SERVIR
Année 2015 - Cd épuisé
Orchestrations : Christian BROGNIART
Choeurs : Floriane - Christian - Yann
Jean Philippe GALERIE**
Pianiste : Stéphane SIGNORET
La TOURNÉE LIBAN 2018-2019
ainsi que la vente
de ce Cd SERVIR-2015
était au profit de :
- Chrétiens d'Orient Beyrouth LIBAN
Ce Cd SERVIR-2015 est épuisé.
Mais, d'autres Cd sont disponibles.
Vous pouvez commander à :
Association Saint Bruno -
39 Chemin des AURENGUES -13013 Marseille
Mail : associationsaintbruno13@gmail.com
- 15€ + frais de port
La vente de ce Cd SERVIR était au profit de :
- Chrétiens d'Orient Beyrouth LIBAN
Merci
à l'organisatrice:
Soeur Éva Établissement Scolaire
des Soeurs de la Ste Famille - JOUNIEH
Merci
à Marina d'avoir réalisé 2 Cd en arabe avec mes chansons.
Merci
à l'ermite Jouhanna d'avoir traduit mes chansons en arabe.
(Voyage payé par Jean-Claude)
Pour la catéchèse
Définitions du verbe servir:
S'acquitter envers quelqu'un, une collectivité de certaines obligations,
leur consacrer son activité
Apporter à quelqu'un, quelque chose, son aide, son appui
Servir la et avec justice...
Fournir, donner à...
Être utile à...
Orientation catéchétique:
Servir les autres, c'est servir Dieu.
Non pas pour avoir des remerciements,
mais pour Dieu.
Servir
Jésus nous donne une clé toute simple si nous voulons être grand dans son royaume et avoir une vie bénie ;
il nous dit : « Il faut servir les autres ».
Il n'a pas parlé d'une aide ponctuelle mais d'un art de vivre.
Servir les autres
doit devenir un style de vie.
Jésus a dit : « Je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Luc 22:27).
En vrais disciples de Jésus, nous devons, nous aussi, servir autrui.
Servir,
c’est aider des personnes qui ont besoin d’assistance.
Le service chrétien découle de l’amour sincère pour le Sauveur et de l’amour et de la sollicitude pour les personnes qu’il nous donne l’occasion d’aider et pour qui il nous incite à le faire.
L’amour est plus qu’un sentiment.
Quand nous aimons les autres, nous voulons les aider.
Servir
quels que soient notre revenu, notre âge ou notre statut social.
Certaines personnes croient que seuls les pauvres et les humbles doivent servir.
D’autres pensent que seuls les riches devraient le faire.
Mais Jésus a enseigné le contraire.
Lorsque la mère de deux de ses disciples lui a demandé d’honorer ses fils dans son royaume,
Jésus a répondu :
« Quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur ; et quiconque veut être le premier parmi vous,
qu’il soit votre esclave » (Matthieu 20:26-27).
Servir
Quand nous vivons pour « servir les autres »,
nous aidons, nous faisons du bénévolat dans notre église, nous nous occupons de vos proches.
Pour nous, ce n'est pas un devoir ni une obligation ;
ce n'est pas quelque chose que nous nous forçons faire.
Cela fait partie intégrante de nous. Nous développons
l'attitude de donner à toutes les personnes
que nous rencontrons.
Servir
C'est en servant que l'être humain connaît le vrai bonheur
et l'accomplissement personnel.
Servir
Nous ne vivons plus pour recevoir, mais pour donner.
Beaucoup de personnes ne sont pas heureuses parce qu'elles sont trop focalisées sur leur propre vie :
« Mes rêves, ma réussite, mon confort… »,
mais aussi : « Mes problèmes, mes soucis, mes inquiétudes… ».
En vous centrant trop sur vous-mêmes, vous vous limitez.
C'est important de s'ouvrir aux autres.
Nous avons été créés pour donner.
Dieu a mis des personnes dans notre vie pour que nous puissions être une bénédiction pour elles.
Chaque matin, nous devrions nous poser cette question : « Quelle est ma Mission aujourd'hui ? »,
et demander au Seigneur :
« Montre-moi les personnes auxquelles je peux faire du bien ».
Il est des personnes qui ont toujours le cœur sur la main et cela depuis des années.
Elles servent les autres en permanence : elles amènent ou vont chercher des personnes à l'aéroport, en invitent d'autres à diner chez elles, soutiennent les pasteurs, conseillent les frères et les sœurs dans l'église.
Un jour, je téléphonai à l'une d'entre elles,
c'était un samedi après-midi.
Quand la personne décrocha, j'entendis un brouhaha derrière elle
et elle m'expliqua qu'elle était sur le toit de sa voisine car elle avait des tuiles cassées qu'il fallait changer.
Un autre week-end, elle aidait un ami à déménager.
Cette personne avait développé cette attitude de service.
Servir
c'est se rapproché de Dieu.
01 - ET PUISQU'IL FAUT CHOISIR UNE ARME
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Il n’est pas facile de prier, de résister à la tentation, de faire face aux épreuves de la vie, de pardonner, de croître dans la foi, etc.
Ces sentences d’Évagre le Pontique (Père du désert mort en 399) soulignent le caractère incontournable du combat spirituel dans la vie chrétienne.
« Il est impossible de devenir chrétien en dehors des combats. »
« Il n’est pas possible d’acquérir la sagesse sans combat. »
« Nous avons été établis en ce monde pour la lutte. »
Quelles sont les armes à notre disposition pour le combat ? Partons à la découverte de l’arsenal à notre disposition.
« Nul athlète n’est couronné s’il n’a combattu selon les règles ».( 2 Tim 2, 5 )
Le combat spirituel : c’est contre le mal pour faire le bien. Rejet du mal
pour faire le bien.
« Résistez avec les armes de Dieu »
(Ep 6.13).
Saint Paul affirme qu’il y a 7 armes.
1 (La ceinture) => La vérité
2 (La cuirasse) => la justice
3 (Les chaussures) => le zèle que donne l’Evangile de Paix
4 (Le bouclier) => la Foi
5 (Le casque) => le Salut
6 -( L’épée) l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu.
7 La Prière : La prière est le fondement ou la fondation d’une vie en Jésus-Christ. Sans la prière, vivre pieusement avec Jésus au milieu de ce monde corrompu est impossible. La prière donne la force de résister au mal
Attention : « là où manque une arme, c’est là où le diable attaque ».
La grande arme du combat c’est la miséricorde de Dieu,
toujours victorieuse si notre cœur se repent.
01 - ET PUISQU'IL FAUT CHOISIR UNE ARME
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
01 - ET PUISQU'IL FAUT CHOISIR UNE ARME
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - MARCHAND D'EAU
en duo avec Raymond FAU
Paroles et musique : Jean HUMENRY
03 - CRÈVE, CRÉVE LA MISÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Jésus a dit : « Je suis au milieu de vous comme celui qui sert » (Luc 22:27). En vrais disciples de Jésus, nous devons, nous aussi, servir autrui.
Servir, c’est aider des personnes qui ont besoin d’assistance. Le service chrétien découle de l’amour sincère pour le Sauveur et de l’amour et de la sollicitude pour les personnes qu’il nous donne l’occasion d’aider et pour qui il nous incite à le faire. L’amour est plus qu’un sentiment. Quand nous aimons les autres, nous voulons les aider.
Nous devons tous être disposés à servir, quels que soient notre revenu, notre âge ou notre statut social. Certaines personnes croient que seuls les pauvres et les humbles doivent servir. D’autres pensent que seuls les riches devraient le faire. Mais Jésus a enseigné le contraire. Lorsque la mère de deux de ses disciples lui a demandé d’honorer ses fils dans son royaume, Jésus a répondu : « Quiconque veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur ; et quiconque veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave » (Matthieu 20:26-27).
03 - CRÈVE, CRÉVE LA MISÈRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - S'IL EST VRAI QU'UN PRINTEMPS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Il y a de nombreuses manières de servir. Nous pouvons aider les autres économiquement, socialement, physiquement et spirituellement. Par exemple, nous pouvons donner de la nourriture ou d’autres choses aux personnes qui en ont besoin. Nous pouvons aider les personnes dans le besoin en faisant une offrande de jeûne généreuse. Nous pouvons nous lier d’amitié avec un nouveau venu. Nous pouvons cultiver le jardin d’une personne âgée ou prendre soin d’une personne malade. Nous pouvons enseigner l’Évangile à une personne qui a besoin de la vérité ou réconforter une personne qui a du chagrin.
Nous pouvons rendre de petits et de grands services. Nous ne devons jamais manquer d’aider quelqu’un sous prétexte que nous ne pouvons pas faire de grandes choses. Une veuve raconte l’histoire de deux enfants qui ont frappé à sa porte peu après qu’elle a déménagé dans une autre ville. Les enfants lui ont apporté un panier-repas accompagné d’un mot, qui disait : « Si vous voulez que quelqu’un fasse des courses pour vous, appelez-nous. » La veuve s’est réjouie de ce petit acte de gentillesse et ne l’a jamais oublié.
04 - S'IL EST VRAI QU'UN PRINTEMPS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - LOLA ,N'AURA JAMAIS 10 ANS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
LOLA N’AURA JAMAIS 10 ANS
Sa vie s'est arrêtée sur une route… elle allait avoir 10 ans…
Elle était le rayon de soleil.. la petite dernière…
Perdre son enfant est la souffrance la plus grande qui puisse exister.
Immense douleur atroce, horrible …une douleur qui déchire, qui démolit….
l'absence et le manque qui détruisent
inexorablement… Cataclysme intérieur…
Comment se remettre de la perte de son enfant ? Impossible...
Comment avoir encore foi en l'avenir lorsque la vie a perdu son moteur… ?
Comment vivre cette "impossible absence"... ?
La vie est devenue une véritable torture; chaque jour, chaque heure, chaque minute une épreuve…
Le vide est immense... la vie n'a plus de sens… Pourtant, il faut continuer à vivre ou à survivre…
le devoir de tenir pour son frère et sa soeur...
Anéantie la famille souffrent le martyr, seule au monde dans sa détresse…
Et nous, les amis, nous sommes démunis devant cette injuste et horrible
épreuve.
Pourquoi ?.... Pourquoi ?
Et si la réponse était : « Pour vivre une Autre Vie… en Paix dans un monde meilleur… »
Nous sommes de passage seulement.
« Je sais que mon enfant reste sur mon chemin, toujours là dans mon cœur et
que son amour demeure plus vivant que jamais, et qu'il me relève lorsque je tombe. Il est là, et me le fait savoir de mille façons. Il faut du courage…Il faut rencontrer de belles personnes qui aident à continuer cette route que l'absence d’un enfants de lumière rend si difficile…. »
06 - UNE CHANSON
Paroles et musique : Alain BARRIÈRE
Pourquoi le Seigneur veut-il que nous servions les autres ?
L’œuvre de Dieu s’accomplit par l’intermédiaire du service d’hommes et de femmes, de garçons et de filles. Spencer W. Kimball a expliqué : « Dieu nous remarque et il veille sur nous. Mais c’est habituellement par l’intermédiaire d’une autre personne qu’il répond à nos besoins » ( Spencer W. Kimball, 2006, p. 92).
Nous avons tous besoin de l’aide des autres pendant toute notre vie. Lorsque nous étions tout petits, nos parents nous ont nourris, habillés et ont pris soin de nous. Sans ces soins, nous serions morts. Lorsque nous avons grandi, d’autres personnes nous ont formés et éduqués. Beaucoup d’entre nous ont eu besoin de soins pendant une maladie ou d’argent lors de difficultés financières. Certains d’entre nous demandent à Dieu de bénir les gens qui souffrent et ne font rien pour eux. Nous devons nous rappeler que Dieu agit par notre intermédiaire.
06 - UNE CHANSON
Paroles et musique : Alain BARRIÈRE
07 - NE LES OUBLIONS PAS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
« La disparition des chrétiens d’Orient est une catastrophe de civilisation »
Persécutés tout au long de leur histoire, les chrétiens d’Orient ont pourtant survécu. Mais leur disparition progressive, accélérée ces dernières années, est une tragédie.
07 - NE LES OUBLIONS PAS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08 - DIEU SEUL SUFFIT
Texte du refrain Ste Thérèse d'AVILA
Texte des couplet : Jean-Claude GIANADDA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
« Dieu est là, et cela suffit ! Dieu est là, et cela suffit ! Apprenons, nous aussi, à répéter ces mots simples lorsque, dans l’Église ou dans notre vie, nous nous trouvons dans des situations semblables à celles de Saint François »
“Mon âme a soif du Dieu vivant” (Ps 42, 2). « Pressés par des tâches à accomplir, des problèmes à résoudre, des défis auxquels répondre, que nous risquons de perdre de vue… notre relation personnelle à Dieu »,
Celui qui le cherche le trouve ; à celui qui frappe, il ouvre ;
et une fois qu’on l’a trouvé, tout le reste passe au second plan.
08 - DIEU SEUL SUFFIT
Texte du refrain Ste Thérèse d'AVILA
Texte des couplet : Jean-Claude GIANADDA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - RESTE AVEC NOUS SEIGNEUR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Emmaüs
Cette histoire personnellement me rappelle toujours que le Seigneur vit ; Il est /et sera toujours avec nous.
Ces deux disciples sont pris dans le tourbillon des événements terribles et incompréhensibles de la mort tragique de Jésus, celui sur qui ils avaient tout misé. Complètement abattus, ils tournent le dos à Jérusalem et empruntent la route d’Emmaüs. Désillusions et déceptions étaient leur seul sujet de conversation.
Nous sommes tous, à un moment ou l’autre, sur la route d’Emmaüs : Nous nous retrouvons alors à la tombée du jour, quand la lumière faiblit et menace de s’éteindre, découragés et sans solutions à nos problèmes. Comme le psalmiste qui se demandait : « D’où nous viendra le secours ? », je réponds
: « Le secours viendra du Seigneur, celui qui a fait le ciel et la terre »
09 - RESTE AVEC NOUS SEIGNEUR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - LES 7 BOUGIES DE TIBHIRINE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Commentaire : le film « Des hommes et des dieux » est le meilleur des commentaires pour ces pèlerins de l’Essentiel. Leur vie de silence, de prière et d’amour fraternel au milieu d’une population musulmane est un signe éloquent que Dieu fait des merveilles dans la discrétion du quotidien.
Utilisation : chant pour une veillée de prière ou une célébration évoquant les moines de Tibhirine assassinés.
10 - LES 7 BOUGIES DE TIBHIRINE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - LA VIE CONTINUE FAIS TA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Grâce au service, notre capacité d’aimer augmente. Nous devenons moins égoïstes. Quand nous pensons aux problèmes des autres, nos propres problèmes paraissent moins graves.
Dieu dit que les personnes qui vivent avec Lui doivent aimer et servir ses enfants (voir Matthieu 25: 34-40).
Quand nous examinons la vie des personnes qui servent généreusement, nous constatons qu’elles reçoivent plus qu’elles ne donnent. C’était le cas d’un saint des derniers jours appelé Paul, qui avait perdu l’usage de ses deux jambes dans un accident. Certains hommes auraient pu devenir amers et désœuvrés mais Paul a choisi de penser aux autres à la place. Il a appris un métier et a gagné assez d’argent pour acheter une maison. Sa femme et lui y ont recueilli beaucoup d’enfants abandonnés. Certains étaient fortement handicapés. Jusqu’à sa mort, vingt ans plus tard, il a servi ces enfants et d’autres personnes.
Servir c'est se rapproché de Dieu.
11 - LA VIE CONTINUE FAIS TA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
12 - SAINTE COLETTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Réformatrice des Clarisses (+ 1447)
Elle est née à Corbie, en Picardie. Ses parents se désolaient de ne pas avoir d'enfants. Ils prièrent saint Nicolas. Lorsqu'ils reçurent cette petite fille, ils lui donnèrent le nom du saint protecteur: Nicole, devenu aussi, en diminutif familier Colette.
Orpheline à 18 ans, elle obtint du Père Abbé d'un monastère voisin, la possibilité d'entrer chez les béguines d'Amiens malgré son âge. Elle n'y reste qu'un an jugeant leur vie trop douce. Même déception chez les bénédictines, puis chez les clarisses. Les amis de Sainte Colette de Corbie
Son père spirituel est franciscain et comprend son désir d'austérité. Il la fait entrer dans le Tiers-Ordre de Saint François comme recluse à Corbie. Mais elle se sent appelée à plus de pauvreté encore et, pour cela, elle veut réformer le Second Ordre de saint François, les clarisses. C'est pourquoi elle obtient de rencontrer le pape Benoît XIII qui réside alors en Avignon (note d'un internaute: "C'est à Nice que Colette rencontra le pape Benoît XIII. Le Monastère de Cimiez en garde le souvenir"). Ce pape n'était qu'un anti-pape du Grand Schisme qui déchirait alors l'Occident. Mais son sens spirituel était réel et profond. Il reçoit la profession religieuse de sainte Colette dans la règle de Sainte Claire et la nomme abbesse de tous les monastères qu'elle sera amenée à fonder ou réformer.
Cette décision sera confirmée par Alexandre V, le pape de Rome.
Colette vient alors en Franche-Comté et réforme en premier lieu le monastère de Besançon puis bien d'autres en Savoie, Artois, Allemagne et Belgique.
Elle mourra à Gand et son corps sera, par la suite, transporté à Poligny dans le Jura.
...En 1432 Colette fonde au Puy le monastère de l'Ave Maria. 14 religieuses participent à cette aventure. Elle reste deux ans au Puy... (Saints du diocèse du Puy-en-Velay)
13 - MARIE NOTRE SECOURS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
7 attitudes de la Vierge Marie à imiter, aujourd’hui et toujours
1 Silence intérieur
Marie est surprise par la visite de l’ange mais, toute emplie intérieurement d’un profond silence, elle peut accueillir et comprendre le message angélique. Elle est accoutumée de méditer les paroles du Seigneur, elle est accoutumée au langage divin et le capte dans un profond recueillement.
2 Écoute attentive
Respectueusement, Marie écoute l’ange. Elle ne pense pas à elle-même, ni à ce qu’elle doit faire, ni à ce qu’elle va devoir laisser pour être la Mère de Jésus. Elle se tient disponible, écoute, se laisse toucher par les paroles et les médite dans son cœur. Apprenons de Marie à écouter Dieu dans le silence et au milieu des circonstances concrètes de notre vie, et demandons-lui de nous aider à garder notre cœur ouvert à sa parole.
3 Accueil généreux
Après avoir écouté, Marie accueille. Les paroles portent intérieurement leur fruit elles ne passent pas comme le vent mais demeurent et prennent racine dans son cœur. Apprenons à vivre un accueil humble du Plan de Dieu dans notre vie. Qu’Elle nous enseigne à accepter avec amour les desseins divins et à ne pas en vouloir un autre pour notre vie.
4 Recherche
Cette attitude est celle qui conduit Marie à s’interroger sur le sens profond des paroles du Messager de Dieu au moment de l’Annonciation: “ Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? ”. Et sa question n’est pas le fruit du doute, mais du désir d’être mieux éclairée afin de pouvoir découvrir la profondeur de sa mission. En elle se trouve le désir de répondre avec une fidélité et une générosité plus grandes. Apprenons de Marie à avoir un cœur inquiet qui soit sans repos tant qu’il ne glorifie pas Dieu par notre vie.
5. Disponibilité au Plan de Dieu
Marie se montre totalement disponible pour faire ce que Dieu lui demande. Cette attitude est celle d’un cœur éduqué à dire oui dans les petites choses, un cœur éduqué à penser d’abord aux autres qu’à lui-même. Apprenons de Marie à avoir cette ouverture, cette générosité sans aucune mesure qui se donne complètement à Dieu et aux autres.
6. Confiance en Dieu et en ses promesses
Depuis qu’elle est toute petite, Marie a médité les promesses faites par Dieu au peuple d’Israël. Elle les connaît et sait qu’Il a toujours été fidèle malgré la faiblesse du peuple. Sa confiance n’est pas aveugle, elle est fondée sur les actions de Dieu. Elle l’a laissé être le centre de sa vie, s’est ouverte à son amour. Elle incarne les aspirations et les luttes d’un peuple qui, en dépit de sa fragilité, a cru en Dieu. Apprenons de Marie à avoir confiance que Dieu tient toujours ses promesses et qu’il ne va pas faire avec nous une exception car il est infiniment bon et fidèle.
7 Vaillance
Marie ne s’est pas laissé abattre face à la Mission exceptionnelle que lui annonce l’ange. Elle a peur, oui, mais se lance avec courage pour accomplir le Projet de Dieu. Elle est encore une enfant, mais elle a profondément confiance en la grâce de Dieu qui grossit ses petits efforts et est capable de reconnaître la valeur de son oui. Apprenons de Marie à avoir confiance que Dieu peut faire de grandes choses avec notre petitesse quand nous la lui remettons totalement.
13 - MARIE NOTRE SECOURS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
14 - LOUEZ SON NOM
Voix - interprètation : Willy JEUDI
Paroles et musique : Willy JEUDI
Les chrétiens parlent beaucoup de « louer Dieu ». La Bible demande à toutes ses créatures de louer le Seigneur (Psaume 150.6). Un verbe hébreu traduit par « louer » est yadah, qui signifie « louer, rendre grâces ou confesser ». Un autre verbe dans l'Ancien Testament est zamar, « chanter les louanges ». Un troisième est halal (la racine d'alléluia), qui signifie « louer, honorer, rendre hommage ». Ces trois verbes impliquent tous la même idée de rendre grâces et d'honorer celui qui en est digne.
Le livre des Psaumes est un recueil de chants de louange au Seigneur, notamment le Psaume 9 : « Je ferai de toi le sujet de ma joie et de mon allégresse, je chanterai ton nom, Dieu très-haut » (verset 2). Le Psaume 18.4 dit : « Loué soit l’Éternel ! » Le Psaume 21.14 loue Dieu pour qui il est et pour sa puissance : « Lève-toi, Éternel, dans toute ta force ! Nous voulons chanter, célébrer ta puissance. »
Dans le Psaume 150, le verbe louer est employé 13 fois en six versets. Le premier verset indique où louer Dieu : partout ! « Louez l’Éternel ! Louez Dieu dans son sanctuaire ! Louez-le dans l’étendue céleste où éclate sa puissance ! »
- Le prochain verset dit pourquoi nous devons louer le Seigneur : « Louez-le pour son extraordinaire façon d’agir ! Louez-le pour l’immensité de sa grandeur ! »
- Les versets 3-5 indiquent comment le louer : avec divers instruments et danses. L'impression donnée est que nous devons employer tous les moyens sonores à notre disposition pour louer le Seigneur.
- Le verset 6 dit qui doit louer le Seigneur : « Que tout ce qui respire loue l’Éternel ! Louez l’Éternel ! » Tout être vivant doit louer le Seigneur.
Le Nouveau Testament contient des exemples de louange à Jésus. Matthieu 21.16 décrit la foule qui le loue alors qu'il entre à Jérusalem, monté sur un ânon. Matthieu 8.2 parle d'un lépreux qui est tombé à genoux devant Jésus. En Matthieu 28.17, les disciples de Jésus le louent après sa résurrection. Jésus a accepté d'être loué comme étant Dieu.
L’Église primitive avait souvent des moments de louange. La première église de Jérusalem, par exemple, y attachait de l'importance (Actes 2.42-43). Les responsables de l'église d'Antioche priaient, jeûnaient et adoraient Dieu quand Paul et Barnabas ont été appelés à l'œuvre missionnaire (Actes 13.1-5). Plusieurs lettres de Paul contiennent des passages de louange au Seigneur (1 Timothée 3.14-16, Philippiens 1.3-11).
À la fin des temps, tous les enfants de Dieu le loueront éternellement ensemble. « Il n'y aura plus de malédiction. Le trône de Dieu et de l'Agneau sera dans la ville ; ses serviteurs lui rendront un culte. » (Apocalypse 22.3) La malédiction du péché vaincue, ceux qui demeureront avec lui pour toujours loueront le Roi des rois à la perfection. Il a été dit que notre adoration sur terre n'est qu'une préparation à cette célébration de louange quand nous serons pour toujours avec le Seigneur.
15 - P'TITE FLEUR FÂNÉE
en duo avec FLORIANNE
Chant folklore réunkonnais
Paroles : Georges FOURCADES
Musique : Jules FOSSY
Ti Fleur Fanée
La célèbre chanson initialement intitulée « Petite fleur aimée », a été rebaptisée
« Ti’ Fleur Fanée » par les Réunionnais qui se la sont appropriée. Cet « hymne » marque en effet la cohésion entre les différents peuples de La Réunion (chantée à la fois par les cafres, les chinois, les malbars, etc.) et au sein des familles.
QUI, mieux que Georges Fourcade lui-même, pouvait conter la naissance de l’un des plus grand succès de la musique réunionnaise ?
« Cela m’amuse un peu. Tout d’abord car ma “Petite fleur aimée” a été transformée en ” Ti Fleur Fanée “.
Je l’ai écrite pour mon examen d’admission à la Société des Auteurs Éditeurs et Compositeurs de Musiques (AECM) en 1930 devant Monsieur Jacob de Cordemoy sur le thème suivant :
“Vous trouvez au fond d’un vieux coffret ou un vieux livre des petites fleurs fanées en même temps qu’une mèche de cheveux.
Qu’est-ce que cela vous inspire ?”
Il fallait composer trois couplets avec ou sans refrain. Et c’est comme cela que j’ai écrit Petite fleur aimée, c’était le 13 août 1930.
Le 13 novembre 1930, le Conseil d’Administration m’a admis à faire partie de la Société AECM »
15 - P'TITE FLEUR FÂNÉE
en duo avec FLORIANNE
Chant folklore réunkonnais
Paroles : Georges FOURCADES
Musique : Jules FOSSY