Ce Cd   OSER-1996  =>  épuisé

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La Vente des Cd  

Bénéficiaires :

- Père Pedro  Akamasoa-Tananarive MADAGASCAR

- Oeuvre des Soeurs de N.D de la Salette Ihousy-MADAGASCAR

ORIENTATION CATÉCHÉTIQUE

Catéchiser du grec katêkhêsis : "Se faire l'écho de..."

Catéchiser ça n'est donc pas transmettre un abondant discours

en s'appuyant sur un arsenal idéologique...

Catéchiser c'est " se faire l'écho " d'une Parole.

 

"Le  but définitif de la catéchèse est de mettre quelqu'un non seulement en contact

mais en communion , en intimité avec Jésus Christ." (Jean-Paul II)

 

A quoi peut bien servir un Chrétien ...?

Il ne sert à rien, il signifie ! Il est Signe ou Témoin.

01 - OhOh Oh ... UN P'TIT BRIN DE FOLIE

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

 

"Je crois, toujours, que cela sert à quelque chose de se battre.  Et quoi qu’on en dise, l'humanité aujourd'hui est plus supportab le qu'hier" (Simone Weill)

 

 Qu’est-ce que l'espérance chrétienne ?

Réponse : La plupart des gens comprennent l'espérance comme un vœu pieux, le fait d'espérer quelque chose, mais ce n'est pas ainsi que la Bible la définit : la définition biblique de l'espérance est une attente confiante. L'espérance est la ferme assurance de choses encore invisibles et inconnues (Romains 8.24-25, Hébreux 11.1, 7). C'est un élément fondamental de la vie du juste (Proverbes 23.17-18). Sans espérance, la vie n'a pas de sens (Lamentations 3.18, Job 7.6). Il n'y a plus d'espérance dans la mort (Ésaïe 38.18, Job 17.15). Le juste qui met sa confiance et son espérance en Dieu obtiendra de l'aide (Psaume 28.7) et ne sera pas confus, honteux ni déçu (Ésaïe 49.23). Le juste qui espère en Dieu a confiance en sa protection et en son soutien (Jérémie 29.11) et peut vivre libre de toute crainte et anxiété (Psaume 46.2-3). 

 

Le Nouveau Testament présente l'espérance comme la reconnaissance que Christ est l'accomplissement des promesses de l'Ancien Testament (Matthieu 12.21, 1 Pierre 1.3). L'espérance chrétienne est enracinée dans la foi au salut de Dieu en Christ (Galates 5.5). Elle découle de la présence du Saint-Esprit qui nous a été promis (Romains 8.24-25). Nous espérons la résurrection des morts (Actes 23.6), l'accomplissement des promesses faites à Israël (Actes 26.6-7), la rédemption de nos corps et de toute la création (Romains 8.23-25), la gloire éternelle (Colossiens 1.27), la vie éternelle, l'héritage des saints (Tite 3.5-7), le retour de Christ (Tite 2.11-14), notre transformation à son image (1 Jean 3.2-3), le salut de Dieu (1 Timothée 4.10) et Christ lui-même (1 Timothée 1.1). 

 

 

L'espérance, avec la foi et l'amour, est une vertu chrétienne éternelle (1 Corinthiens 13.13). L'amour découle de l'espérance (Colossiens 1.4-5). L'espérance produit la joie et la paix en nous, par la puissance du Saint-Esprit (Romains 12.12, 15.13). Paul attribue son appel apostolique à l'espérance de la gloire éternelle (Tite 1.1-2). L'espérance du retour de Christ est le fondement de la purification des croyants (Tite 2.11-14, 1 Jean 3.3). 

 

 

Il y a deux sortes de "prophètes": les vrais et les faux.

Les faux prophètes sont ceux qui attirent à eux.

Les vrais prophètes sont ceux qui éclairent et nous apportent un peu de Lumière....

"Dis-moi qui est ton message je te dirai qui tu es..."

le monde est flou, les temps sont flous faute de repères.

 

Cette chanson ci-dessous composée pour le Rassemblement National des J.M de 96 est une façon de dire à ces jeunes que nous sommes appelés à être objet de contradiction...bouteille à la mer...Espérance là où l'on est, là où l'on vit..! 

 

Refrain :

Oh, oh, oh, oh,..

Un p’tit brin de folie et d’amour,

Oh, oh, oh, oh...

Un p’tit coin dans ton cœur de velours,

Oh, oh, oh, oh...

Un p’tit chemin qui valait le détour,

Oh, oh, oh, oh...

Un p’tit refrain souvenir des beaux jours.

 

1.- Juke-box et flipper,

Des chansons qui “ wouappent-do-wouapp’nt ”,

Un côté “ fast-food - hip-hop et rap ”...

Le côté “ surfer ”,

De ton cœur rocker !

 

2.- Partie de poker,

D’un destin en “ blues - and’ swing ”,

Look “ réac ” - “ bip-bop ” - cuir et piercing,

Hey, ça manque d’air

Dans ton R.E.R.

 

3.- Bouteille à la mer,

S.O.S. : la vie - naufrage,

C’est un scoop pour de plus beaux rivages,

Clin d’œil de lumière,

Pour cet univers !

02 - ALLUMONS NOS BOUGIES

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Accorde-toi la sensation d'être utile, grand et généreux....

 

Refrain :

Allumons nos bougies Pour éclairer nos rêves,

Pour oser une trêve

Et réchauffer la nuit ! Allumons nos bougies...

 

1.- Au milieu des conflits,

Des “ Ras-l’-bol ”, des mal-être ”,

Une étoile est à naître,

Un regard me l’a dit,

Et ton sourire aussi !

 

2.- Quand il n’y a plus d’espoir,

Il reste l’Espérance,

Une flamme en silence,

Au fond d’un grand trou noir,

Elle attend le grand soir.

 

3.- Cette lampe qui luit,

Pour désarmer l’histoire,

Un devoir de mémoire,

Un droit à la survie,

Un désir d’infini.

 

4.- Je t’offre ma bougie,

En signe de confiance,

Un peu de ma présence,

Au plus fort de la nuit,

Garde-la, je t’en prie.

 

03 -  AÏSSA

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Une jeunesse en panne d'avenir et d'idéal.

Une société adulte qui n'est pas sûre d'avoir grand chose à léguer

qui a fabriqué des enfants de rêve et qui a peur pour eux et d'eux.

 

Il faisait toujours gris dans sa tête,

C’est comme ça, allez savoir pourquoi ?

Aïcha, la petit’ môm’ des “Baumettes”,

Voulait voir le soleil, rien qu’une fois.

Il faisait toujours gris dans sa tête,

C’est comme ça, on ne se refait pas !

Aïcha, la petit’ mom’ des “Baumettes”,

Voulait voir le soleil, rien qu’une fois.

 

1.- Pour une “ rave ” : l’enfer via la seringue,

pour un “ crack ” : le sordide au quotidien,

Pour un “ shoot ” : un voyage de dingue,

c’est peut-être, la faute au destin.

Et c’est le cercle infernal de la défonce, de postcure,

en fugue, vol et prison Une vie, un’ survie,

qui s’enfonce, labyrinthe de la clochardisation.

 

Refrain :

Il faisait toujours gris dans sa tête,

La galère, on ne la choisit pas ;

Aïcha, la petit’ môm’ des “Baumettes”,

Voulait voir le soleil, rien qu’une fois.

 

2.- Et d’hôtels minables, en squatts sordides,

et d’amours scratchés, en coup de “ flip”

Quand elle vous tient cette “ came ” morbide,

dites-moi comment sortir de ce mauvais clip.

 

3.- Mais un soir qu’elle avait trop de peine,

un soir, à bout de tout, elle a mis

Un peu trop de soleil dans ses veines,

et comme un grand soleil s’éteignit...

 

Toutes les fleurs ont besoin de lumière,

d’un reflet, d’un printemps qui s’éveille ;

Qu’il est dur le chemin qu’il faut faire,

pour trouver en soi, le vrai soleil.

04 - DONNE MOI LA MAIN POUR TRAVERSER LA ROUTE

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Existence de bourlingue et de vache enragée...cahotant sur la route du siècle

défoncée d'ornières, avec ses bleus à l'âme...et les "ils n'ont qu'à"....

No comment.

 

Refrain :

Donne-moi la main,

Pour traverser la route, Donne-moi la main,

Il fait si froid dehors.

Je t’emmènerai,

Malgré ce qu’il en coûte, Jusqu’à demain,

Peut-être plus loin encore !

 

1.- On ne choisit pas le jour de son divorce,

Ça fait trop mal les choses de la vie.

Abandonné, même par ses propres forces,

Mais toi, mon enfant, tu avais tout compris.

Tu as enlevé, dès le premier jour du drame,

Toutes les photos sur les murs du salon,

Et deviné ce qui, derrière toi, se trame,

Car désormais tu avais deux maisons !

 

2.- Traîne ma vie, en pilote automatique ;

Pas vraiment l’ choix, peu importe d’ailleurs.

Et puis, soudain, surgissent tes musiques,

Tes “ yeux-soleil ”, tout en forme de cœur.

Ta main, c’est fou ce qu’elle donne de force,

Et quel talent pour repeindre ma vie.

Pour ramener la sève sous l’écorce,

Tu vois, j’existe, ton regard m’embellit.

... Ouh ! ... (bouche fermée)

 

3.- J’ai bien reçu, cinq sur cinq, ton message,

Et même si la vie nous séparait un jour,

Rappelle-toi, au plus fort de l’orage :

 

“ On est toujours sauvé par un AMOUR. ”

05 - UN VENT DE LIBERTÉ

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Le vent a suscité beaucoup d’expressions populaires car décrivant des phénomènes de vents ou s’inspirant de son comportement.

L’homme se réfère au vent pour sa vitesse, sa force, son homogénéité, son symbolisme.

(Vent d’enthousiasme, de liberté, de panique, de folie...

Le vent était à l’optimiste : la tendance générale était à l’optimisme.

Contre vents et marées : proposer quelque chose en dépit de tous les obstacles, même de l’avis général.

Du vent ! : prier quelqu’un ou un animal de s’en aller.

Quel bon vent vous amène ? : formule de politesse pour accueillir quelqu’un en soulignant que l’on pense que seul du bon peut être amené 

 

Le vent souffle où il veut, que ce soit vent d'été, brise de printemps ou tempête d'hiver. Impalpable mais puissant, il impressionne souvent les enfants. Il est un symbole de liberté, expression d'un Dieu libre qui se révèle et s'offre mais ne se laisse jamais piéger dans les constructions ou les démonstrations humaines. Au contraire, il nous en libère !

 

Le vent souffle où il veut... 

C'est un dicton populaire que Jésus cite à Nicodème effaré devant l'incroyable nouveauté que lui propose ce jeune rabbi : "le vent souffle où il veut, tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d'où il vient ni où il va. Ainsi en est-il de quiconque est né de l'Esprit." (Jn 3,8) 

Le rapprochement entre le vent et l'Esprit est ancien. Le caractère mystérieux du vent en fait un symbole éloquent de l'action de Dieu. Mieux encore, un même mot désigne à la fois le vent en tant que souffle, déplacement d'air au sens le plus étendu, et l'esprit (ruah en hébreu et pneuma en grec) à tel point que la distinction est souvent difficile à faire et la confusion facile. Que peut donc nous apprendre le vent sur le mystère de Dieu ? 

 

 

Refrain :

Un vent de liberté vient de souffler Dans ta grand’ voile

Et si la chance tourne, tiens bon, La route continue !

 

1.- Sur ton catamaran,  Chercher devant,

Le nouveau monde,  Courir les océans

À contre-vent Et sans faconde,

“ Marin-aventurier ” Et blackboulé

“ Happy-alone ”. Survivant, donc vainqueur.

Like a skipper À rolling stone.

 

2.- Il restera le flux Et le reflux

Quelques chimères, Il reste le levant

Et le couchant Et ses mystères,

On n’compte plus les jours Même à rebours

Et tous nos rêves, Les coups de Trafalgar

Qui quelque part, Au fond, élèvent.

 

3.- D’aran à d’Alboran, Tiens ton sextant,

Cap sur le pire ! Beau temps ou mauvais temps,

Y aura pourtant, Les gros fous rires.

Transat des alizés, Sans démâter.

Faut “ Faire Face ”. Challenge de la vie, 

On frime aussi : La “ Team ”, c’est classe !

 

P.S: Une jeunesse confrontation à l'inconnu...goût des contrée lointaines...volonté de se mesurer aux obstacles...fascination et crainte pour la nature à l'état brut... Les limites sont là où vous les mettez. Continue ton saltinbanque de chemin. Mais attention être dans le vent c'est parfois avoir le destin d'une feuille morte.

06 - TU AS CHOISI DE PARTIR 

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

“La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde" (Arthur RIMBAUD)

" Seul l'Amour traverse la mort " (François VARILLON)

 

 

1.- Tu as choisi de partir, Tout s’est passé si vite,

Elle te rongeait sans rien dire La maladie termite.

Partie vers l’infini, Dans un matin si pâle,

Tu n’étais pas d’ici, Mais d’un autre Pays

Où naissent les étoiles.

Mais je t’entends me dire :

“Ne pleure pas si tu m’aimes”

Avec ton grand sourire, Tu ne cesses de me dire :

“Je t’appartiens quand même !” Oh !

Reviens si tu peux, si tu veux.

 

2.- Enfuie vers un “Ailleurs”,

Tu as lâché la corde,

Trop inapte au bonheur,

Aux bruits et aux discordes.

Mais pour moi ce matin,

Tout le reste est dérisoire,

Les remords - les chagrins

Déchirent mon destin

Et hantent ma mémoire.

Mais je t’entends me dire : “

Ne pleure pas si tu m’aimes ”

Avec ton grand sourire,

Tu ne cesses de me dire :

“ Je t ’appartiens quand même !... ” Adieu - Adieu.

Quel âge a un enfant,

Quand ses yeux sont fermés.

“ Tu avais 17 ans : tu as l’éternité... ”

Un seul être est absent,

Mais rien n’est dépeuplé.

Un grand amour m’attend

Il a l’éternité. Adieu - Adieu.

 

3.- Prétendre que tu n’es plus,

C’est se renier soit même.

La preuve : à mon insu,

Tu as écrit ce poème.

Et pardon si j’envoie

Cette “Lettre à l’Absente”,

Je voudrais tant qu’ils voient,

Je voudrais tant qu’ils croient

Que la flamme est vivante.

Car je t’entends me dire :

“ Ne pleure pas si tu m’aimes ”

Avec ton grand sourire,

Tu ne cesses de me dire :

“ Je t’appartiens quand même ... ! ” Adieu -

À Dieu Puisque c’est près de Dieu

Que nos vies se rejoignent. 

 

POÈME DE LOUIS ARAGON

C'est une chose étrange à la fin que le monde;

un jour je m'en irai sans en avoir tout dit:

ces moments de bonheur, ces midis d'incendie,

la nuit immense et noire aux déchirures blondes.

 

Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croît.

D'autres viennent, ils ont le coeur que j'ai moi_même;

Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime,

et rêver dans le soir, où s'éteignent des voix.

 

D'autres qui referont comme moi le voyage,

D'autres qui souriront, d'un enfant rencontré,

Qui se retourneront pour leur nom murmuré;

D'autres qui lèveront les yeux vers les nuages.

 

Il y aura toujours un couple frémissant

pour qui ce matin_là sera l'aube première;

Il y aura toujours ,  l'eau le vent la lumière;

Rien ne passe après tout , si ce n'est le passant!

 

C'est une chose au fond, que je ne puis comprendre:

cette peur de mourir que les gens ont en eux

comme si ce n'était pas assez merveilleux,

que le ciel un moment, nous ait paru si tendre...

 

Malgré les jours maudits, qui sont des puits sans fond,

Malgré ces nuits sans fin à regarder la haine,

Malgré les compagnons de chaîne,

Mon Dieu, mon Dieu, qui ne savent pas ce qu'ils font...

 

Cet enfer ,  malgré tout cauchemar et blessures,

les séparations, les deuils,les camouflets,

et tout ce  qu'on voulait, pourtant ce qu'on voulait

de toute sa croyance imbécile à l'azur,

 

Malgré tout je vous dis que cette vie fut  telle,

qu'à qui voudra m'entendre, à qui je parle ici

n'ayant plus sur la lèvre, un seul mot que :merci,

je dirai malgré tout, que cette vie fut belle..

 

LOUIS ARAGON

07 -  TU SAIS QUOI ?

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

"Il ne faut pas qu'un être, par sa trahison, vous décourage à jamais d'avoir confiance en d'autres êtres, il aurait trop gagné s'il avait tué en vous la confiance faite en son prochain" (Montherlant) -

Fait de société - fracture sociale... mal-être d'une génération - avec leurs Nike, leurs casquettes 'Malcom X' - leur 'tchatche' en prime défensive... la haine au ventre mais... n'oublie pas, l'important dans la vie, c'est d'être vivant!

 

Tu sais quoi? m'a dit un jour le môme

Dans ma cité des quartiers Nord

Les seringues poussent bien mieux que les pommes,

Ici, c'est la loi du plus fort! Tu sais quoi? Les rodéos d'enfer

De l'autre côté du 'périph' Les halls 'craignos', les packs de bière,

Le territoire, les potes, le 'sniff'!

 

Refrain :

QUI OSE ENCOR' PARLER DE LENDEMAINS QUI CHANTENT : J'AI FROID! ET POURTANT J'AI CRU VOIR UNE ÉTOILE BRILLANTE EN TOI.

Tu sais quoi? Sur la planète verte, Déchets, couch' d'ozone et béton, Pluies d'acide et rivières inertes :

La terre saigne pour de bon!

 

Rf : Y aura-t-il un printemps à la saison nouvelle, Dis-moi! Et pourtant j'ai cru voir passer une hirondelle Chez toi.

Tu sais quoi? Là-bas, y a ceux qui savent, Dictateurs et sbires voyous,

"Underground", "soutiers", et peuples esclaves, Le monde est-il devenu fou.

 

Rf : Là-bas, même l'oiseau n'a que des chansons tristes, Crois-moi! Et pourtant je perçois comme un chant qui résiste En toi.

Tu sais quoi? demain est une chance Tant que nos coeurs restent brûlants L'important dans la vie, je le pense,

C'est de vouloir rester vivant.

Rf : Nos enfants apprendront, en nous voyant, je pense, Ce chant! L'important, dans la vie, c'est d'être cette chance : Vivants!

 

 

 

Références bibliques : Lc 15, 14-24 - Ez 37, 1-14 - Mt 26 49, 56 et 70 - Ac 2, 11 Gn 1, 2 - Jn 6, 68; 16, 33 - Lc 23, 40-43 - Lc 24, 13-35 - Ps 22, 21-23.

08 - L'AMITIÉ FIDÈLE 

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Une belle histoire vraie.

Longtemps, Sheila Hoken , une aveugle de 34 ans s'est promenée danbs les rues de Nottingham guidée par Emma, son labrador.

Opérée de la cataracte, Sheila a récemment retrouvé la vue, mais c'est maintenant Emma qui est devenue aveugle, elle aussi atteinte de la cataracte, et est promenée par sa maîtresse.

" Des années Emma m'a guidée avec affection dans les rues de Nottingham,

c'est à son tour de faire la même chose pour elle", a déclaré Mme Hoken qui était aveugle de naissance. Son labrador, qui va avoir 16 ans la semaine prochaine, est également devenu sourd.

Il était célèbre depuis que Mme Hocken avait raconté leur histoire dans un livre à succès, "Emma et moi". Toujours aidée par son chien, Mme Hochen s'était rendue dans tout le Royaume-Uni pour présenter ce livre et collecter des fonds pour des associations d'aveugles.

 

 

1.- Histoire divine que celle de “Petit-Roi”,

Un chien qui trottine toujours devant moi.

“Petit-Roi” il se nomme, c’est mon labrador ;

Si vous saviez comme il a un cœur d’or.

 

Refrain :

L’amitié fidèle,

C’est une étincelle

Aux yeux du bonheur !

La force essentielle,

La vie qui ruisselle

Un “garde du cœur” !

 

2.- Les gens du village nous voient tous les deux,

Le petit chien bien sage et l’aveugle heureux.

Nos vies se ressemblent, il vit, donc “je suis”,

Tous les jours ensemble “je suis” donc “il vit” !

 

3.- J’ai un jour de chance retrouvé la vue,

L’âge est sans clémence car lui n’y voit plus !

Sa vie n’est pas vide “je suis”, donc “il est” ;

Je deviens son guide et sa liberté.

 

4.- Dès lors je lui conte toutes les beautés,

Lui il me raconte ses moindres secrets.

Si dans l’autre monde chante une amitié,

Pas une seconde, je n’en ai douté. 

09 - OSER RISQUER POUR TOI MON DIEU

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Oser du latin ausare : avoir la hardiesse, le courage de ...

"Tortus tuus " Tout à Toi" (Saint Jean-Paul II)

Jésus envoie ses disciples comme des agneaux au milieux des loups (Lc 10, 3)

 

Qu’est-ce que le Carême ?

 

Le Carême commence le Mercredi des Cendres,  et s’achève le Jeudi Saint, avant la célébration de la Cène du Seigneur. La Semaine Sainte, qui commence avec le dimanche des Rameaux, commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur la Croix. Le Samedi Saint au soir et le dimanche de Pâques, nous  célèbrons la résurrection du Christ.

La durée du Carême – quarante jours -  fait  référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert entre son baptême et le début de sa vie publique. Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.

 

Un temps de conversion

Au désert, le Christ a mené un combat spirituel dont il est sorti victorieux. À sa suite, il ne s’agit pas de faire des efforts par nos propres forces humaines mais de laisser le Christ nous habiter pour faire sa volonté et nous laisser guider par l’Esprit.

Durant le temps du Carême, nous sommes invités à nous donner des moyens concrets, dans la prière, la pénitence et l’aumône pour nous aider à discerner les priorités de notre vie.

Le temps du Carême est un temps autre qui incite à une mise à l’écart pour faire silence et être ainsi réceptif à la Parole de Dieu.

 

Refrain :

Oser risquer pour toi mon Dieu,

Oser partir prendre le large,

Vouloir d’abord ce que Tu veux,

Marcher confiant vers ton rivage.

 

1.- Pour aller redire à tous ceux

Trop bien installés dans leur cage

Qu’il leur suffit d’un rien, d’un peu

Pour s’affranchir sur ton Passage.

 

2.- Avec un souffle au fond des yeux,

Plein d’insouciance en mes bagages,

S’il fait soleil ou bien s’il pleut

Ma liberté s’écrit courage.

 

3.- Et dans les moments malheureux

Tu essuieras sur mon visage,

Mes gros chagrins et mes aveux

Et puis nous tournerons la page.

 

4.- Et je chanterai de mon mieux

Au fond des mers, au bout des plages,

Que tu m’attends, que tu me veux

Les bras ouverts sur mon passage.

 

Chiche ! Tope-là !

10 - MARANATHA ESPRIT DE DIEU

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Maranatha signifie : "Viens Esprit de Dieu "

"Ils se mirent à parler plusieurs langues" (Ac 2, 1-4)  

 

 

1.- Il n’y a qu’un sommet en haut de la montagne,

Nombreux sont les sentiers, nombreux sont les détours.

Pour oser ce défi, choisir un “qui perd gagne”

Et risquer le chemin : celui de Ton Amour.

 

Refrain :

Maranatha, Esprit de feu, Maranatha,

Esprit de Dieu.

 

2.- On a vu au désert resurgir la rivière,

La violette fleurir au fond du roncier

Pour revenir au puits et chercher la lumière

Et fleurir malgré tout où tu nous as semés.

 

3.- Il y a des jours “pour rien” et des soirs de malchance,

Des nuits sans lendemain et sans “garde du cœur”

Pour donner à nos vies la chance à l’Espérance

Et ré-entendre encore : “surtout n’ayez pas peur”.

11 - UN VENT D'ESPOIR VIENT DE SOUFFLER nous deviendrons "Pain de la Pâque"

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

 

« Quelle est la signification du pain sans levain ? »

La Bible dit que, tous les ans au moment de la Pâque, les Israélites ne devaient manger que du pain sans levain, en commémoration de leur sortie de l'esclavage en Égypte. Les Israélites sont sortis d'Égypte avec tant de hâte qu'ils n'ont pas eu le temps de faire lever leur pain. C'est pour cela que la première Pâque a été célébrée avec du pain sans levain. La Bible explique en ces mots la signification de ce pain : « Pendant la fête, tu ne mangeras pas de pain levé, mais tu mangeras durant 7 jours des pains sans levain, du pain de misère, car c'est avec précipitation que tu es sorti d'Égypte. Ce sera le cas afin que tu te souviennes toute ta vie du jour où tu es sorti d'Égypte. » (Deutéronome 16.3) On trouve d'autres commandements concernant le pain sans levain en Exode 12.8, 29.2 et Nombres 9.11. Jusqu'ici, les familles juives célèbrent la Pâque avec du pain sans levain.

 

Dans la Bible, le levain est presque toujours symbole du péché : comme le levain imprègne toute la pâte, le péché empoisonne la personne, la nation et l'Église toute entière, jusqu'à les asservir et à mener à leur mort (Galates 5.9). Romains 6.23 nous dit : « En effet, le salaire du péché, c'est la mort », le jugement de Dieu pour le péché. C'est pour cela que Christ est mort : pour nous permettre d'échapper à son jugement pour notre péché si nous nous repentons, acceptons Christ comme notre agneau pascal et le laissons transformer notre cœur pour vivre une vie conforme aux commandements de Dieu. 

 

Refrain :

Un vent d’Espoir vient de souffler

Nous deviendrons “Pain de la Pâque”

Ainsi l’Amour s’est réfugié

Entre nos mains.

 

1.- Les jours sont si pesants

Les habitudes telles

Que nous ne voulons plus sortir d’ici,

Ce vent à contretemps

Bouscule et nous appelle

À reprendre la route de la vie.

 

2.- Si fort est le courant

Et les “modes” sont telles

Que nos chemins parfois sont sans issue,

Ce vent à contretemps

Dérange et interpelle

Et nous projette alors dans l’inconnu.

 

3.- Tout est si angoissant

Et l’aventure est telle

Que nous laisserions tout tomber parfois,

Ce vent à contretemps

Étonne et renouvelle

“Nul ne sait d’où il vient ni où il va”.

12   - AIMER TOUJOURS

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

  

Quel est le plus grand Commandement?

" Jésus répondit : Voici le premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l’unique Seigneur, et : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là » (Marc 12:28-31).

 

 

Refrain :

Aimer, aimer, aimer toujours, La force de l’amour,

Transformera la terre.

Aimer et “servir” sans retour, Pour que le monde, un jour,

Connaisse la lumière.

 

1.- Oser les rêves les plus fous,

Encore et jusqu’au bout,

Pour que la paix revienne ;

Risquer, même un “tout pour le tout”,

Quand le “je” devient “nous”,

Quand le cœur nous entraîne.

 

2.- Vouloir “l’Amour Universel”,

Désirer l’essentiel,

Entier et sans limite ;

Choisir la confiance en la vie,

En l’avenir aussi,

Le cœur nous y invite.

 

3.- Savoir que quelqu’un, quelque part,

Il n’est jamais trop tard,

M’attend avec tendresse ;

Choisir les cordes de ton luth,

Les notes de ta flûte,

Pour que nos cœurs renaissent.

 

Commentaire : chant de méditation qui se situe dans le prolongement du précepte de Jésus : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Mc12,31)

 

" Seul l'aimant attire" (Gilbert CESBRON)

 

"La lâcheté est pire que la violence "( Gandhi)

" Qui cherche à sauver sa vie la perd qui accepte de la donner

la gagne" (Lc 9, 24)

 

Utilisation catéchétique : Sur le thème de la fraternité – Amour – Confiance.

13 - COMME L'ENCENS

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

 

Origine de l’encens

L’encens est produit à partir de la résine d’un arbre que l’on trouve surtout dans la péninsule arabique.

 

Le christianisme, dans la continuité de l’Ancien Testament, perpétue l’utilisation de l’encens, puisqu’il fait partie des cadeaux apportés au Christ par les rois mages.

 

L’encens est brûlé dans un encensoir, tenu par un thuriféraire (d’un mot grec, « thus », encens, et d’un mot latin « ferre », porter) qui le fait osciller pour mieux diffuser le parfum de l’encens. La fumée de l’encens montant vers le ciel symbolise également la prière qui monte vers Dieu.

 

Cet arbre, haut de trois mètres à maturité, produit cette précieuse résine,  "

 

 

Que ma prière soit l'encens placé devant toi et, mes mains levées, l'offrande du soir" (Ps 141, 2)

 

Refrain :

Comme l’encens dans un profond silence,

Tout simplement s’élève jusqu’à Toi,

Ainsi mon Dieu, je cherche ta présence,

Puisse ton feu brûler toujours en moi ! (bis)

 

1.- Brûle, mon Dieu, mes rancœurs, mes rancunes,

Seul, le pardon permet de s’élever ;

Tes bras ouverts seront ma vraie fortune,

Et mon trésor de me savoir aimé.

 

Refrain

Comme l’encens parfum dans la lumière,

Tout simplement s’élève jusqu’à Toi,

Ainsi mon Dieu, accueille ma prière,

Et que ton feu brûle encore plus en moi ! (bis)

 

2.- Brûle, mon Dieu, mes projets misérables,

Seul, ton amour me permet d’Espérer ;

Tu me rejoins, tu m’invites à la table,

Pour partager le pain d’Éternité.

 

Refrain :

Comme l’encens soudain devient offrande

Tout simplement fragile dans le soir ;

Ainsi, mon Dieu, vers Toi, mes mains se tendent,

Pour que ton feu ranime mon espoir ! (bis)

 

3.- Brûle, mon Dieu, mes peurs et mes idoles,

Seule, ta vie me permet d’exister ;

Je viens mendier, ton pain et ta parole,

Pour donner sens à ma fidélité.

 

Refrain :

Comme l’encens, ce soir devient louange,

Tout simplement pour se confier à Toi ;

Je n’attends rien, surtout, rien en échange,

Puisse ton feu, brûler toujours en moi ! 

14 - MAIS QUI ES-TU MARIE

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

Il est minuit dans le siècle. Le temps des lumières est passé.

Mais regarde là-haut...tout là-haut...une Étoile !

 

 

1.- Pour que des foules immenses

Massées sur les parvis

Te confient leur souffrance

Et leur croix et leur vie...

 

Refrain :

Mais qui es-Tu, Marie ?

Mais dis-moi qui es-Tu ?

Marie notre Dame de Vie

Montre-nous l’infini. (Bis)

 

2.- Pour que la terre entière Vierge, Reine – ou Maman,

Myriam ou Bonne Mère T’appelle à chaque instant.

Refrain :

Mais qui es-Tu, Marie ? Mais dis-moi, qui es-Tu ?

Marie Notre Dame du Temps

Montre-nous ton Enfant. (Bis)

 

3.- Pour qu’il y ait tant d’Icônes De vitraux – de statues,

Cantiques à la Madone Processions dans les rues.

Refrain :

Mais qui es-Tu, Marie ? Mais dis-moi qui es-Tu ?

Marie Notre Dame des rues

Guide-nous vers Jésus. (Bis)

 

4.- Dame de Sauvegarde De pitié – de merveille,

Du secours – de la Garde De la Terre et du Ciel.

Refrain :

Mais qui es-Tu, Marie ? Mais dis-moi qui es-Tu ?

Marie Notre Dame du Ciel 

Montre-nous le Soleil. (Bis)

15 - LA PAIX QUE TU NOUS DONNES

Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

 

"Salam alekoum" : que la paix soit avec toi! "Yerou chalaîm" : ville de la paix : Jérusalem

Démographie galopante - terrorisme - exclusion - fossé "Nord-Sud" - urbanisation forcenée - cohortes de zombies robotisés - surexploitation de ressources nucléaires -gabegie et corruption en toute impunité... Structures budgétivores...et vous avez bien dit :... "LA PAIX?"

 

Refrain :

LA PAIX QUE TU NOUS DONNES EST UN SOUFFLE DE VIE,

LA PAIX QUI NOUS PARDONNE

EST UN VENT DE L'ESPRIT!

VOICI LA PAIX, TA VIE!

La paix, c'est nos visages Et nos mains réunis!

Elle est même un passage

Au milieu de la nuit!

La paix essuie les larmes, Elle est loin des conflits;

Elle a détruit les armes

Et nous lance un défi.

La paix, c'est le langage Et les mots d'un ami

Elle est même un rivage

Au mystère infini. (Jn 21, 4-9)

La paix, c'est un message, Évangile aujourd'hui,

Elle est même partage

En celui qui est vie.

Alleluia! Alleluia!

 

Références bibliques :

Mt 26, 52 - Ap 21, 1 - Is 9, 5 - Lc 1, 79; 2, 14 - Mt 10, 34 - Jn 14, 27 Jn20,19-23 -Mt5,9

16 - TOI MON ÉGLISE AUX CHAISES VIDES

Paroles : Jean DEBRUYENNE

Musique : Jean-Claude GIANADDA

 

La réduction de la pratique religieuse en Europe et en France au cours du XXe siècle peut s’expliquer par cinq causes qui ont modifié à la fois les pratiques de vie et la perception portée par la population sur la foi chrétienne. Ces causes ne peuvent pas se classer par ordre de priorité, ou d’importance : chacune pouvant être corrélée aux autres ou indépendante. Selon les pays, et l’histoire propre de chaque peuple, leur importance peut varier.

 

1/ La très nette amélioration des conditions de vie

Première cause de la désaffection du culte, la très nette amélioration des conditions de vie.

 

2/ L’essor de l’individualisme

L’essor de l’individualisme est la conséquence de la démocratie, très bien perçu par Tocqueville. L’individualisme fait rejeter les vérités révélées et les dogmes, puisque l’individu se voit comme étant sa propre origine et sa propre fin. Or, l’Église étant perçue comme essentiellement dogmatique, elle est vue comme s’opposant à la liberté et à l’épanouissement des hommes.

 

3/ La présence de régimes politiques anti-chrétiens

Le rôle des régimes politiques anti-chrétiens dans le recul de la présence catholique est un facteur qui est trop souvent oublié. Les pays d’Europe connaissent, depuis deux siècles, des gouvernements ouvertement anti-chrétiens, et dont l’objectif politique est d’éradiquer le christianisme.

 

4/ L’ambiguïté des missions.

En envoyant des missionnaires dans les pays de mission extra-européens, l’Europe s’est privée de bras, de prêtres et de religieuses, qui lui ont fait grand défaut au début du XXe siècle, quand la sécularisation a commencé à devenir très forte, et qui continuent à lui manquer aujourd’hui. La colonisation a été la grande idée de la gauche républicaine et humaniste, qui voyait dans les peuples non-Européens des êtres inférieurs à civiliser.

 

5/ L’incompréhension face au monde

Face aux attaques politiques et aux transformations sociales, beaucoup de chrétiens n’ont pas compris ce qui se passait et se sont dissociés du monde. Alors que le chrétien est fait pour ne pas se différencier dans ses manières de vivre (lettre à Diognète) et pour vivre dans le monde sans être mondain, beaucoup ont été mondains tout en étant en dehors du monde.  

 

 

Refrain 1

Toi mon église aux chaises vides Ton Dieu aurait-il disparu ?

Ta religion a pris des rides

Dieu est parti,

Dieu est parti vivre à la rue.

 

1.- Mon Dieu, j’ai trouvé Ton visage

Caché dans les yeux d’un migrant,

Portant sur son dos le chômage,

Le pauvre est ton “Saint Sacrement”.

 

Refrain 2 :

Mon Dieu, j’ai cherché ta Présence

Partout mes prières ont couru,

Mais Tu te caches en longs silences

Es-Tu parti ? Es-Tu parti vivre à la rue ?

 

2.- Mon Dieu, j’ai trouvé Ton visage

Aux grands yeux creux des affamés.

Dans tous les exclus hors d’usage

Aux cris de tous les mal aimés.

Ubi caritas et amor

Deus, Deus ibi est. (Refrain 1)

 

3.- Mon Dieu, j’ai trouvé Ton visage

Chez tous les vaincus d’aujourd’hui,

Chez tous les vieillards avant l’âge,

Tous les galériens de la nuit. (Refrain 2)

 

4.- Mon Dieu, j’ai trouvé Ton visage,

Dans les regards des crucifiés,

Ceux des prisonniers dans leur cage

C’est Toi mon Dieu qui m’es confié. Refrain 1 ...

Ubi caritas et amor Deus, Deus ibi est.