FLEURIR
Année 1993 -
Cd épuisé
Paroles et musiques : Jeran-Claude GIANADDA
Arrangements: Pierre LEBRUN
Chrismiphil * - Arnaud MURIER **
Chorale : Tous les ami des enfants du monde
Éditions Musicales : Studio SM
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Bénéficiaires :
- Père Pedro OPEKA Akamasoa-Tananarive-MADAGASCAR
- Soeurs de Notre Dame de la Salette Ihousy-MADAGASCAR
Objectif catéchétique :
Saint Matthieu chapitre 13, versets 01-12
Le semeur
Le grain semé, c’est la Parole de Dieu. Parole d’Alliance et de vie.
Partagée généreusement à tous les hommes.
La terre, c’est nous. Qui que nous soyons.
Terre pierreuse et sèche, terre sans profondeur, terre envahie par les ronces, ou bien terre préparée et accueillante.
La Bonne Nouvelle, pour nous, qui ne sommes pas toujours très sûrs d’être des sols bien fertiles, c’est que Dieu sème sans compter, d’un geste large, inlassablement, dans l’espoir que les terres que nous sommes, porteront un jour ou l’autre, beaucoup de fruits.
Et ce qui est très beau avec la figure de la graine pour dire la Parole de Dieu, c’est qu’elle montre comment cette Parole se donne totalement, dans le but de ne faire plus qu’un avec celui qui l’entend.
En effet, le grain qui est semé doit s’abandonner,
il doit même mourir, pour se mêler à la terre qui le reçoit, et devenir ainsi un nouveau plant.
Vous aurez d’ailleurs noté que celui qui est d’abord ensemencé comme une terre fertile devient lui-même le plant qui porte du fruit et une nouvelle semence.
On retrouve là toute la dynamique de l’Incarnation :
en Christ, le Verbe de Dieu, incarné dans notre humanité fragile, totalement donné jusqu’à mourir sur une croix, ressuscite au cœur de ses disciples, comme une récolte abondante de Parole vivante et qui sera semée de nouveau*. Et ainsi, depuis deux mille ans, la Parole de Dieu n’a cessé d’être semée, de s’incarner dans des terres d’humanité toujours nouvelles, où elle meurt, et ressuscite en d’abondantes récoltes à resemer sans cesse.
N’est-ce pas à chacun de nous qu’il revient, aujourd’hui, de transmettre et d’être de généreux semeurs de vie ?
01 - BIEN AU-DELÀ DE NOS PEURS
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Les chrétiens n'ont pas le regard tourné uniquement vers le passé, mais aussi vers l'avenir. Quand ils envisagent cet avenir, ils parlent d'Espérance. Avec la Foi et l'Amour, l'Espérance est une vertu pour la vie chrétienne. Grâce à elle, le christianisme n'est pas une religion du passé. Il est pour aujourd'hui, une ressource de liberté et de confiance en l'avenir.
Lors de la fête de la Toussaint, les cimetières se remplissent de fleurs. Les familles se rassemblent pour honorer leurs morts.Chaque année, fête de Toussaint et jour des morts se succèdent les 1er et 2 novembre. Le lien est manifeste : le 1er novembre, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus et inconnus, qui partagent la vie, la paix et le bonheur de Dieu. Le 2 novembre, c'est le jour de la mémoire de tous les défunts. Une journée pour s'associer à celles et ceux qui ne sont plus à nos côtés et qui nous manquent.
Jésus, dans les Évangiles, apparaît comme un infatigable espérant.
Lui qui "n'a pas où reposer sa tête", il semble ne jamais perdre son dynamisme intérieur.
Lui qui est aujourd'hui le fondement de l'espérance chrétienne apparaît comme quelqu'un qui savait ce qu'est espérer.
Où chercher Dieu ? Il est partout ?… Il est en nous ?…
L'Espérance Chrétienne invite à regarder vers l'horizon.
Car Dieu vient de l'avenir. Il ne s'agit pas de vivre retranché dans le passé, mais d'être tendu vers l'à-venir.
Car Dieu nous y précède. Ce qui veut dire : un avenir est toujours possible. C'est ce qui arrive à Abraham qui, à près de quatre-vingts ans, sa femme Sarah étant stérile, voit celle-ci accoucher d'un fils, promesse de nombreuses générations.C'est ce qui nous arrive : l'amour de Dieu nous invite à prendre un chemin de sainteté, c'est-à-dire d'avenir avec lui, dans son amour et sa lumière.
Refrain :
Bien au-delà de nos peurs, tout au fond de nos cœurs Saurons-nous découvrir une fleur ?
Malgré la nuit, les orties et la pluie, dans nos vies, Accueillir l’arc-en-ciel aujourd’hui ?
1.- Au-delà du passage, des mots creux du langage, Saurons-nous essuyer d’autres yeux ?
Et malgré ses silences, sa présence en l’absence, Allumer en Son nom un grand feu ?
2.- Au-delà de l’abîme, du désert qui décime, Saurons-nous désirer l’eau du puits ?
Et malgré la blessure, les “ pourquoi ” et l’usure, Deviner le regard de l’Ami ?
3.- Au-delà des amarres, de nos airs de guitare, Saurons-nous habiter sa chanson ?
Et malgré d’autres rêves et le jour qui s’achève, Regarder un instant l’horizon ?
01 - BIEN AU-DELÀ DE NOS PEURS
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
01 - BIEN AU-DELÀ DE NOS PEURS
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
02 - CHANGEONS NOS REGARDS
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Le monde est un miroir . Un miroir, si tu lui souris, il te sourit. Si tu lui fais la grimace, il te rendra la grimace....
L’optimiste raisonnable commence par poser un regard positif sur le monde et sur les personnes, et l’expérience montre que ce regard positif suscite d’emblée un effort pour mieux faire, se traduisant le plus souvent par un progrès de la part de celui ou celle qui bénéficie de ce regard.
Mais ce n’est pas tout : le fait de poser ce regard positif sur les autres nous apporte aussi des retours favorables : notre relation avec autrui en est assainie. Cela ne signifie pas qu’il nous faille arrêter d’exprimer à l’autre nos désirs et nos limites, bien au contraire. Rappelons-nous que l’inconscient est sensible aux affirmations mais pas aux négations : quand je dis à l’autre ce que je ne veux pas qu’il fasse, il m’entend rationnellement ; mais sa part inconsciente, là où siègent ses motivations, ne m’entend pas. Et donc l’effort pour me faire entendre sera grand ; par contre, il entendra beaucoup mieux si j’exprime ce que je veux, à condition que cela soit posé dans la clarté et la confiance. (Renaud Cherel)
Vous aimeriez adopter une attitude plus positive au quotidien ?
En arrêtant de ruminer le passé et en cessant de vous inquiéter pour l'avenir,
vous pourrez entraîner votre mental à rester positif en toutes circonstances.
Pour adopter la positive attitude au quotidien, il faut apprendre à voir les choses sous un autre angle. Nous ne voyons généralement qu'une facette de la réalité. Nous nous concentrons sur les aspects négatifs d'un problème, et nous en oublions qu'il en existe également des positifs. Et bien souvent, si nous agissons ainsi, c'est parce que nous nous efforçons de tout contrôler.
Nous ne sommes pas tous égaux en matière de positive attitude. Certaines personnes ont la faculté de percevoir le bon côté des choses en toutes circonstances. Pour d'autres, c'est plus difficile. Mais la bonne nouvelle, c'est que même si l'on n'est pas né avec, la positive attitude s'apprend et se travaille.
Refrain :
Changeons nos regards et la vie jaillira !
Changeons nos regards le monde fleurira.
1.- Tout au fond de moi-même
Se fanent les couleurs ;
Ton regard est : “Je t’aime”
Alors chante une fleur.
2.- Apprendre à désapprendre
À risquer les questions ;
Ton regard vient me rendre
Le goût des relations.
3.- Coulent sur un visage
Quelques larmes de pluie ;
Ton regard est passage
Alors c’est l’éclaircie.
4.- J’ai bien cru que personne
Ne penserait à moi ;
Ton regard me redonne
Un sens à mon combat.
5.- Ton regard est en somme
Le rappel le plus beau ;
Qu’un homme reste un homme,
Que nos droits sont égaux.
02 - CHANGEONS NOS REGARDS
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
03 - IL Y A QUELQUE PART
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
La vie a-t-elle un sens ? Peut-on lui en donner un ? Pourquoi sommes-nous là ? Que m’est-il permis d’espérer ?
À une certaine époque le "sens" allait de soi.
Aujourd’hui, c’est comme si ce sens n’était plus transparent. Mais comment comprendre cette notion de « sens de la vie » ?
La vie suit une direction qui part de la naissance et s’achève avec la mort. Mais ce sens n’a rien d’une énigme.
On peut aussi interpréter le « sens » en tant que « signifiant ».On parle d’une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Enfin, il est possible de comprendre le mot « sens » en tant que « capacité réflexive », comme lorsqu’on parle d’une personne de « bon sens ».
Pour trouver le sens de la vie, il convient d’atteindre « une certaine sagesse où se conjuguent l'expérience, la raison, et même une certaine simplicité naturelle ».
Le simple fait de vivre, de survivre n’a aucune valeur : il lui faut forcément un contenu et c’est en lui que peut résider le sens de la vie. Et ce ne sont assurément pas les activités de subsistance qui le peuvent, ni même les fruits de ces activités sauf, précise Moritz Schlick, « s'ils contribuent à l'accomplissement et à l'enrichissement de la vie, en engageant l'homme dans des situations et des activités valides. »
Le sens de la vie qui guide l’individu, serait-il dans cdes deux éléments :
- le Bien (qui dépasse nos intérêts particuliers)
et
- l’Espérance
« Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre comme si tout était un miracle. »
(Albert Einstein)
« Le sens de la vie est la plus pressante des questions. » (Albert Camus)
« Nous avons autant besoin de raisons de vivre que de quoi vivre ». (Abbé Pierre)
« L'élément tragique pour l'homme moderne, ce n'est pas qu'il ignore le sens de sa vie, mais que ça le dérange de moins en moins. » (Vaclav Havel)
« Les deux jours les plus importants de votre vie sont le jour où vous êtes nés et celui où vous avez compris pourquoi. » ( Mark Twain)
« Plus nous aurons donné de sens à notre vie, moins nous éprouverons de regret à l’instant de notre mort. » (Dalaï Lama)
« Dans l'histoire d’une vie, on n’a jamais qu’un seul problème à résoudre, celui qui donne un sens à notre existence et impose un style à nos relations. » (Boris Cyrulnik)
« La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ça n'est pas sa longueur, mais sa valeur. » Sénèque
« Qui éveille la vie chez les autres contribue à donner un sens à la vie. » (Anselm Grün)
« Un homme qui réalise l'ampleur de la responsabilité qu'il a envers un être humain qui l'attend, ou vis-à-vis d’un travail qui lui reste à accomplir, ne gâchera pas sa vie. Il connaît le «pourquoi» de cette vie, et pourra supporter tous les «comment» auxquels il sera soumis. » (Viktor Frankl)
Refrain :
Il y a quelque part tout au fond de nous-mêmes,
Au-delà des chagrins et des nuits et des jours,
Il y a quelque part une fleur, un poème,
Une étoile, un chemin qui s’appelle l’amour.
1.- Le passé, les débris et le temps qui s’égraine,
Le désir qui s’enfuit, le regard qui s’éteint.
Ce qui n’a pas fleuri, le gâchis, la rengaine,
Le pourquoi silencieux qui s’estompe et revient.
2.- Trop de portes fermées, de déserts et de cages,
De maisons encombrées qui n’abritent plus rien.
Trop d’amants séparés, trop d’amours en naufrage,
Dites-moi d’où me vient, malgré tout, ce refrain ?
3.- Sur le quai de la vie on oublie ses bagages,
Quand les liens sont brisés, quand la peur nous étreint.
Quand on cherche un projet, un grand rêve, un passage,
Quand on veut retrouver la douceur d’un matin.
03 - IL Y A QUELQUE PART
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
04 - J'AI PUISÉ DANS TES YEUX
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
« On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ». Saint-Exupéry
Entre apparences et « moi réel » s’édifie un mur. Seule la force de notre cœur a la capacité de dénicher cette réalité de nous que nous cachons à autrui.
Je t’aime, dit le Petit Prince
– Moi aussi je te veux, dit la rose
– Ce n’est pas pareil…, répondit le Petit Prince
… vouloir, c’est prendre possession de quelque chose, de quelqu’un. C’est chercher chez les autres ce qui peut remplir nos besoins personnels d’affection, de compagnie… Vouloir, c’est chercher à faire nôtre ce qui ne nous appartient pas, c’est s’approprier ou désirer quelque chose pour nous combler, parce qu’à un moment donné, quelque chose nous manque.
Aimer, c’est désirer le meilleur pour l’autre, même s’il a des aspirations différentes des nôtres.
Aimer, c’est permettre à l’autre d’être heureux, même si son chemin est différent du mien. C’est un sentiment désintéressé qui naît d’un don de soi, c’est se donner entièrement à partir de notre coeur.
Quand on aime, on donne sans rien demander en échange, pour le simple et pur plaisir de donner. Mais il est aussi certain que ce don, ce don de soi, complètement désintéressé, ne se fait que quand on connaît. Nous ne pouvons aimer que ce que nous connaissons, parce qu’aimer veut dire se jeter dans le vide, faire confiance à la vie et à l’âme. L’âme ne s’achète, ni se vend. Et connaître, c’est justement tout savoir de toi, de tes joies, de ta paix, mais aussi de tes contrariétés, de tes luttes, de tes erreurs. Parce que l’amour transcende les disputes, la lutte et les erreurs, l’amour, ce n’est pas uniquement pour les moments de joie.
Aimer, c’est la confiance absolue que, quoi qu’il se passe, tu seras toujours là. Non parce que tu me dois quelque chose, non par possession égoïste, mais juste être là, en compagnie silencieuse.
Aimer, c’est savoir que le temps n’y changera rien, ni les tempêtes, ni mes hivers.
Aimer, c’est donner à l’autre une place dans mon coeur pour qu’il y reste comme un père, une mère, un fils, un ami, et savoir que dans son coeur à lui, il y a une place pour moi.
Donner de l’amour ne vide pas l’amour, au contraire, il l’augmente. La manière de donner autant d’amour, c’est d’ouvrir son coeur et de se laisser aimer.
– J’ai compris, dit la rose
– Ne cherche pas à comprendre l’amour, vis-le, dit le Petit Prince.
Refrain :
J’ai puisé dans tes yeux, ce chant, cette lumière,
Qui ressemblait un peu au feu de ta prière,
Au rêve merveilleux des amoureux.
1.- Et les plus belles fleurs,
Les plus beaux paysages
Le geste du semeur
Ne sont plus que mirage,
ON NE VOIT LE BONHEUR, QU’AVEC LE CŒUR.
2.- Et les mots prometteurs,
Le discours, le langage
Du livre et du penseur
Ne sont plus que verbiage,
ON APPREND LE BONHEUR QU’AVEC LE CŒUR.
3.- Et Tes mains de chercheur,
Les traits de ton visage,
Ton pas de randonneur
M’ont tracé le sillage,
M’ONT OUVERT LE BONHEUR DE TOUT TON CŒUR.
04 - J'AI PUISÉ DANS TES YEUX
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
05 - TON REGARD M'APPELLE À FLEURIR
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Nous avons besoin des autres pour exister.
Nous avons besoin d'être reconnus dans nos possibles, le regard de l’autre nous donne consistance, nous fait exister.
"Une âme pure est comme une belle perle. Tant qu'elle est cachée dans un coquillage, au fond de la mer, personne ne songe à l'admirer. Mais si vous la montrez au soleil, cette perle brille et attire les regards." (Le Curé D'Ars)
Ce que nous voyons chez les autres nous révèle une information sacrée sur ce que nous sommes nous-même.
l’extérieur agit comme un miroir pour notre esprit.
C’est la loi du miroir, qui dit que, d’une certaine manière, ce qui ne nous plaît chez une personne en particulier existe en nous.
Par contre, “notre destinée sera ce que nous l'aurons faite. Il ne faut pas attendre que les autres nous la construisent.”.
Refrain :
Ton regard m’appelle à fleurir,
Ton regard est un avenir,
Le miroir de mon devenir,
Le départ de mon grand navire.
1.- Pour bâtir, j’ai besoin de toi,
Pour partir, j’espère en ton pas,
Pour cueillir, prête-moi tes doigts,
Pour grandir, reste près de moi.
2.- Nos chansons, à cœur et à cri,
Repeindront ces moments si gris.
Nos deux noms seront harmonie,
Nos prénoms un hymne à la vie.
3.- Citoyens de ce monde entier,
Différents, mais dans l’unité,
Compléments de nos libertés,
Tolérants pour bâtir la Paix.
05 - TON REGARD M'APPELLE À FLEURIR
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
06 - DIS-MOI POUR QUI TU COURS ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Quel sens donner à ma vie ?
« Pourquoi suis-je né ? »
Où va notre vie ? Quel est le sens de tout cela ? Nous avons été mis au monde sans l’avoir demandé et chacun se débat avec ses questions. Sommes-nous abandonnés à notre sort ? Quelle valeur accordons-nous à notre propre vie ; à celle des autres ? Un geste de tendresse, un sourire, une parole amicale sont autant de signes que les êtres humains se donnent les uns aux autres. Ces moments sont précieux parce qu’ils donnent du prix, du poids à la vie, par-delà les blessures et les découragements.
Dieu nous fait vivre en se donnant
Dieu existe tourné vers nous, dans le mouvement qui le fait sans cesse se donner à nous. Ce don total est réalisé en la personne de Jésus Christ, qui est venu parmi les hommes pour qu’ils aient la vie en abondance. Nous sommes bénéficiaires de ce don, et c’est en accueillant ce don que peut naître en nous le désir de donner sa vie pour ses amis. Si nous nous laissons saisir par ce mouvement, notre vie prend sens. Créés à l’image de Dieu, nous lui ressemblons de plus en plus lorsque nous vivons dans cette dynamique du don.
Refrain :
Dis-moi pour qui tu cours ?
Dis-moi quelle est ta flamme ?
Le sens de ton parcours,
Ton but, ton oriflamme ?
Cherchons nos équipiers,
Assurons le relais !
1.- L’amitié crée des liens,
Rend l’effort plus facile,
Permet d’aller plus loin,
Pour passer le témoin.
2.- Les progrès sont certains,
Avec persévérance,
Nous prendrons les moyens,
De passer le témoin.
3.- Étudions le terrain,
Les règles et la justice,
Vivons la course à plein,
Pour passer le témoin.
4.- Ce monde est dans nos mains,
Cherchons sa réussite,
Espérons-en demain
Pour passer le témoin.
5.- Sortez vos tambourins,
Les violons, les guitares,
Venez, les baladins
Pour passer le témoin.
06 - DIS-MOI POUR QUI TU COURS ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
07 - AIMER
Paroles et musique: Alain BARRIÈRE
Au terme de sa vie, Bernadette de Lourdes disait : « Il suffit d’aimer. »
Ce qui donne sens à la vie, c’est aimer comme Dieu aime, se donner comme Dieu se donne. Se donner dans les plus petits gestes de la vie quotidienne et en faire des semences d’amour, pour la vie éternelle, la vie vraie, la vie qui ne meurt pas.
1.- Aimer, comme un printemps soleil, la récompense,
Aimer, comme un cri dans le ciel, la délivrance,
Aimer, sentir au fond de soi la flamme intense,
L’insigne chance d’aimer...
2 - Aimer, le vrai matin du cœur, la renaissance,
Aimer, le vent souffle au bonheur à l’évidence,
Aimer, c’est le tout devant soi qui recommence,
Et l’exigence d’aimer...
Refrain :
Aimer, aimer, aimer, aimer ! Aimer, aimer, aimer, aimer !
3.- Aimer, jusqu’à l’oubli de soi jusqu’au silence,
Aimer, jusqu’au bout du pardon, l’invraisemblance,
Aimer, jusqu’à la dérision la dissonance, L’intolérance : aimer...
4- Aimer, jusqu’à ne plus savoir, ne plus comprendre,
Aimer, jusqu’au désespoir, couleur de cendre,
Aimer, jusqu’au bout du désir, de l’espérance,
De la souffrance : aimer...
Coda : Aimer, aimer !
07 - AIMER
Paroles et musique: Alain BARRIÈRE
08 - POUR LE TEMPS DE LA ROUTE VOICI LE PAIN
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
“Prenez et mangez, ceci est mon corps donné pour vous...”(Évangile selon Saint Matthieu)
“...faites ceci en mémoire de moi” (Évangile selon Saint Luc et dans la 1e lettre de Paul aux Corinthiens).
Être chrétien, ce n'est pas seulement être consommateur ou spectateur mais c'est être acteur. Ce n'est pas seulement être aimé mais aussi aimer... Ce n'est pas regarder le Christ porter sa croix, mais porter sa propre croix et le suivre dans ce cheminement.
Le Christ est le chemin. Un chemin c'est fait pour permettre d'avancer. Quand le Christ donne sa vie, il ne la donne pas pour que nous le regardions faire avec admiration pour son courage, mais Il nous donne Sa Vie pour que nous la prenions, pour que nous vivions de cette qualité d'être qui était la sienne et qu'il nous offre.
Entre nos mains,
Pour le temps de la route
Voici le pain, voici le vin.
Sur nos chemins,
Pour le temps de l’écoute
Voici ton Corps, voici ton Sang.
1.- Pour imprimer nos cœurs de sa tendresse, Voici l’amour soyons au rendez-vous.
2.- Pour embraser nos vies de sa jeunesse, Voici l’espoir qui vient renaître en nous.
3.- Pour redonner aux hommes la sagesse, Voici la vie qui fait route avec nous.
4.- Pour annoncer au monde sa promesse, Voici la voix qui vient parler en nous.
08 - POUR LE TEMPS DE LA ROUTE VOICI LE PAIN
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
09 - ALORS NOUS REVENONS PUISER À CETTE SOURCE
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
" Le symbole biblique de l'eau
L'eau est, dans la Bible comme dans la vie, un trésor dont on néglige peut-être l'importance.
Le symbole biblique de l'eau associé à l'Esprit est l'objet d'une grande inclusion dans l'histoire biblique : il revient en Genèse 1,2 et en Apocalypse 22,17. L'eau est source de vie et fait revivre l'esprit.
Lors de funérailles chrétiennes, le signe de croix est fait sur le défunt avec de l'eau bénite. C'est pour rappeler l'eau du baptême reçu. Le symbole du baptême dit bien ce qu'est l'espérance chrétienne. En effet, traditionnellement, le baptisé plonge dans l'eau. Pour vivre une mort et une renaissance : l'eau du baptême devient eau de l'Espérance.
Nous sommes baptisés au nom du Père.
L’Espérance, c’est être lié à Dieu. C’est lui-même qui nous sort la tête de l'eau pour nous faire devenir ses fils et ses filles. Dieu espère en nous et nous espérons en Lui. La vie n’en est pas plus facile, mais à chaque pas que nous faisons nous savons que Dieu nous éclaire de son amour. Par le baptême, nous sommes aussi inondés de lumière !
Nous sommes baptisés au nom du Fils.
L'Espérance, c'est être lié au Christ. Il nous ouvre le Passage vers le Père. L’avenir s’ouvre. Jésus espère en nous et nous espérons en Lui. La vie n’en est pas plus facile, mais à chaque pas que nous faisons nous savons que le Christ la re-suscite par son Evangile. Au baptême, c'est la Parole de Dieu que nous lisons qui fait de l'eau une eau d'espérance.Une espérance à partager avec d'autres.
Grâce à l'eau du baptême, nous sommes tout ruisselants d’espérance.
Nous sommes baptisés au nom de l'Esprit-Saint.
L'Espérance, c’est être lié à l’Esprit de Dieu.
Le souffle de Dieu devient notre propre respiration. De nouveaux horizons s'ouvrent. L’Esprit espère en nous et nous espérons en Lui.
La vie n’en est pas plus facile, mais à chaque pas que nous faisons nous savons que Dieu nous remet debout, nous rend libres, met du neuf dans notre quotidien. Notre cœur, notre intelligence, tout notre corps peut s’ouvrir pour renaître, nous dit le baptême.
1.- Nous avons tant marché et nos chemins s’égarent,
Nous ne comprenons plus ce monde tel qu’il est ;
Nous avons tant joué tes airs sur nos guitares,
Mais personne, avec nous, n’essayait de danser.
Refrain :
Alors nous revenons puiser à cette source
C’est là, près de ton puits que toi tu nous attends !
2.- Nous avons tant cherché sur la route une auberge,
Comment redirions-nous : “Reste avec nous, ce soir !”
Nous aurions tant voulu passer sur l’autre berge,
Mais comment affronter la nuit et le brouillard ?
3.- Tu nous ré - apprendras les labours, la semence,
À chanter avec toi des chansons d’avenir ;
Pour passer à nos doigts ton anneau, ton alliance,
Et conjuguer ainsi le verbe refleurir.
09 - ALORS NOUS REVENONS PUISER À CETTE SOURCE
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
10 - MARIE , TENDRESSE DANS NOS VIES
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Jean, l’évangéliste relate une des dernières paroles de Jésus : « Femme, voici ton fils ». Jésus confie l’apôtre Jean à sa mère. Puis Jésus confie la Vierge Marie à son disciple : « Voici ta mère » (Jean 19, 25-27) Par la suite, la Vierge Marie sera désignée comme Mère des Chrétiens, de tous ceux qui reconnaissent le Messie de Dieu sous les traits du crucifié et proclament sa Résurrection. Au jour de Pentecôte, on retrouve la Vierge Marie présente au milieu des disciples. Depuis son « oui » de départ, la Vierge Marie a toujours fait preuve de persévérance dans la foi. Au cours des siècles, les Catholiques ont toujours vu en la Vierge Marie le disciple par excellence. En elle, se manifeste tout ce que Dieu peut réaliser en un être humain accueillant la sainteté de Dieu.
Refrain :
Marie, tendresse dans nos vies, Marie, chemin qui mène à Lui,
Ton “oui” fleurit, dans notre vie, Merci pour ce cadeau béni !
1.- S’il te plaît, Sainte Vierge, obtiens-nous de Jésus
De faire un beau silence, pour habiter chez LUI.
2.- S’il te plaît, Sainte Vierge, obtiens-nous de Jésus
De vivre en Sa présence, pour mieux lui dire “OUI”!
3.- S’il te plaît, Sainte Vierge, obtiens-nous de Jésus
De choisir l’espérance, pour fleurir l’aujourd’hui.
10 - MARIE , TENDRESSE DANS NOS VIES
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
11 - POURQUOI N'IRIONS-NOUS PAS ENSEMBLE À LA FONTAINE ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Pas de vie sans eau : dans le ventre de sa mère, l'enfant grandit dans les eaux, sources fécondes, sources maternelles. Toute sa vie, l'enfant, devenu homme, aura un besoin radical d'eau pour boire et aussi pour se laver (thème connexe). C'est ainsi que le monde est sorti du chaos originel, chaos essentiellement humide, avec les eaux d'en haut et les eaux d'en bas. Il fallait séparer le sec ou le «continent» de cette masse des eaux. Les eaux sont la substance primordiale et le fondement du monde entier. L'eau est «germinative» et source de toute vie. L'eau est appelée «eau vive»
Le symbolisme de l'eau dans le baptême fait référence à ces données : l’Église des premiers siècles a reconnu aux eaux baptismales une fonction mortifiante et maternelle. Ainsi, Cyrille de Jérusalem : «Vous vous êtes enfoncés trois fois dans l'eau, et inversement vous avez surgi. […] Au même moment vous êtes morts et vous êtes nés, et cette eau salutaire est devenue pour vous un sépulcre et une mère» (Catéchèses.Mystagogiques, 2,4).
Les eaux du baptême, comme les eaux de tout bain rituel, sont donc bien, elles aussi «sépulcrales et maternelles». Pour Ephrem le Syrien le baptême est un nouvel uterus. L’Église est aussi un uterus. La célébration de la Vigile pascale reprend, dans la prière de bénédiction de l'eau, le thème des eaux depuis la création et le déluge, et de l'eau élément de purification radicale. Le rite chrétien reste donc bien enraciné dans la conscience religieuse universelle. Le mystère de l'eau est en effet omniprésent dans l'Ancien Testament : les eaux de la Genèse, matrice de la création ; les eaux du déluge liées à l'alliance avec Noé ; les eaux de la mer rouge : libération de la servitude ; les eaux du Jourdain, liées à l'entrée dans la terre promise. Jésus entre dans cette histoire par son baptême dans le Jourdain et son dialogue avec la Samaritaine sur «l'eau vive». (Père Bernard Sesboüé, jésuite)
Refrain :
Pourquoi n’irions-nous pas ensemble à la fontaine Puisqu’elle peut guérir et même purifier
Nous laverons là-bas nos blessures et nos peines Ainsi connaîtrons-nous une profonde paix.
1.- Il demeure avec nous jusqu’à la fin du monde Nous l’avons reconnu au SIGNE DE L’ESPOIR.
2.- Saurons-nous pardonner et veiller en silence Pour le re-découvrir au SIGNE DE LA CROIX.
3.- Apprends-nous à PRIER en disant : “Notre Père” Nous te découvrirons au SIGNE DE L’AMOUR.
11 - POURQUOI N'IRIONS-NOUS PAS ENSEMBLE À LA FONTAINE ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
12 - ET JE ME DIS PARFOIS, QUE VAUT MA VIE SANS TOI ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Qu’est-ce qui donne du sens à chaque battement du coeur, à chaque geste de travail, à chaque pas de la marche ? Cette vie présente se heurtera-t-elle toujours au mur de la mort ? Ou bien peut-on dire que ce qui donne du sens à la vie aujourd’hui est une fin qui n’a pas de fin ?
La veuve de Sarepta a tout donné de sa farine et de son huile.
L’enfant de Tibériade a tout donné : ses cinq pains et ses deux poissons.
Un père, une mère, donne sa vie pour ses enfants.
Et au terme de sa vie, Bernadette de Lourdes disait : « Il suffit d’aimer. »
Ce qui donne sens à la vie, c’est aimer comme Dieu aime, se donner comme Dieu se donne. Se donner dans les plus petits gestes de la vie quotidienne et en faire des semences d’amour, pour la vie éternelle, la vie vraie, la vie qui ne meurt pas.
Refrain :
Et je me dis parfois que vaut ma vie sans toi
Et mon chemin, tu vois, c’est d’abord toi.
Et je me dis parfois que vaut ma vie sans toi
Et mon espoir, tu vois, c’est d’abord toi.
1.- Emmène-moi, là-bas,
Vers des sommets de joie ; J’entends déjà Ton pas,
Tout près de moi.
2.- Sur mes sentiers étroits, Quand je me perds parfois,
Lorsque le jour décroît, Reste avec moi.
3.- Quand je combats pour Toi, Avec l’amour pour loi,
Contre la peur, le froid, Guide mes pas.
12 - ET JE ME DIS PARFOIS, QUE VAUT MA VIE SANS TOI ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
13 - QUI PEUT BIEN MIEUX QUE TOI, MARIE ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
La Vierge Marie tient une place unique dans l’économie du salut, c’est-à-dire dans la manière dont Dieu a voulu manifester son amour aux hom- mes et leur ouvrir un chemin de vie en les libérant de l’esclavage du mal et de la mort. « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique... » (Jean 3, 16) ; Il a voulu que son Fils prenne la condition humaine, et donc qu’Il naisse d’une femme, la Vierge Marie. Marie est le chef-d’œuvre de la création ; elle a été préservée des conséquences du péché des origines, déjà sauvée par anticipation des mérites de son Fils Jésus ; elle est toute pure et sans tache, dès sa conception, et elle s’engage totalement dans la mission particulière que Dieu lui confie.
Le lien le plus profond qui relie Marie à Jésus ne vient pas des privilèges que Marie a reçus, ni du seul fait qu’elle a porté Jésus dans son sein, mais il vient de la foi
de Marie, de sa disponibilité totale à la volonté de Dieu. « Bienheureuse, celle qui a cru » (Luc 1, 45) : c’est parce qu’elle a cru que Marie est devenue mère de Jésus, Mère de Dieu. Par notre foi, nous pouvons nous aussi participer à la maternité de Marie.
C’est ce que dit le Concile Vatican II à propos de l’Eglise : « En contemplant la sainteté mystérieuse de la Vierge et en imitant sa charité, en accomplissant fidèlement la volonté du Père, l’Eglise devient à son tour une Mère, grâce à la Parole qu’elle reçoit dans la foi » (Lumen Gentium 64).
Refrain :
Qui peut bien mieux que Toi
Refaire naître en moi le goût de la prière ?
Qui peut bien plus que Toi
M’apprendre la vraie joie de dire : “Notre Père” ?
1.- C’est pour cela, Marie,
Pour mieux aller à Lui,
Mieux chercher à Lui plaire,
Que je me fais petit
Et que je me confie,
À Toi, Marie, ma Mère.
2.- C’est pour cela, Marie,
Pour vivre en harmonie,
Au milieu de mes frères
Et pour que ce soit Lui,
Le premier dans ma vie,
Que je te prie, ma Mère.
3.- C’est pour cela, Marie,
Pour accueillir l’Esprit,
Au fond de ma misère,
Pour fleurir avec Lui,
Et pour porter du fruit,
Que je suis là, ma Mère !
13 - QUI PEUT BIEN MIEUX QUE TOI, MARIE ?
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
14 - TA CHANSON EST UN VENT QUI M'ENTRAINE
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
Quelle espérance vivait Jésus ?
Pour lui, toute vie avait un sens. La vie n'était jamais absurde.
Jésus n'ignorait pas ce qui allait mal. Il n'était pas naïf. Mais dans toutes les situations qu'il rencontrait il montrait toujours des signes d'avenir. Pour lui, la fatalité n'existait pas. Il ne se fiait jamais au destin.
Les choses n'étaient pas écrites d'avance. Il produisait lui-même des signes : il guérissait les malades, il rendait un avenir à celles et ceux qui en étaient dépourvus, il faisait tout pour que chacun puisse relever la tête et reprendre confiance. Faisant cela, il était à contre-courant de la société de son temps et d'une certaine façon d'interpréter la loi religieuse qui n'allait pas dans le sens d'une vraie libération de l'homme. L'espérance selon Jésus c'est de n'enfermer personne, que ce soit dans sa fonction, dans son passé, dans sa situation... C'est se faire proche des plus réprouvés. C'est témoigner d'un Dieu amour et pardon. Amour et pardon, c'est-à-dire du neuf toujours possible.
Refrain :
Ta chanson est un vent qui m’entraîne
Ton prénom, une lampe allumée
Ton regard est l’eau de ma fontaine
Ton chemin, le bonheur d’être aimé.
1.- À donner, on refleurit le monde,
À donner, la vie devient soleil.
2.- À chanter, on fait danser le monde,
À chanter, la vie est arc-en-ciel.
3.- À aimer, on rebâtit le monde,
À aimer, nos deux vies s’émerveillent.
14 - TA CHANSON EST UN VENT QUI M'ENTRAINE
Paroles et musique: Jean-Claude GIANADDA
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