COMMUNIQUER -
Année 2001 - Cd épuisé
Orchestrations : Jo AKEPSIMAS
Choeurs : Mannick - Jo AKEPSIMAS -
Gaëtan de COURRÈGE
Piano : Jo Akepsimas
Guitare : Franck Amseli
Harmonica : Michel HERBLIN
Ce Cd : COMMUNIQUER => épuisé
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Association Saint Bruno - 39 Chemin des AURENGUES -13013 Marseille
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Aide Humanitaire
Vente au profit de HAÏTI :
- Scolarisation de 60 " Enfants de la rue " HAÏTI
- Objectif catéchétique -
Communiquer et vie chrétienne:
La communication est pour les chrétiens une question lancinante. e Pour tous les chrétiens : un à un, par groupes, par Eglises et tous ensemble.
1ère communication : Le témoignage.
Car nous sommes témoins ; l’important ici, c’est l’idée d’« attestation ».
2°: Le courage :
le courage d’attester, de se montrer, de dire ce qu’on a à dire ; et aussi cet autre aspect du courage qui fait partie de la condition du témoin, de s’écarter pour laisser place à d’autres témoins, de ne pas croire ni laisser croire que mon témoignage contient à lui seul la Justice ou la Vérité. Témoigner, c’est donc, fondamentalement, autoriser les autres à témoigner aussi, c’est ouvrir un espace d’attestation confiante.
Longtemps nous avons été peut-être abusivement confiants,
parfois même crédules. Aujourd’hui, notre maladie collective est plutôt l’incrédulité, la méfiance, le soupçon. Comment reconstituer un espace d’attestation confiante ?
Nous sommes dans une situation de post-chrétienté ; situation délicate et inédite. Nous étions, jusque récemment, dans une société encore sociologiquement chrétienne.
Nous sommes donc aussi vulnérables, aussi faibles que les chrétiens primitifs, à cela près que nous sommes dans une société qui n’est pas neuve par rapport à notre message, une société déjà vaccinée.
Il n’est pas facile pour nous de lui relancer notre message,
parce qu’elle a déjà les anticorps qui encapsulent notre message
et le détruisent dès qu’il est lâché.
01 - CHOISIS TON HYMNE ET TON DRAPEAU
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Refrain :
Choisis ton camp camarade
Choisis ton hymne et ton drapeau
Le bon côté des barricades
Pour choisir il n’est pas trop tôt.
1.- Moi, j’ai choisi un art de VIVRE
Les DROITS de l’HOMME sont si beaux
J’ai même choisi de VIVRE LIBRE
Sans oriflammes, ni oripeaux.
2.- Moi, j’ai choisi la TOLÉRANCE
J’ ne hurlerai pas avec les loups
Le DOUTE et même la NON-VIOLENCE
Je sais : ça paraît un peu fou.
3.- Moi, j’ai choisi les VENTS REBELLES
J’n panurg’rai pas .vec les moutons
La liberté est bien trop belle
Sans jets de pierre et sans jurons.
01.- CHOISIS TON CAMP CAMARADE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - MADE IN DIGNITY cherchez l'éthique
et musique : Jean-Claude GIANADDA
1.- Fabriqué à PARIS, à TAÏWAN ou en CHINE,
Dans des sous-sols pourris ou des ‘pseudo’ usines,
Là, elle bosse à bas prix sur des baskets et des jeans
Pour de riches pays, qui s’engraissent de rapines.
Refrain :
Made in dignity
Cherchez, cherchez, l’éthique sous l’étiquette
Made in dignity.
2.- Quand elle rentre de nuit, après dix ou quinze heures
De ce "boulot-béni", payé trois sous de l’heure,
Elle s’demande si sa vie ne compterait pas "pour du beurre".
Et où vont les profits : le fruit de son labeur.
3.- Mais peut-être demain sans haine et sans malice,
Elle se lèvera soudain et au moment propice,
Et elle lèvera le poing au nom de la Justice.
Pour que tous les humains partagent les bénéfices.
4.- Fabriqué à PARIS, à TAÏWAN ou en CHINE,
Dans des sous-sols pourris ou des ‘pseudo’ usines.
Là, elle bosse à bas prix sur des baskets et des jeans
Pour de riches pays, qui s’engraissent de rapines.
02 - MADE IN DIGNITY cherchez l'éthique
et musique : Jean-Claude GIANADDA
02.- OYEZ OYEZ BONNES GENS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - MA FILLE 17 ans
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Cette chanson, m'a été demandée par mes amis.
Il n'est pas facile pour des parents "d'éduquer" leur enfant...
Et parfois, sans que l'on sache vraiment pourquoi, le résultat est dramatique.
Immense souffrance pour des parents qui ont fait tout ce qui était dans leur pouvoir de faire...
04.- MA FILLE 17 ANS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05.- NI ICI - NI AILLEURS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
06.- EN EFFEUILLANT LA MARGUERITE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - TOUJOURS GARDER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Refrain :
Toujours, Garder en moi cette confiance.
Savoir, Que jamais je ne t’oublierai.
Toujours, Garder en moi cette "Présence",
Ce brin d’amour et d’amitié.
1.- Dans mon regard - il y aura,
Ce je n’ sais quoi - qui te ressemble,
Et on dira de nous, je crois :
"Voyez comme ils sont bien ensemble".
De leurs émois on rira,
Puisque c’est sûr - tout nous rassemble,
Une partition entre tes doigts,
C’est ça, l’HARMONIE, il me semble.
2.- Qu’est-ce qui est le plus grand, dis-moi,
Est-ce le BUT ou le VOYAGE ?
Qu’est-ce qui est le plus beau, dis-moi,
Est-ce la VAGUE ou bien la PLAGE ?
Besoin des deux, bien sûr, tu vois,
C’est même écrit sur ton visage.
Alors, j’y viens puiser déjà,
Toute la SAGESSE du SAGE.
3.-CHANTER c’est sûr, on chantera,
Puisque CHANTER ça nous délivre.
CHANTER bien sûr tant qu’il faudra.
Puisque CHANTER nous fait RE-VIVRE.
CHANTER encore pour TOI - pour MOI,
Ces mélodies qui nous enivrent.
CHANTER plus fort tous les combats
De ceux qui triment pour SUR-VIVRE.
07 - TOUJOURS GARDER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08.- DÉCOUVRIR QUE LA ROUTE EST BELLE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - MARIE - PRÉSENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
- Que nous enseigne la Vierge Marie ?
- La Vierge Marie nous enseigne à nous tourner vers Jésus.
Il semble bien que la dévotion à Marie est née dès les origines du christianisme, nourrie par le texte apocryphe Protévangile de Jacques plus que par les textes peu nombreux du Nouveau Testament. Mais le culte plus officiel rendu à Marie s’est développé surtout à partir du VIe siècle, à la fois dans les églises d’Orient et d’Occident.
L’affirmation que Marie était Vierge et Mère de Dieu (Théotokos) est apparue dans la foulée des conciles christologiques, comme corollaire à la divinité de Jésus, Fils de Dieu. L’Église catholique confirma sa pensée sur Marie à travers les dogmes de l’Immaculée Conception et de l’Assomption.
On ne peut pas séparer la Vierge Marie de
la Trinité et de la Rédemption.
La Rédemption : Jean-Paul II nous explique que « Mère du rédempteur » consiste à faire de Marie une associée à l’œuvre du Christ, du fait que Marie eût accepté dans la foi de répondre à la demande de l’Ange, à l’Annonciation : « Le premier moment de la soumission à l’unique médiation “entre Dieu et les hommes” — celle de Jésus-Christ — est l’acceptation de la maternité de la part de la Vierge de Nazareth.
La Trinité Là où se trouve la Vierge Marie il y a le Christ; et là où se trouve le Christ il y a son Esprit Saint, qui procède du Père et de Lui-même dans le Saint Mystère de la Vie Trinitaire.
La Vierge Marie est à la fois la Fille du Père,
l’Épouse du Saint-Esprit et la Mère du Fils de Dieu.
Le Concile œcuménique de Nicée, de 325,
a posé les fondements:
- Jésus "Fils de Dieu" « fait homme ».
Le Concile d’Éphèse de 431
ré-affirmé le terme grec « théotokos » : « Mère de Dieu »:
« L’Emmanuel est Dieu en vérité et, pour cette raison
la Sainte Vierge est Mère de Dieu.. »
Refuser le titre « Mère de Dieu » à Marie, ce n’est pas diminuer le statut de Marie, mais celui de Jésus.
C’est refuser la nature divine à l’homme Jésus,
c'est refuser l’union des natures divine et humaine
en l’unique personne du Christ.
1.- MARIE - SILENCE
Aussi profond que L’ANGÉLUS Une PRÉSENCE,
Comme un chemin vers Emmaüs.
Refrain :
Marie - silence - pour aujourd’hui. Marie - présence - dans notre vie.
2.- MARIE - NAISSANCE, Comme là-bas à BÉTHLÉEM.
Une PRÉSENCE, Peut prendre corps dans nos : "JE T’AIME".
Refrain :
Marie - naissance - pour aujourd’hui. Marie - présence - dans notre vie.
3.- MARIE - CONFIANCE, Nous ferons tout ce qu’il dira. Une PRÉSENCE, Comme un jour de fête à CANA.
Refrain :
Marie - confiance - pour aujourd’hui Marie - présence - dans notre vie.
4.- MARIE - SOUFFRANCE, Près de la Croix, toujours debout. Une PRÉSENCE, Qui vient "RE-SUSCITER" en nous.
Refrain :
Marie - souffrance - pour l’aujourd’hui. Marie - présence - dans notre vie.
5.- MARIE - ROMANCE (ALLIANCE), Magnificat Dieu avec nous Cette PRÉSENCE, Continue de chanter en nous.
Refrain :
Marie - romance (alliance) - pour aujourd’hui.
Marie - présence - dans notre vie
09 - MARIE - PRÉSENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - VIENS, NOUS T'ATTENDONS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Refrain : Viens,
Nous t’attendons sur nos chemins Reviens,
Ton retour nous paraît si loin, Reviens,
Nous t’attendrons jusqu’au matin.(bis)
1.- Pour sortir de notre fauteuil,
Et pour sortir les mains des poches,
De nos points de vue, de nos deuils,
Comme on sort pour CHERCHER L’EMBAUCHE.
Ou bien sortir de l’inconnu,
Comme on sort aussi d’une ornière,
Ou de nos idées préconçues,
Puisque sortir, c’est la LUMIÈRE.
2.- Comme on sort pour faire un tour,
Quand on sort, on ouvre ses grilles,
Ou pour sortir du désamour,
Ou pour sortir de sa coquille.
Sortir du train-train, du banal,
Sortir sur le pas de la porte,
Ou comme on sort de l’hôpital,
Parce que c’est sortir qui importe.
10. VIENS NOUS T'ATTENDONS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - NOTRE DAME DE LA GARDE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
En 1214, Pierre, un prêtre de Marseille, veut édifier un petit sanctuaire voué à la Vierge Marie. Il choisit un triangle rocheux en haut d’une colline, La Garde, et y fait bâtir une petite chapelle. Le sanctuaire est, de fait, nommé Notre-Dame de la Garde. En 1477, la chapelle est agrandie et peut accueillir jusqu’à 60 personnes.
En janvier 1516, après sa victoire à Marignan en Italie, le roi François Ier se rend pour la première fois à Marseille et monte à la chapelle afin d’y remplir ses devoirs religieux. Lors de sa visite dans la cité phocéenne, il s’aperçoit qu’elle est mal défendue. Contrairement à beaucoup d’autres villes françaises, Marseille ne possède pas de fort et son enceinte est bien modeste. La Provence n’ayant été rattachée à la France que 35 ans plus tôt, aucun autre roi n’avait encore eu l’occasion de réclamer la construction d’un fort. Cette idée reste dans la tête du souverain lorsqu’il remonte à Paris. 8 ans plus tard, Charles Quint, l’empereur du Saint-Empire romain germanique, tente d’assiéger la ville afin de réunir les deux parties de son empire. Cet événement sert de leçon au roi de France qui décide de faire bâtir non pas un, mais deux forts à Marseille : un premier sur l’île d’If, connu aujourd’hui comme le château d’If et un second sur la colline de La Garde, où il était allé prier lors de sa visite.
La petite chapelle se retrouve englobée dans le fort accueillant gouverneur et garnison. François Ier décide qu’en temps de paix, les citoyens pourront accéder à cet édifice religieux en passant par le pont-levis qui resterait en position basse durant la journée. C’est un cas unique dans l’histoire. Il n’y a aucun autre exemple de sanctuaire, situé à l’intérieur d’un fort en activité, ouvert au public. Cette situation perdura pendant les 4 siècles qui suivirent, jusqu’à ce que le fort soit démilitarisé en 1934.
Lors de la Révolution française, la famille des Bourbon est emprisonnée pendant 6 mois dans le fort de Notre-Dame de la Garde à la suite de l’exécution du roi Louis XVI. En 1793, une politique de déchristianisation est mise en place et la chapelle est dépouillée. Seul subsiste un crucifix datant de la première moitié du XVIème siècle, visible aujourd’hui dans la crypte de Notre-Dame de la Garde.
En 1807, le culte reprend à Notre-Dame de la Garde et un ancien marin offre la statue de la « Vierge au bouquet ». La population de Marseille ne cesse d’augmenter et la chapelle devient trop petite. Les responsables du sanctuaire obtiennent l’autorisation de l’agrandir et abattent les murs de deux petites pièces adjacentes, qui servaient jusqu’alors à la garnison. En 1837, ils remplacent la Vierge offerte par Joseph-Élie Escaramagne par une statue de la Vierge en argent. Elle domine toujours l’autel majeur de la basilique. En 1842, les administrateurs de Notre-Dame commandent une cloche à un fondeur de Lyon. 28 chevaux seront nécessaires pour hisser ce bourdon de 8 234 kilos en haut de la colline de la Garde. Jamais auparavant on n’avait vu une si grosse cloche dans une si petite chapelle.
Après l’apparition du choléra, les pèlerins sont de plus en plus nombreux à se rendre à Notre Dame de la Garde. Il devient nécessaire de construire un édifice plus grand afin de pouvoir les accueillir. En 1851, les responsables reçoivent l’autorisation du ministre de la Guerre de détruire la petite chapelle afin de construire un plus grand sanctuaire, dominé par un clocher. Certains officiers émirent des objections, craignant que la structure ne fasse perdre au fort sa valeur défensive.
En 1853, la première pierre de la Basilique est posée, mais il faudra attendre 1864 pour que le sanctuaire soit consacré… sans son clocher. Celui-ci ne sera terminé qu’en 1866 et on put y installer l’imposant bourdon qui était, tout à coup, beaucoup mieux proportionné. L’édification du piédestal commence et la statue de la Vierge, œuvre d’Eugène Lequesne, est hissée sur le sommet de celui-ci en 1870.
Toutes les finitions intérieures doivent encore être achevées. De 1872 à 1892, de magnifiques mosaïques sont posées au sol et sur les murs. À la base, la basilique était de style néo-roman, c’est à partir du moment où elle fut décorée par ces mosaïques d’inspiration byzantine qu’on décrivit son architecture comme pleinement romano-byzantine.
Pour faciliter l’accès à la basilique, Émile Maslin s’inspire des ascenseurs aménagés dans la Tour Eiffel. L’élévateur a fonctionné de 1892 à 1967 jusqu’à sa destruction en 1974. En 1897, la construction de la basilique de Notre-Dame de la Garde s’acheva avec la pose de deux imposantes portes en bronze.
Refrain :
Notre Dame de la Garde Veille sur nous,
Garde-nous aujourd’hui Et toujours.
Notre Dame de la Garde Veille sur nous
Garde-nous maintenant Aujourd’hui
Et toujours.
1.- Tu nous présentes Jésus,
Il nous dit : “voici ta Mère, mon fils”.
Et je voudrais demeurer ton enfant,
Aujourd’hui mieux qu’hier.
2.- Prie pour nous ton fils Jésus,
Obtiens-nous de lui ressembler un peu,
Et de l’aimer, de le servir toujours,
Aujourd’hui plus qu’hier.
3.- Demande à ton fils Jésus,
De soutenir ceux qui souffrent le plus,
Garde tous ceux qui appellent au secours,
Aujourd’hui comme hier.
11 - NOTRE DAME DE LA GARDE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - NOTRE DAME DE LA GARDE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
12 - MA JOIE
Paroles : Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d'une famille chrétienne où elle grandit 'entourée d'amour'. Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et la quintette de ses filles s'installent alors à Lisieux pour se rapprocher d'une partie de sa famille.
Deuxième drame qui ébranle Thérèse enfant: sa sœur Pauline puis sa sœur Marie, qu'elle avait choisies successivement comme 'petite mère' entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s'élance, dans 'une course de géant', vers le Dieu-Amour qui l'a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu'à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d'entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888.
Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa 'petite voie' d'abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s'offre à l'amour miséricordieux de Dieu.
Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle s'est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie pour le salut des pécheurs qui n'ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre 'une pluie de roses' et de passer son ciel à faire du bien sur la terre.
Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant et les témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère, si nombreux que le Pape parle d'un 'ouragan de gloire'. Proclamée patronne des missions de l'Église universelle et docteur de l'Église en 1997.
1.- Il est des âmes sur la terre
Qui cherchent en vain le bonheur
Mais pour moi, c’est tout le contraire
La joie se trouve dans mon cœur
Cette joie n’est pas éphémère
Je la possède sans retour.
Refrain (Bis) :
Comme une rose printanière,
Elle me sourit chaque jour,
Elle me sourit chaque jour.
2.- Vraiment je suis bien trop heureuse,
Je fais toujours SA volonté...
Pourrais-je n’être pas joyeuse
Et ne pas montrer ma gaîté ?..
Ma joie, c’est d’aimer la souffrance,
Je souris en versant des pleurs.
Refrain (Bis) :
J’accepte avec reconnaissance,
Les épines mêlées aux fleurs,
Les épines mêlées aux fleurs.
3.- Lorsque le Ciel bleu devient sombre
Et qu’il semble me délaisser,
Ma joie, c’est de rester dans l’ombre
De me cacher, de m’abaisser.
Ma joie, c’est la Volonté Sainte
De Jésus mon unique amour.
Refrain (Bis) :
Ainsi je vis sans nulle crainte,
J’aime autant la nuit que le jour,
J’aime autant la nuit que le jour.
12 - MA JOIE
Paroles : Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus
Musique : Jean-Claude GIANADDA
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