Thème
LA PRIÈRE
Qu'est-ce que la prière ?
C'est à travers la prière que je grandis
La prière c'est :
" L'orientation de l'âme vers Dieu, sous l'influence de la grâce." (Définition du catéchisme)
Les trois formes de la prière :
- La prière Vocale (ex : Notre Père - La liturgie ...Chapelet...)
- La prière de Méditation (ex : Évangile...Textes spirituels...)
- La prière de Contemplation (Définition de l'Oraison :"Il me regarde...Je le regarde " (Curé d'Ars)
« Parle Seigneur, ton serviteur écoute » (Samuel).
Prier, c'est donner du temps à Dieu
C'est faire l'expérience de Dieu.
Le chrétien est un chercheur de Dieu parce que Dieu L'a trouvé.
La prière n'est pas une évasion, mais une mise à distance.
C'est une vie et non une parenthèse.
La prière est toujours une RENCONTRE.
Elle change un coeur.
Elle n'arrête pas le temps, elle le met en mouvement. C'est un rendez-vous.
Pour Moïse, Élie... c'est une communion.
La prière n'est pas un refuge, ni un tranquilisant, c'est un APPEL à vivre !
Prier, c'est un APPEL que Dieu nous lance
" Prier, c'est d'abord répondre à un appel que Dieu lance inlassablement. Dans la parabole de Luc, il est question d'un ami qui dérange un autre ami au cœur de la nuit. Cet homme qui nous réveille, c'est Dieu, dit Fr Benoît. "C'est Dieu qui essaie constamment de réveiller l'humanité ; c'est Dieu qui conduit à la prière et qui invite fortement à la prière.Fr Benoît)
Prier, c'est l'acte premier de la foi
" Si on y réfléchit, il est étonnant de constater que dans le Nouveau Testament,
Jésus ne critique jamais les apôtres pour leur manque d'amour mais pour leur manque de foi !
"Le premier lien avec Dieu c'est la foi, c'est ça surtout qu'il faut protéger, après l'amour viendra."
Si la prière est discours, elle est essentiellement intérieure. Elle est au cœur de la foi.
Elle peut s’exprimer par des formules mais aussi par les pleurs, les soupirs, les cris...
Ce qui compte, c’est bien sûr, la rencontre avec Dieu.
Pour s’élever, la prière a besoin de cette " attitude" qui permet à saint Augustin de dire que
" la prière a deux ailes: le jeûne et l’aumône ".
( Notes prises pendant ma retraite du mois d'août 2020 à N.D de Vie)
N.B:
Prière chantée : Lorsque l'on chante, l’important ne se situe pas seulement dans les mots,
mais dans la sincérité de notre cœur à chanter et à espérer.
Prier est-ce "parler à Dieu" ou est-ce "écouter Dieu" ?
« Parle Seigneur, ton serviteur écoute ».(Samuel 3:1-11)
heureux celui qui sait faire de ces six mots
le fondement de sa prière et de sa vie chrétienne.
Car, comme nous l'a dit le Christ,
«Vous êtes heureux si vous savez cela, pourvu que vous le mettiez en pratique». ( 1 Samuel 3:1-11)
« Parle Seigneur, ton serviteur écoute ».
Cette phrase est tirée d’un épisode célèbre de l’Ancien Testament.
C’est la réponse de Samuel à Dieu qui l’appelle.
Cette écoute est un silence habité, à l’opposé du mutisme. Un état paisible, disponible à la parole de l’autre.
Le silence est une manière d’exprimer le vide que nous désirons voir rempli par Dieu. Creuser en nous ce vide immense que le silence exprime et qui est attente de la venue de Dieu.
« Il me parle, donc je suis. Il me parle, donc je me redresse et me tiens debout pour répondre.
Il me parle, Il me fait la grâce de me parler, c’est donc que je suis aimé.
Et je chante alors ce bonheur de vivre à l’écoute de sa parole, de recevoir la vie de cette écoute »
(Collectanea Cisterciensia, N°65, 2003)
La vie intérieure
Il y a quelque chose en moi qui est plus Grand que moi.
Il y a quelque chose en nous que les autres ne peuvent atteindre,
un espace où la liberté est possible : notre vie intérieure.
C'est elle qui nous permet de résister aux difficultés de la vie...C'est notre salut.
Mais pour ne pas la perdre il faut la nourrir de la prière.
APPRENDS-NOUS À T'AIMER
Texte : D'après le texte de la Prière de la Famille KIZITO -
Paroles :( Adaptation) Jean-Claude GIANADDA
Musique : Jean-Claude GIANADDA
LA PRIÈRE
C'est rencontrer DIEU qui est présent en nous.
C'est la volonté de tenir compagnie à Jésus
C'est le volonté de s'unir (ex: le chapelet)
"ME VOICI" (Ex 3, 4)
C'est en se donnant que l'on se trouve
Celui qui me configure, c'est l'Esprit Saint
Que notre être soit disponible à l'action de Dieu
PRIER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
" Prier "
(Lc 18, 9-14)
Ce jour-là deux hommes montent au temple.
Ils vont pour prier...
(Lc 9, 28-36)
Ce jour-là deuxIl monta sur la montagne pour prier
La prière n'est pas une évasion
mais une mise à distance.
C'est une vie et non une parenthèse.
La prière est toujours une RENCONTRE.
Elle change un coeur.
Elle n'arrête pas le temps,
elle le met en mouvement
C'est un rendez-vous.
Pour Moïse, Élie... c'est une communion.
La prière n'est pas un refuge,
ni un tranquilisant,
c'est un APPEL à vivre !
(Lc 9, 18-24)
Jésus s'écarte pour prier
La prière n'est pas une fuite
C'est une lutte
C'est vivre
C'est se mettre sur "orbite" de l'avenir, du futur.
La prière n'edst pas une réponse à un problème, car la prière est un projet
et l'Évangile est toujours une question.
(Mc 1, 29-39)
"Au petit matin il se leva,et sorti pour aller dans un lieu désert, où il pria"
Prier c'est SORTIR pour CHERCHER.
SI SEULEMENT TU ÉTAIS LÀ
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
JÉSUS ME VOICI DEVANT TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
"Apprends-nous à prier "
"Apprends-nous à prier " (Lc 11,1-13)
(Le 3 décembre 2017, le premier dimanche de l’Avent, une nouvelle traduction du Notre-Père est entrée en vigueur dans toute forme de liturgie. Les fidèles catholiques ne disent plus désormais : « Ne nous soumets pas à la tentation » mais « Ne nous laisse pas entrer en tentation ».)
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
« Notre Père qui es aux cieux, que ton Nom soit sanctifié »
La prière que le Seigneur a enseignée à ses disciples commence par l’invocation : « Notre Père » (comme nous le prions ordinairement en suivant le texte de l’évangile de Matthieu) ou simplement « Père » (dans la version de l’évangile de Luc). C’est une adresse simple, directe, chargée d’affection et de tendresse : elle révèle immédiatement le visage du Dieu auquel les croyants s’adressent. Dieu est certes Saint, Créateur et Sauveur, mais il peut être invoqué aussi comme Père Abba, dans l’araméen de Jésus, c’est-à-dire « papa, père bien-aimé ». Cette invocation définit notre Dieu, mais elle signifie également quelque chose pour nous, qui la disons. Nous y exprimons notre ardent désir de l’authentique paternité consolatrice de Dieu. Et surtout, nous y confessons notre origine. Car parmi les grandes questions qui habitent notre cœur, il en est une qui résonne constamment : « D’où venons-nous ? ». En appelant Dieu Père, nous affirmons que l’origine de notre existence est en lui, que nous avons été voulus, pensés, aimés et appelés à la vie par ce « Père qui est aux cieux ». Cette certitude donne son sens à notre vie et nous permet d’articuler notre foi en des comportements quotidiens. Ce Dieu « qui est aux cieux » n’est toutefois pas un père terrestre : nous reconnaissons sa différence radicale d’avec nous, son altérité, ce que la Bible appelle sa sainteté.
C’est le sens de la première demande de la prière du Seigneur : « Fais reconnaître à tous que tu es Dieu ». Si le Nom indique l’identité, c’est-à-dire la vérité profonde d’une personne, il y a équivalence entre le Nom et la personne. Et si Dieu est saint, son Nom doit donc être sanctifié. Lorsque nous demandons à Dieu de « sanctifier son Nom », nous l’appelons à se faire reconnaître pour ce qu’il est réellement, à se manifester à travers son action efficace dans l’histoire. Et nous nous prédisposons nous-mêmes à être inspirés par lui pour témoigner de sa présence et de sa sainteté parmi les hommes et les femmes de notre temps.
« Que ton Règne vienne »
Cette deuxième demande occupe la place centrale parmi les trois premières, qui concernent Dieu ; cela indique son importance. D’ailleurs, dans la prédication de Jésus, l’annonce du Règne de Dieu occupait aussi la place fondamentale. Le Royaume de Dieu s’est en effet manifesté en Jésus, parce qu’il a été, lui, le seul homme sur lequel Dieu – et Dieu seul-, a régné totalement, radicalement. Ce que nous demandons donc ici, c’est que ce Règne de Dieu, vécu et manifesté par Jésus, s’étende pleinement.
Invoquer la venue de ce Royaume signifie appeler Dieu à régner réellement sur tout être humain et sur l’humanité entière, en commençant par nous qui prions. Cela signifie nous prédisposer, en tant que personnes, en tant que communautés, en tant qu’Église, à laisser Dieu régner souverainement sur nous. Or lorsque Dieu règne, il n’exerce aucune domination et n’instaure aucun esclavage : il manifeste sa royauté par une action de libération des fausses idoles, une action de salut devant le mal, une action d’unité des enfants dispersés. Ainsi dévoile-t-il sa paternité. Ce Royaume de Dieu est une réalité à attendre, à invoquer, mais à laquelle il s’agit aussi de se rendre disponible.
Car le Règne des cieux a déjà commencé à être présent parmi nous en Jésus ; il tend à l’accomplissement final, à la fin des temps il vient d’en haut, de Dieu ; mais nous avons toutefois une responsabilité à son égard : celle de l’accueillir et de répondre à ce don par toute notre vie.
« Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel »
Cette invocation, Jésus lui-même l’a prononcée dans sa vie. A l’heure de l’agonie, au moment de l’angoisse devant la mort imminente, il a en effet adressé au Père cette prière : « Père, si tu veux, éloigne de moi cette coupe ! Cependant, que ce ne soit pas ma volonté, mais la tienne qui se fasse » (Le 22,42). Humainement, Jésus aurait voulu poursuivre son service parmi les hommes sans devoir affronter l’épreuve de la mort ; il demande alors la force de réaliser jusqu’au bout la volonté du Père, pour demeurer obéissant, même au prix de la mort. Pour le disciple, cette invocation est donc particulièrement exigeante ; elle requiert qu’on en paie le prix fort.
« Que ta volonté soit faite» : cette requête exprime d’une part la demande faite à Dieu de réaliser lui-même son plan de salut. D’autre part, cette prière appelle les hommes à accepter pleinement cette volonté et à la réaliser, ou mieux : à tout prédisposer pour qu’elle puisse se réaliser. Car le risque est grand pour les croyants de connaître la volonté de Dieu, mais de ne pas la mettre en pratique ni de l’observer … Bien souvent les prophètes de l’Ancien Testament l’ont rappelé. En tant que chrétiens nous avons à prier cette demande avant tout comme une lutte contre les résistances que nous avons à accomplir la volonté de Dieu. Et il faut reconnaître que nous ne pouvons l’assumer en profondeur qu’après une longue bataille, où notre volonté se sera souvent rebellée contre ce que Dieu nous demande. C’est le combat ardu entre nos pensées et la volonté de Dieu !
« Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour »
Au cœur du « Notre Père », au centre des sept demandes, on trouve la requête du pain, adressée avec confiance au Père. Après les grandes demandes touchant Dieu, en voici une toute simple, quotidienne, qui concerne notre condition humaine de créatures et la nécessité primaire que nous avons de nous alimenter pour vivre. On pourrait être surpris de l’humilité de cette demande. Or je crois que c’est elle précisément qui illumine toutes les autres. Car demander à Dieu le pain quotidien est une action éminemment contemplative : c’est la manière qu’a le croyant d’affirmer la seigneurie de Dieu sur les réalités créées ; c’est l’attitude de celui qui reconnaît qu’il ne dispose pas de sa vie, mais qu’il la reçoit toujours au sein d’une relation ; c’est la façon pour l’orant de placer son besoin devant Dieu, pour le laisser se convertir en désir, et renoncer à la tentation de la possession.
Demander le pain quotidien signifie alors prendre conscience de notre réalité concrète, nous confesser créatures et enfants de Dieu, tout en sachant sereinement que la vie nous est toujours donnée… Cependant l’adjectif grec epioûsios que nous traduisons par «de ce jour » peut aussi signifier « céleste ». En demandant dès lors le pain nécessaire pour notre vie, nous invoquons également l’aliment dont le chrétien vit au-delà du pain : la Parole et l’eucharistie. Demander au Père le pain quotidien permet au croyant d’apprendre à découvrir son besoin capital de la Parole vivante, de Jésus Christ, « pain vivant descendu du ciel » (Jn 6,51), pour avancer dans la foi.
« Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés »
Chrétiens, nous sommes « convertis des idoles pour adhérer au Dieu vivant » ( 1Th 1,9).
Mais dans son cheminement de retour au Père, le chrétien ne parvient pas au but une fois pour toutes : il doit renouveler chaque jour sa conversion pour reprendre la route qui mène au Royaume et cesser de se fermer à l’Amour. Dans ce labeur quotidien, le croyant se découvre débiteur : il se sait responsable des pensées, des paroles, des actions et des omissions par lesquelles il a soustrait à ses frères et sœurs ce qu’il leur devait.
Car en profondeur, nous avons tout reçu des autres et de Dieu : nous ne pouvons jamais rien garder pour nous seuls.
Or tout ce que nous dérobons à nos frères et à nos sœurs est une offense, un péché que nous commettons devant Dieu. En effet tout ce qui blesse nos semblables concerne aussi le Père. Voilà pourquoi nous demandons à Dieu qu’il remette nos offenses. Seul le pardon nous permet de recommencer, seul le pardon nous renouvelle radicalement, seul le pardon infini et toujours prévenant de Dieu nous pousse à la conversion.
Mais le pardon invoqué de Dieu est conditionné par le pardon que nous nous accordons les uns aux autres.
Certes, le pardon de Dieu précède toujours notre pardon réciproque ; pourtant c’est notre pardon envers nos frères et sœurs qui nous ouvre au pardon de Dieu. Les chrétiens sont donc appelés à se conformer à leur Dieu, qui aime et pardonne sans condition, en sachant que le pardon qu’ils accordent ou refusent aux autres se répercute e
« Et ne nous laisse pas entrer en tentation "
Jésus invite ses disciples à demander l’aide du Seigneur, sa protection, sa proximité, son amour lorsqu’ils sont dans l’épreuve. En effet, les hommes sont constamment tentés de contredire l’amour de Dieu, de vivre sans les autres, voire contre les autres. Être tenté fait partie du cheminement à la suite du Christ. Lorsque nous sommes ainsi dans la tentation, nous sommes séduits par les idoles, par nos propres justifications, par la peur de souffrir : il faut alors lutter pour tenir ferme. Dans ce combat contre la tentation, il s’agit de sentir plus que jamais le Seigneur à notre côté. C’est lui qui lutte pour nous et en nous. Mais hormis les tentations quotidiennes, il y a aussi la grande épreuve : celle de l’incrédulité, de la non-foi. C’est la tentation suprême, qui nous pousse à ne plus comprendre que Dieu est avec nous. Oui, en nous, coexistent la foi et l’incrédulité.
"« Mais délivre-nous du mal"
Dieu qui est notre Père est un Dieu Sauveur, qui sauve et qui libère : il a donc le pouvoir de nous libérer du mal.
C’est la grande certitude du psalmiste qui s’écrie si souvent face à ceux qui l’oppriment :
« Libère-moi, Seigneur, dans ton amour ! » (Ps 6,5, voir Ps 7,2 ; 140,2).
La libération des libérations est celle du mal, des œuvres du Malin, qui se traduisent toujours par la violence, la souffrance, la mort.
il suffit de le reconnaître à l’œuvre dans notre vie. Sa présence efficace tente, séduit et opprime ceux qui accueillent ses suggestions. Il est « comme un lion rugissant qui rôde, cherchant qui dévorer » (1 P 5,8). Voilà pourquoi se lève l’invocation lancinante : « Libère-nous du Malin et de son action ! » Notre prière s’enracine, ici encore, dans celle de Jésus : voilà notre consolation et notre force.
C’est lui en effet qui avait prié : « Père, je ne te demande pas de les enlever du monde, mais de les garder du Malin » (Jn 17,15). Oui, Jésus combat avec nous contre le démon ; c’est lui qui lutte en nous ! Jésus est descendu jusqu’aux enfers, là où Satan frappe avec le plus de force, pour nous embrasser et introduire notre cri dans sa propre prière au Père. À la suite du Christ et avec lui, nous pouvons alors, nous aussi, nous défaire du mal, par la prière et la persévérance, maintenant déjà et pour la vie éternelle !
NOTRE PÈRE
Paroles : TEXGTE ÉVANGILE
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Année 2021
consacrée à Saint Joseph
Année consacrée à Saint Joseph : 8 Décembre 2020 => 8 Décembre 2021
Avec la Lettre Apostolique "Patris corde" (avec un cœur de père),
Pape François rappelle le 150e anniversaire de la proclamation de saint Joseph comme Patron de l’Église universelle.
À cette occasion, une «année spéciale saint Joseph» se tiendra du 8 décembre 2020 au 8 décembre 2021.
Saint Joseph obtenez-moi la grâce d'imiter toutes ces vertus que j'admire dans votre vie ;
Obtenez-moi la grâce de calquer mes actions sur les vôtres et de m'efforcer d'agir
en tontes circonstances comme vous auriez agi à ma place.
Prière du Pape François à Saint Joseph
Salut, gardien du Rédempteur, époux de
la Vierge Marie. À toi Dieu a confié son
Fils ; en toi Marie a remis sa confiance;
avec toi le Christ est devenu homme.
Ô bienheureux Joseph, montre-toi aussi
un père pour nous, et conduis-nous sur le
chemin de la vie. Obtiens-nous grâce,
miséricorde et courage, et défends-nous
de tout mal. Amen. (Pape François)
Apparition de Saint Joseph
7 juin 1660 - Apparition de Saint Joseph à Cotignac ( Var).
À 2 km de l'église Notre-Dame-de-Grâces,
un berger qui souffrait de la soif, Gaspard Ricard,
raconte avoir vu un vieillard lui ordonner de soulever une grosse pierre pour y trouver une source.
Le berger déplace alors la pierre sans effort et « découvre une source qui jaillit ».
Dans un premier mouvement, le jeune Gaspard boit abondamment pour étancher sa soif avant de se retourner vers le vieillard,
mais celui-ci a déjà disparu, non sans lui avoir indiqué qu'il s'appelait Joseph.
La source est bien découverte au lieu indiqué, alors que le secteur était connu pour n'avoir aucun point d'eau.
Les pèlerins affluent, et une chapelle est construite pour y vénérer Saint Joseph.
Cet événement se déroule à 3 km seulement du sanctuaire de Notre-Dame-de-Grâces,
En 1519
Après que les apparitions de Notre-Dame de Grâces
aient entrainé une forte dévotion à la Vierge Marie dans ce petit village de Cotignac.
SAINT JOSEPH écoute ma prière
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
JE VOUS SALUE SAINT JOSEPH
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
ALLON S À SAINT JOSEPH
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Prier avec la Vierge Marie
Je vous salue Marie
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
JE VOUS SALUE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Le Magnificat
désigne le cantique de la Vierge Marie dont il est question dans l’Évangile ( Luc 1,46 -56 ,
visite de Marie à Elisabeth).
Il est aussi appelé Cantique de Marie.
C’est le premier mot de la traduction latine de ce chant de louange.
MAGNIFICAT
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Prier avec le rosaire
Le Rosaire est une forme de prière répétitive qui existe depuis le XIIe siècle,
invitant à la méditation sur quinze mystères de la vie de Marie et du Christ.
Le pape Jean Paul II a proposé le 16 octobre 2002 cinq nouveaux mystères.
TOURNENT CES GRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Le Salve Regina
La plus célèbre des Antiennes adressées à Marie.
Elle est Reine bien sûr, mais l’auteur Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au XIe siècle, l’appelle aussitôt mère de miséricorde et ses yeux miséricordieux sont tournés vers nous. Au XIIe siècle,
Saint Bernard, le célèbre dévot de Notre Dame, y a ajouté les trois dernières invocations pleines de tendresse.
Salut, ô Reine, Mère de miséricorde, notre vie, notre
consolation, notre espoir, salut !
Enfants d’Ève, de cette terre d’exil nous crions vers vous ;
vers vous nous soupirons, gémissant et pleurant dans cette vallée
de larmes.
Ô vous, notre Avocate, tournez vers nous vos regards compatissants.
Et, après cet exil, obtenez-nous de contempler Jésus, le fruit
béni de vos entrailles,
Ô clémente, ô miséricordieuse, ô douce Vierge
Marie !
SALVE REGINA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Prière de la "Famille KIZITO" (Soeur PAËSIE)
Chanson écrite pour la "Famille KIZITO" de Sœur Paësie :
Depuis 10 ans, Sœur Paësie, en accord avec les autorités religieuses, se consacre exclusivement à l’éducation et à la protection des enfants des rues en Haïti ainsi qu’aux prisonniers en fondant la Famille Kizito. Pour cela, en 2017, elle s’installe à Cité Soleil, le plus grand bidonville de Port-au-Prince, (Capitale d’Haïti) afin d’y créer un centre éducatif.
PRIÈRE DE LA « FAMILLE KIZITO » –( Sr PAËSIE)
Texte : D'après la "Prière de la Famille Kizito" - Musique: Jean-Claude Gianadda
PRIÈRE DE LA FAMILLE KIZITO
Sr Paësie
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
CONCLUSION
- Qu'est-ce que la PRIÈRE ?
La PRIÈRE est l’acte de FOI par excellence.
Nous exprimons notre FOI en Dieu principalement à travers la prière.
Pour le chrétien, prier est un mode de vie : prier c’est vivre, et vivre c’est prier.
« Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en Esprit et en Vérité » (Jn 4.24).
La prière est un lien de communication, de communion
et de vie irremplaçable dans l’existence du chrétien.
Qu'est-ce que la prière ? C'est « L'orientation de l'âme vers Dieu, sous l'influence de la grâce." (Définition du catéchisme)
Les 3 formes de la prière :
- La prière vocale (ex : Notre Père ...Credo…Chapelet...)
- La prière de méditation (ex : Évangile...Textes spirituels...)
- La prière de contemplation ou oraison :
"Il me regarde...Je le regarde " (Curé d'Ars).
« Parle Seigneur, ton serviteur écoute » (Réponse de Samuel à Dieu dans Ancien Testament - 1 Samuel 3 : 9 ).
La prière, est un dialogue avec Dieu. Elle suppose donc la FOI en Dieu.
Cette FOI a toujours été présente au coeur de la prière du Peuple de Dieu.
Elle s’exprime largement dans les Psaumes.
Prier, c'est donc donner du temps à Dieu – C’est rencontrer Dieu -
C'est faire l'expérience de Dieu. Le chrétien est un chercheur de Dieu parce que Dieu L'a trouvé.
La prière est un combat. Elle change un cœur, elle permet de demander d’être délivré de
cette part du mal qui s’est emparé de nous. Ainsi, la prière permet de trouver la meilleure version de soi-même.
Prier c’est donner sens à des évènements qui n’en ont pas.
La prière n'arrête pas le temps, elle le met en mouvement.
Prier n'est pas une évasion, c’est une mise à distance.
Prier c'est une vie et non pas une parenthèse.
La prière est un rendez-vous. Pour Moïse, Élie... c'est une communion.
Prier n'est ni un refuge, ni un tranquillisant, c'est d'abord répondre à un appel que Dieu lance inlassablement : l’APPEL à être Témoin, Signe, porteur, transmetteur de ce Quelque chose en nous qui est plus Grand que nous.
Pourquoi l'oraison ?
Bien sûr, la prière se fait à travers toute la vie.
Mais prendre un temps d'oraison par jour,
c'est rencontrer Dieu dans le silence pour prendre conscience que Dieu est vivant,
que Dieu est un Ami.
C’est prendre le temps d’être ami de Jésus.
C'est redécouvrir que Dieu existe dans ma vie.
C’est découvrir que je suis aimé tel que je suis.
C’est découvrir que j’existe pour Dieu.
L’oraison est transformante.
Clips védio
ci-dessous pouvant éventuellement amorcer
un temps de catéchèse
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