson" ; l'eau y est en effet très poissonneuse. Depuis 1824, tous les patriarches de Constantinople sont enterrés au monastère.
Cette eau de salut coule toujours... pour la guérison des maladies du corps et de l'âme :
« O Vierge, tu es en vérité la Source de l'eau vive ; seule tu effaces à ton contact les cruelles maladies des âmes et des corps, en nous versant le Christ comme l'eau du salut » (matines orientales de la fête de ce jour).
15.- TOUT PRÈS DE TOI MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
16 - UNE VOIX , UN VISAGE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
L’Assomption de Marie signifie qu’en vivant pleinement de l’Esprit Saint, elle accède totalement, par la grâce particulière de son fils, au monde nouveau et définitif de la Résurrection.
Marie nous précède sur le chemin des sauvés en Jésus Christ. (…)
Nous sommes des voyageurs… quelque fois imprudents et fatigués. Alors, comment prévoir le danger et l’éviter,
… Regardons le Signe Rédempteur… Il nous rappelle qu’une Mère douce, bonne et secourable, veille sur nous et nous tient par la main, pour nous guider sur toutes les routes de la vie. Nous voulons éviter les dangers de la route ? La Croix du Christ vous rappelle qu’à ses pieds, la Mère du Sauveur se tient debout, intercédant pour nous .
Puisse-t-elle, la Douce et Miséricordieuse Vierge Marie, bénir, garder et protéger tous ses chers enfants qui manifestent un si grand amour pour elle !
16.- UNE VOIX UN VISAGE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Ci-dessous version coréenne du chant : " UNE VOIX, UN VISAGE "
Aide Humanitaire
Vente de cd Cd au profit de :
- Père Pedro Akamasoa Tananarive MADAGASCAR
- Des Soeurs de N.D de la Salette qui font un travail remarquable
auprès des plus pauvres à Ihousy et Tananarive MADAGASCAR
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