UN MONDE PLUS BEAU - 33 tours
Année 1978 - 33 tours - épuisé
Ce disque 33t
UN MONDE PLUS BEAU-1978 => épuisé
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- L'Abbé Pierre : Emmaüs logement
- Soeur Emmanuelle (Opération Orange avec Jean SAGE )
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Ce Cd UN MONDE PLUS BEAU-1978 :
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(Voyages Madagascar payés par Jean-Claude)
CHANSONS POUR UNE "VEILLÉE"
- Pourquoi, n'utilisez vous jamais le mot "Spectacle" ou "Concert" mais "Veillée" ?
- Parce qu'il me semble que ce que je présente tous les soirs dans mes rencontres ne relève ni de l'expression ni de la création artistique mais de l'expression, de la création "catéchétique" ( du grec Katein: se faire l'écho de ). Le but de la catéchèse étant d'éveiller, de nourrir,
de développer, d'éduquer, d'épanouir la Foi vivante.
Il ne s'agit donc ni d'un show, ni d'un spectacle, ni d'un concert,
mais d'une "veillée" mon objectif étant d'exprimer par la chanson
mon défi évangélique, mon pari sur la Foi.
- Quelle différence faites-vous entre un "Spectacle" et une "Veillée"
- Une veillée est plus qu'un spectacle c'est un rendez-vous de vie.Une veillée c'est un moment qui rend heureux. C'est une fenêtre qui s'ouvre sur le rêve, sur la Lumière.
01 - IL FAUT PRÉPARER LA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Ce n’est plus dans le désert qu’il faut tracer un chemin, mais dans le concret de la vie de chacun. Il faut tracer un chemin pour permettre à Dieu très concrètement de nous rejoindre. Pour ce faire, il ne faut pas une pelle et une pioche, mais il faut se convertir!
Que signifie cette phrase d’apparence anodine: «Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route?» Pour bien la comprendre, il faut d’abord se rappeler que Jérusalem était une ville entourée par le désert! Tout autour de la ville, du sable balayé par le vent. Cela a une conséquence pratique évidente, il n’y avait pas de route visible pour aller à Jérusalem!
Ainsi, lorsqu’un personnage important devait arriver dans la ville, il fallait aller dans le désert pour tracer une route, au moins provisoire! On taillait alors des broussailles, on comblait un affaissement du sol, on aplanissait un obstacle, on remettait en état un pont ou un gué. Bref, on essayait de dégager un chemin du désert.
Très concrètement, cela se faisait par exemple à l’occasion de la fête de Pâques, pour accueillir les pèlerins qui arrivaient de la diaspora. Jean-Baptiste s’inspire de tout cela. Ainsi, de même que pour un personnage important on sort au désert préparer le chemin, de même il faut tracer un chemin dans le désert pour que puisse arriver Celui dont la venue est tant attendue: Le sauveur annoncé par les Ecritures.
Passons maintenant de la métaphore à la réalité, pour accueillir le Sauveur, il faut aussi un chemin d’accès jusqu’à nous! ce sentier ne doit pas être tracé sur le sol dans le désert autour de Jérusalem, mais dans le cœur de chaque homme!
C’est le nœud! Tout se joue là. Entendez bien! Ce n’est plus dans le désert qu’il faut tracer un chemin, mais dans le concret de la vie de chacun. Il faut tracer un chemin pour permettre à Dieu très concrètement de nous rejoindre. Pour ce faire, il ne faut pas une pelle et une pioche, mais il faut se convertir!
Et c’est là le mot clef de l’évangile de ce jour, la conversion! Nous l’avons entendu trois fois dans l’évangile «Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche.»; «Produisez donc un fruit qui exprime votre conversion»; «Moi, je vous baptise dans l’eau, pour vous amener à la conversion».
AINSI, POUR «PRÉPARER LE CHEMIN DU SEIGNEUR» IL FAUT COMMENCER PAR SE CONVERTIR!
Ce sont des collines à aplanir et des obstacles à éliminer, en clair surtout, l’orgueil qui conduit à être impitoyable et sans amour envers les autres, l’injustice qui trompe le prochain et qui est mère de la vengeance, la rancœur qui préserve l’amertume en empêchant le pardon. Les trahisons dans l’amour; nos infidélités par action et omissions. La paresse, l’incapacité de s’imposer le moindre effort, tout péché d’omission.
Oui, il est de nombreuses collines à aplanir pour dégager un chemin dans le désert. Oui, il est nécessaire de se convertir pour que Dieu puisse nous rejoindre.
Mais nous pouvons avoir courage et nous réjouir. La parole de Dieu ne nous écrase jamais sous une montagne de devoirs sans nous donner en même temps l’assurance que Dieu fait avec nous ce qu’Il nous commande de faire. Entendez la bonne Nouvelle! Quand Dieu commande, c’est parce qu’il donne lui-même les moyens de réaliser ce qu’il demande! C’est ce que disait le prophète Baruch: Dieu «a décidé que soient abaissées toute haute montagne et les collines éternelles, et comblées les vallées pour aplanir la terre, pour qu’Israël chemine en sécurité dans la gloire de Dieu» [Ba 5, 7, ndlr].
Ainsi, c’est bien Dieu qui aplanit, c’est bien Dieu qui comble, Dieu qui trace la route!
Il vient nous aider à nous convertir!
A nous revient la tâche de favoriser son action, de collaborer à son œuvre. Au mieux, nous sommes des collaborateurs conjoints et subordonnés. Mais le chef du chantier, le principe de toutes actions bonnes, c’est toujours Dieu! Cela rend bien compte et de la grandeur de Dieu et de l’importance de notre action.
«Celui qui nous a créés sans nous, ne nous sauvera pas sans nous.»
Merci Seigneur pour Jean-Baptiste, la voix au service de ta Parole.
Il nous appelle aujourd’hui à préparer le chemin du Seigneur, à aplanir sa route.
01 - IL FAUT PRÉPARER LA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - RÊVE D'UN MONDE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
" Un pour tous, tous pour un"
Un pour tous, tous pour un. Unus pro omnibus, omnes pro uno ou de la vertu de la solidarité à une vision progressiste du monde.
D'origine latine et actuelle devise de la Suisse, l'expression a été popularisée par les Trois Mousquetaires, d'Alexandre Dumas. Elle met en valeur la vertu de solidarité, pour renforcer les liens d'une équipe, qui ne fait ainsi qu'un.
Il faut être solidaire et ne faire qu'un.
Dans la théorie, cette devise a priori simple, facile à comprendre par tous, car il s’agit bien là de bon sens, mais à la difficile mise en pratique lorsqu’il s’agit de réfléchir ensemble, agir ensemble, pour atteindre un objectif unique, une cause ou un idéal commun et ce quel que soit le domaine : familial, social, économique, éthique ou politique, que ce soit au niveau local, national ou encore international.
« Un pour tous, tous pour un » ou « Tous pour un, un pour tous » peut aussi se décliner sous la forme du proverbe « L’Union fait la force »
En partant de ce proverbe, il n’y a pas loin à penser à l’Europe et à la devise qui devait être officiellement la sienne et qui, pourtant, ne le fût jamais : « Unie dans la diversité ». Apparue en 2000, et bien que selon moi, illustrant parfaitement les fondements de l’Europe, en particulier ce pour quoi, l’Union européenne a été créée et qui peut se résumer en une phrase : œuvrer pour la paix et la prospérité tout en respectant et en s’enrichissant de diverses cultures, traditions et langues.
Cette devise a été intégrée en 2004 au traité de Rome à l’article I-8
Tout processus collaboratif, tout projet, ou défi est plus facile à réaliser s’il y a unité sur le fond, sur les moyens à mettre en œuvre pour y arriver.
02 - RÊVE D'UN MONDE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
03 - JÉSUS CHRIST ALLÉLUIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
L’Alléluia : une acclamation chantée
Plusieurs acclamations ponctuent la liturgie eucharistique. On les oublie souvent quand on évoque les chants de la messe. Pourtant, ce sont elles qui structurent la célébration et permettent aux différentes parties de bien s’articuler pour un meilleur dynamisme de la liturgie
De toutes les acclamations, l’Alléluia est celle dont les mises en musique sont particulièrement nombreuses. D’origine biblique, Alléluia signifie “Louez Dieu”. Il exprime la joie de l’assemblée qui va recevoir, du Christ, Verbe incarné, la parole de Dieu. Il se présente comme une joyeuse acclamation pascale accompagnant la procession solennelle de l’Évangile et la venue du Seigneur dans sa Parole. En effet, c’est un bonheur pour l’assemblée d’apprendre que le Christ a lui livrer la parole du Salut.
On distingue d’abord les dialogues entre le célébrant et l’assemblée. Ces acclamations se font à la fin de la lecture de l’évangile : “Louange à toi, Seigneur Jésus”, à la fin de la préface : “Saint, le Seigneur”, à la doxologie : “Amen”, à l’anamnèse : “Gloire à toi”.
On trouve ensuite l’Alléluia (ou l’acclamation qui le remplace pendant le Carême). Il précède la proclamation de l’Évangile et est une ovation à Dieu. Toutes ces acclamations sont une action de l’assemblée toute entière qui célèbre son Seigneur et le rencontre. Personne ne peut donc les confisquer à son profit et au détriment de l’assemblée qui se doit de les chanter.
Acclamation avant l'Évangile:
L’alléluia doit être compris comme un cri d’accueil, acclamation au Christ ressuscité qui v
a s’adresser à nous. Nous pouvons aussi le percevoir comme un cri d’impatience, de manque, une exclamation destinée à réveiller tous nos sens ! Reprendre l’alléluia après cette proclamation équivaudrait à accueillir une nouvelle fois … c’est pourquoi le lectionnaire nous invite au dialogue conclusif qui affirme une reconnaissance : « Acclamons la parole de Dieu : Louange à Toi, Seigneur Jésus ! ».
03 - JÉSUS CHRIST ALLÉLUIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - PSAUME 25
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Les psaumes 25
Le psaume 25 est une supplication d'un fidèle du Seigneur qui a péché, subit en punition l'attaque d'ennemis et dont le péril le rend conscient de l'abandon de Dieu ainsi que de la gravité de sa défaillance. Ce psaume est le deuxième poème alphabétique du Psautier (cf. Ps 9-10).
Psaume 25 supplie Dieu de nous sauver de l'opprobre des gens. Dans ce monde actuel dans lequel nous vivons, un certain nombre de personnes attendent patiemment notre chute en tant que chrétiens, pour pouvoir se moquer de nous et dire du mal du Dieu que nous servons. Le roi David, comme beaucoup d'entre nous, veut que ces gens attendent qu'il soit honteux, le Psaume 25 est écrit pour implorer Dieu de le sauver des plans de ses adversaires. De même, nous qui invoquons le nom de Dieu jour et nuit et nous qui avons refusé de compromettre notre foi, le Psaume 25 devrait être notre hymne jour et nuit pour toujours rappeler à Dieu de se souvenir de ses promesses concernant ceux qui croient en lui.
04 - PSAUME 25
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - EN TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
" In manus tuas Domine "
Évangile selon Saint Luc, ch. XXIV, verset 47 : « Alors Jésus, criant à haute voix, dit : Mon père, je remets mon âme entre vos mains (In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum)" Et ayant dit cela, il expira.
Se remettre à Dieu signifie Le laisser agir dans ta vie. Quand tu pries, assures-vous de t’en remettre entièrement à Dieu. Si quelque chose est difficile, dis-lui pourquoi c’est difficile et demande-lui de s’en occuper. Nous ne savons pas tout, comment pouvons-nous savoir ce qui est le mieux pour nous ?
Dieu sait tout et il connaît le meilleur pour nous !
La Bible nous dit de garder les paroles de Dieu dans notre coeur.
Ainsi tu connaîtras la volonté de Dieu. Le Saint-Esprit utilise les versets bibliques que tu connais pour t’apprendre à t’en remettre à Dieu quand tu pries.
Jésus savait que la volonté de Dieu pour Lui était de mourir sur la croix pour les péchés de tous. Jésus savait aussi que mourir sur la croix ferait tellement mal. Il serait seul. Il allait mourir. Jésus ne voulait pas souffrir sur la croix. Mais Il ne s’est pas plaint. Jésus a cédé à la volonté de Dieu quand il a dit: « Que ta volonté soit faite, et non la mienne ».
Il a obéi à Dieu et s’est abandonné à Lui même.
En s’abandonnant à Dieu, Dieu nous rend plus forts.
05 - EN TES MAINS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
06 - À TROP PARLER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Words... Words... Words... (Paroles de la chanson de Léo Ferré)
Parler plus qu’il ne faut, se “déshabiller verbalement” ou mettre régulièrement les pieds dans le plat est une perturbation du contact avec soi-même, avec les autres et avec son environnement.
D’où vient cette difficulté à garder la bonne distance ? D’une incapacité à supporter la frustration existentielle de la solitude.
En dire trop c'est quelque fois souffir d’un trouble proche de l’hystérie. Le but inconscient est simple : faire de l’effet, attirer l’attention à n’importe quel prix. C'est pratiquer la technique de la fuite en avant : « J’en montre le maximum pour être sûr que vous ne me poserez pas de questions sur ce que je ne veux pas montrer ! »
Les mots choquants, les propos extrêmes sont un écran de fumée pour empêcher que les autres s’approchent de ce qu’ils considèrent comme leurs failles.
06 - À TROP PARLER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - TOI L'INCONNU QUI ME RESSEMBLES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789
Article 1er
"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune."
Le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des droits de l'homme était signée par 58 états, à Paris. On fête aujourd'hui, les 60 ans de ce texte fondateur dont le premier article proclame : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ».
07 - TOI L'INCONNU QUI ME RESSEMBLES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08 - COMME UN RAYON DE SOLEIL
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Le soleil symbole de vie, donneur de vie.
Le Soleil syùbole de l'intelligence. La Lumière de la Sagesse.
Le Soleil donne la vie et si le Soleil venait à disparaitre, ou même si ses rayons ne nous parvenaient plus, la vie s'éteindrait sur Terre,
08 - COMME UN RAYON DE SOLEIL
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08 - COMME UN RAYON DE SOLEIL
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - BIENHEUREUSE CELLE QUI A CRU
Paroles : Danielle SCIAKY
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Question: "Que nous enseigne la Vierge Marie ?"
Réponse : "La Vierge Marie nous enseigne à nous tourner vers Jésus."
Marie est avant tout celle qui, parce qu'elle a répondu la première à l'Amour total de Dieu, nous guide à faire de même.
Figure discrète et silencieuse de l'Évangile, la Vierge Marie est d'abord Celle qui conduit à Jésus.
Il semble bien que la dévotion à Marie est née dès les origines du christianisme, nourrie par le texte apocryphe Protévangile de Jacques plus que par les textes peu nombreux du Nouveau Testament. Mais le culte plus officiel rendu à Marie s’est développé surtout à partir du VIe siècle, à la fois dans les églises d’Orient et d’Occident.
L’affirmation que Marie était Vierge et Mère de Dieu (Théotokos) est apparue dans la foulée des conciles christologiques, comme corollaire à la divinité de Jésus, Fils de Dieu. L’Église catholique confirma sa pensée sur Marie à travers les dogmes de l’Immaculée Conception et de l’Assomption.
On ne peut pas séparer la Vierge Marie de la Trinité et de la Rédemption.
La Rédemption : Jean-Paul II nous explique que « Mère du rédempteur » consiste à faire de Marie une associée à l’œuvre du Christ, du fait que Marie eût accepté dans la foi de répondre à la demande de l’Ange, à l’Annonciation : « Le premier moment de la soumission à l’unique médiation “entre Dieu et les hommes” — celle de Jésus-Christ — est l’acceptation de la maternité de la part de la Vierge de Nazareth.
La Trinité Là où se trouve la Vierge Marie il y a le Christ; et là où se trouve le Christ il y a son Esprit Saint, qui procède du Père et de Lui-même dans le Saint Mystère de la Vie Trinitaire.
La Vierge Marie est à la fois la Fille du Père, l’Épouse du Saint-Esprit et la Mère du Fils de Dieu.
À Cana « Faites tout ce que mon Fils Jésus vous dira.. »
09 - BIENHEUREUSE CELLE QUI A CRU
Paroles : Danielle SCIAKY
Musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - POUR LA COLOMBE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Dans la tradition chrétienne, la colombe symbolise le Saint-Esprit. Au XX e siècle, un oiseau blanc tenant un rameau d'olivier dans le bec, sans précision d'espèce, est un symbole de paix.
L’image universelle de la colombe en tant que symbole de la paix a des origines bibliques. Cet emblème représentait la fin du chaos.
Dans le Livre de la Genèse l’oiseau qui annonce à Noé la fin du Déluge est une colombe. Cet oiseau revient à Noé en tenant dans son bec un rameau d’olivier indiquant que le niveau de l’eau avait bel et bien baissé. La colombe ainsi messagère de Dieu symbolise donc la paix, l’harmonie, l’espoir et le retour du bonheur.
La colombe : Symbole de vérité et de pureté
La colombe est la personnification même de la pureté et de la vérité du fait de sa blancheur. Elle est ainsi comparée à l'agneau et est utilisée pour les sacrifices comme ce fut le cas à la naissance de Jésus.
colombe
La colombe : Symbole du Saint-Esprit
Dans le christianisme, la colombe représente également le Saint-Esprit. Dans les écritures, l'Esprit Saint descend sur le Seigneur Jésus sous forme de colombe après qu'il fut baptisé. Elle symbolise des connaissances spirituelles élevées.
La colombe : Symbole de paix et d'amour
Au plan religieux, la colombe personnifie l'amour, la paix et aussi l'espérance. C'est une colombe que Noé envoie depuis l'arche pour constater le niveau de l'eau sur la terre ferme. Quand celle-ci revient le soir elle a dans son bec un rameau d'olivier. Ce qui signifie que les eaux ont disparu et que toute vie peut reprendre sur Terre. C'est en cela que cet oiseau généralement de couleur blanche symbolise l'espoir, la paix ou encore le bonheur
10 - POUR LA COLOMBE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
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