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    MARCHER  

    Année 2009 -

     

    Cd épuisé

     

    Orchestrations :

    Christian BROGNIART

     

     

     

     

    Objectif catéchétique de ce Cd :

     

    Marcher

    Se déplacer à pied.  Suivre sa route, son chemin

    Synonymes : avancer, aller

     

    Le chemin de la vie chrétienne ne serait-il pas semblable

    à celui des disciples d'Emmaüs (Lc 24 ) ?

    - Le temps de l'amitié

    " De quoi discutiez-vous tout en marchant ? "

    - Le temps du sacrement

    "Prenez et mangez..."

    - le temps de l'envoi

    " Nous L'avons vu ! Nous L'avons entendu ! "

     

    Réflexion catéchétique

    Nous sommes des chercheurs de Dieu !

    « Marchez dans l’amour, comme  le Christ nous a aimés… »

    (Éph. 5:12).

     

    Nous traversons un monde hostile, dont Satan est le chef. Nos pensées, nos affections, doivent graviter habituellement dans le ciel, là où Christ, qui est notre vie, est assis à la droite de Dieu. S’il en est ainsi, il y aura de plus en plus de stabilité dans nos âmes, et nos pensées se tiendront toujours plus éloignées de ce monde.

     

     

    Jésus nous appelle à marcher sur ses traces (1 Pierre 2:21).

     

     

    " Console-toi, tu ne me chercherais pas

    si tu ne m'avais pas trouvé "

    (Pascal, Le Mystère de Jésus in Les Pensées) 

    Ce Cd MARCHER-2009  => épuisé.

    Mais  d'autre Cd sont actuelement disponibles.

    Vous pouvez commander  à :

    Association Saint Bruno -

    39 Chemin des AURENGUES -13013 Marseille

    Mail : associationsaintbruno13@gmail.com

      - 15€ + frais de port

     

    Aide Humanitaire : 

    Vente des Cd au profit :

    Bénéficiaire :

     - Père Pedro OPEKA Akamasoa-Tananarive-MADAGASCAR

    - Soeurs de Notre Dame de la Salette Ihousy-MADAGASCAR

    01 -ET PUISQUE ÊTRE DANS LE VENT

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    Marcher c'est  " Suivre sa route avec l'Esprit Saint"

     

    Symbole de l'Esprit: "Le vent" 

     

    "Tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux,

    et il remplit toute la maison où ils étaient assis" (Actes 2.1-12  -v. 2).

    En octobre, un mois où, dans mon coin de pays, les températures commencent à descendre

    et les feuilles de plusieurs variétés d’arbres deviennent éclatantes de couleurs.

     

    Les  feuilles qui bruissaient me rappelaient les paroles de Jésus :« Le vent souffle où il veut,

    et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit. » ( Jean 3.8)

     

    Seules : la prière, la méditation, l'oraison quotidiennes  peuvent nous permettre

    de "Marcher à l'écoute de l'Esprit-Saint" .

     

    Ce n’est pas un programme facile. C'est même un programme aride.

    Il peut y avoir parfois de petits accidents de parcours. Mais, l’Esprit nous accompagne dans cette marche et nous donne le soutien nécessaire .

    Marchons selon le Saint-Esprit en prenant le temps de la prière.

     

    1.- Et puisque être dans le vent

    C’est l’ambition des feuilles mortes.

    Nous marcherons à contrevent

    Par les sentiers de toutes sortes.

     

    Refrain :

    Nous marcherons dans les grands vents

    Jusqu’au soleil de Compostelle

    Vers cette étoile du levant

    Là-bas, les contrées sont si belles.

     

    2.- Et puisque être dans le vent

    C’est l’ambition des girouettes.

    Nous marcherons obstinément

    Notre aventure est de " renaître ".

     

    3.- Ami, seras-tu mon grand vent ?

    Quitte ton port et ta banquise.

    Ensemble allons tout droit devant

    Là-bas, c’est la Terre Promise.

    01 - ET PUISQUE ÊTRE DANS LE VENT

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    02 - TOUT LÀ-HAUT

    Paroles et musique : F.Vonlanthen – Lambert

    D.J.Otzi et Nik D (Ein Stern) 

     

    Marcher jusqu'à  TOUT LÀ-HAUT

     

    " Console-toi, tu ne me chercherais pas si tu ne m'avais pas trouvé "

    (Pascal, Le Mystère de Jésus in Les Pensées)

    Formule de feu, tranchante comme une lame, qui "pénètre à la jointure de l'âme et de l'esprit"

    si l'on veut bien la laisser résonner en soi.

     

    Refrain :

    Tout là-haut

    L’étoile que tu vois

    Veill’ sur toi et moi

    Et brille dans nos cœurs.

    Tout là-haut

    L’étoile et sa lumière

    Nous rassure et nous éclaire

    Sur le chemin du bonheur.

     

    1.- Les petits,

    Les grands problèmes

    C’est la vie,

    Mais quand on s’aime

    Chaque jour est une course au trésor.

    Au-delà

    Des nuits d’orage,

    On aura

    Tous les courages

    Car l’espoir nous rend toujours plus fort.

     

    2.- Si nos rêves Se déchirent,

    Nos destins

    Parfois chavirent

    Pas question de tout laisser tomber.

    Au-delà

    Des mots, des gestes

    Qui font mal

    Et qui nous blessent

    C’est la vie qui devra l’emporter.

    02 - TOUT LÀ-HAUT

    Paroles et musique : F.Vonlanthen – Lambert

    D.J.Otzi et Nik D (Ein Stern) 

    03 -  JE VOUS ÉCRIS MONSIEUR LE MONDE

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

     

    Marcher en "obéissant à l'Esprit Saint " 

     

    Être réceptif à l'Esprit Saint, c'est être à l'écoute dans la prière.

    L'Esprit-Saint  nous rappelle et nous éclaire sur la Parole de Dieu.

    La marche selon le Saint-Esprit passera par la manière dont nous Lui obéissons. 

    À chaque jour suffit Sa Grâce.

     

    1.- Je vous écris, Monsieur

    Le Monde Parce que nous sommes des milliers

    Contre la guerre, contre l’immonde.

    Nos doigts sont en forme de “ V ”.

    Je vous préviens, Monsieur

    Le Monde, Même si nous ne sommes pas armés.

    Nous avons commencé la ronde.

    Lisez ma lettre, s’il vous plaît.

     

    Refrain :

    Aimer, au-delà des frontières

    Rêver, à perdre la raison

    Partir, jusqu’au bout de la terre

    Aimer, même jusqu’au pardon !

     

    2.- Je vous écris, Monsieur Le Monde

    Quelques vers naïfs, je le sais.

    Mais, chaque jour, chaque seconde,

    Je vous déclarerai la Paix !

    Je vous préviens, Monsieur Le Monde,

    Nous sommes tous déterminés.

    Déjà nos chansons vagabondent,

    Aux quatre coins du monde entier. 

     

    03 -  JE VOUS ÉCRIS MONSIEUR LE MONDE

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

    04 - JE N'AURAI PAS LE TEMPS

    Paroles :Pierre DELANOË 

    Musique : Michel FUGAIN 

     

    Marcher prendre LE TEMPS d'être toujours avec Lui puisqu'Il est toujours avec nous.......

     

    La Covid-19, nous a pris de plein fouet. 

    Le confinement a été l’occasion de prendre rendez-vous avec soi-même. Il nous a rappelé  notre finitude. Il a été le moyen de se rapprocher de l’Essentiel.

    J'ai tout remis entre les mains de Dieu et de la Vierge Marie.

    Il y a un quelque chose en nous qui est plus Grand que nous...

     

    Puisse, l’Esprit Saint nous donner de prendre le temps de marcher chaque jour avec Lui. 

     

    Refrain :

    Je n'aurai pas le temps pas le temps.

     

    1.- Même en courant

    Plus vite que le vent,

    Plus vite que le temps.

    Même en volant

    Je n'aurai pas le temps

    Pas le temps.

    De visiter

    Toute l'immensité

    D'un si grand univers.

    Même en cent ans

    Je n'aurai pas le temps

    De tout faire.

     

    2.- J'ouvre tout grand mon cœur

    J'aime de tous mes yeux

    C'est trop peu

    Pour tant de cœurs,

    Et tant de fleurs.

    Des milliers de jours

    C'est bien trop court,

    C'est bien trop court.

    Et pour aimer

    Comme l'on doit aimer,

    Quand on aime vraiment.

    Même en cent ans

     

    Je n'aurai pas le temps Pas le temps.

    Je n'aurai pas le temps pas le temps...

    04 - JE N'AURAI PAS LE TEMPS

    Paroles :Pierre DELANOË 

    Musique : Michel FUGAIN 

    05 - POUR TOI SANDRA-SAÏDA

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    Marcher « Marchez selon le Saint-Esprit,…»

     

    L’apôtre Paul nous  dit: « Marchez selon le Saint-Esprit,…» (Galates 5, 16 )

    Saint Paul utilise donc le verbe « marcher ». Marcher implique un mouvement à faire,

    c’est-à-dire qu’on avance, on va d’un point vers un autre et dans ce contexte, marcher signifie aussi «vivre, être dirigé». Cette marche commence le jour où nous accueillons Christ comme Seigneur et Sauveur, c’est là que Dieu met Son Esprit en nous pour nous permettre de vivre en Lui et par Lui.

    Dans notre prière, demandons à Dieu de marcher selon le Saint-Esprit !

     

    1.- Pour toi, SANDRA, cette chanson anodine,

    Toi encore qu’une gamine, virée de ton boulot,

    “ Trois mètres de trottoir, pour trois grammes d’héroïne ”

    Une vie sans envie - révoltée d’être trop.

    Pour toi, SANDRA, pour qui rien n’est facile,

    Vraiment bien nulle part et camée jusqu’aux yeux,

    Le passé te poursuit et le bonheur est fragile,

    Avant de commencer tu étais déjà hors-jeu.

     

    Refrain :

    Ne jetez pas la pierre, C’est inscrit sur le sable,

    Ne dites jamais “ fontaine, J’ boirai pas de ton eau !... ”

    Ne dites jamais “ fontaine, J’ boirai pas de ton eau !... ”

    Oh... oh... oh...

     

    2.- Je sais, SANDRA, que t’es pas une balance,

    Le corps abandonné à qui en voulait bien,

    Tu es entrée par concours, concours de circonstance,

    Et la loi du silence a fait l’reste et te tient.

    Pour toi et ton enfant dans ce monde cynique,

    Ici, parce que trop mal d’être ailleurs ou là-bas.

    Et puisque jamais “ insérée ” - la “ réinsertion ”

    c’est comique !

    T’avais pété les plombs, que pouvait-on pour toi ?

    Ne jetez pas la pierre Ça s’rait insupportable !..

    Je crois en la fontaine Où l’on vient puiser l’eau !..

     

    3.- Les larmes ont délavé ton regard de lumière,

    Tu avais moins d’mal que bien d’autres, je sais,

    En délayant la came au fond de la cuillère,

    Tu cherchais, je crois bien, ta carte d’identité.

    Alors tu as livré une dernière bataille,

    Quand on a touché le fond, le Ciel n’a pas de prix.

    Mais le hic, aujourd’hui, c’est d’sortir des tenailles,

    Tu voulais exister et vivre enfin TA vie !..

    Il est une rivière, Un endroit formidable

    Le chant de la fontaine Y est si clair et si beau...

    05 - POUR TOI SANDRA-SAÏDA

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    06 - QUE SERAIS-JE SANS TOI ?

    Paroles :Louis ARAGON

     Musique : Jean FERRAT

     

    Marcher en Lui disant chaque jour : " QUE SERAIS-JE SANS TOI"

     

    Ma vie sans Jésus-Christ serait une vie dénuée de sens .

    Il est le Chemin, la Vérité et la Vie.

     

    Par Ta grâce mon Dieu, Toi seul peux me régénéré.

    "Que serais-je sans Toi" ?

     

    1.- Quand nous chanterons le temps des cerises

    Et gai rossignol et merle moqueur

    Seront tous en fête

    Les belles auront la folie en tête

    Et les amoureux du soleil au coeur

    Quand nous chanterons le temps des cerises

    Sifflera bien mieux le merle moqueur.

     

    2.- Mais il est bien court le temps des cerises

    Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant

    Des pendants d'oreilles

    Cerises d'amour aux robes pareilles

    Tombant sous la feuille en gouttes de sang

    Mais il est bien court le temps des cerises

    Pendants de corail qu'on cueille en rêvant.

     

    3.- Vous avez peur des chagrins d'amour

    Evitez les belles

    Moi qui ne crains pas les peines cruelles

    Je ne vivrai pas sans souffrir un jour

    Quand vous en serez au temps des cerises

    Vous aurez aussi des peines d'amour.

     

    4.- J'aimerai toujours le temps des cerises

    C'est de ce temps-là que je garde au coeur

    Une plaie ouverte

    Et Dame Fortune, en m'étant offerte 

    Ne saura jamais calmer ma douleur

    J'aimerai toujours le temps des cerises

    Et le souvenir que je garde au cœur.

    06 - QUE SERAIS-JE SANS TOI ?

    Paroles :Louis ARAGON

     Musique : Jean FERRAT

    07 -  CROIRE ENCORE AU PRINTEMPS

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

     

    Marcher c'est CROIRE ENCORE AU PRINTEMPS

     

    Un monde dans lequel une pandémie fait s’écrouler l’économie peut-il renaître meilleur ?

    Il est permis d’y croire.

     

    Il est trop tôt pour tirer des conclusions de la crise qui secoue actuellement la planète. La Chine semble avoir vaincu l’épidémie, mais le pire reste à venir en Europe et en Amérique. Le Québec compte encore moins de 1 000 cas confirmés de COVID-19 et moins de 10 décès.

    Les conséquences économiques de la crise seront majeures, même s’il est impossible de les quantifier précisément.

     

    Dans un contexte où tout le monde navigue à vue, il est périlleux de se lancer dans des réflexions à chaud.

      

    Confrontés aux questions essentielles posées par la pandémie — vie ou mort de milliers de personnes, solidarité ou individualisme, impuissance face à une menace qui nous dépasse —, plusieurs aspects de nos vies paraissent soudain insignifiants. Pour de nombreuses personnes, le bouleversement en cours ne représente pas seulement une menace sanitaire et un choc socioéconomique, mais aussi l’occasion de remises en question plus profondes.

    La frénésie privée et publique de nos vies, tout à coup arrêtées, laisse un arrière-goût étrange.

    Notre expérience du monde passe désormais par un filtre plus existentiel qui décape la superficialité de notre quotidien d’antan.

     

    J’ignore ce qui restera de tout cela dans quelques mois, mais pour l’instant, les potins de Hollywood, la partisanerie de basse-cour, le marketing des soins de beauté et les déboires du Canadien n’ont plus beaucoup d’importance. Les grandes thèses académiques et les modèles économiques complexes paraissent désuets. On compare la pandémie de COVID-19 à celle de la grippe espagnole de 1918, et ses contrecoups économiques à ceux de la Grande Dépression. La réalité d’il y a 15 jours — la présentation du budget du gouvernement, sur fond de surplus et de grandes ambitions de croissance — semble déjà appartenir à une époque révolue.

     

    Le premier espoir, c’est que cette crise s’avère finalement moins grave que prévu. Soit parce qu’on découvrira bientôt un traitement efficace, soit parce qu’un vaccin sera rapidement offert, soit parce que le printemps ralentira le virus, soit parce que les mesures de confinement précoce (notamment au Québec) porteront leurs fruits. On aura évité le pire.

    Le deuxième espoir, que cette pandémie et la destruction économique qu’elle engendre soient l’occasion de remettre le compteur à zéro et de bâtir un monde plus durable — moins effréné, plus solidaire, plus respectueux des limites de la planète. Il semble qu’il existe des précédents historiques pour ces grands virages.

     

    CROIRE ENCORE AU PRINTEMPS

     

    1.- Pour des mains qui se tendent être un espoir vivant.

    Pour des cœurs qui attendent être un soleil levant.

    Aller encore plus haut et toujours de l’avant.

    Non, ça n’est jamais trop, ni jamais suffisant.

     

    Refrain :

    CROIRE encore aux printemps,

    En nos commencements.

    CROIRE encore aux serments,

    En ta vie, en ton chant.

     

    2.- Pour ceux qui sont en marche être un sentier vivant.

    Car la seule démarche est d’aimer simplement.

    Aller encore plus haut et toujours de l’avant

    Non, ça n’est jamais trop ni jamais suffisant.

     

    3.- Devenir une étoile dans les yeux d’un enfant

    Devenir la “ grand voile ” pour chacun de tes vents.

    Aller encore plus haut et toujours de l’avant.

    Non, ça n’est jamais trop, ni jamais suffisant.

    07 -  CROIRE ENCORE AU PRINTEMPS

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA

    08 - LE TEMPS DES CERISES

    Paroles : Jean-Baptiste CLÉMENT

    Musique : Antoine RENARD

     

    Marcher c'est croire au TEMPS DES CERISES

     

    Comment une chanson d'amour, évoquant le "gai rossignol" et "le merle moqueur", est-elle devenue un chant révolutionnaire, emblème de la Commune, puis symbole de la résistance du peuple français? A première vue, Le Temps des cerises et ses paroles délicieusement surannées n'auraient jamais dû connaître un destin aussi exceptionnel. En réalité, ce n'est pas un hasard si cette romance a cristallisé tous les espoirs d'une nation. 

     

    La personnalité de son auteur, Jean-Baptiste Clément, a manifestement forgé la légende. Certes, il a composé sa ritournelle en 1866, cinq ans avant le soulèvement parisien, sans en soupçonner le moindre potentiel politique.  

     

    Mais ce militant socialiste, né en 1836, fut un communard acharné: condamné à l'âge de 30 ans pour avoir offensé l'Empereur, il s'exile en Belgique, revient, passe par la prison de Sainte-Pélagie, pour être libéré peu après la déchéance de Napoléon III. Installé sur la butte Montmartre, il est au premier rang de l'insurrection le 18 mars 1871 et le dernier à quitter les barricades le 28 mai. Moment d'exaltation où le poète prolixe - il a créé la comptine Dansons la capucine - écrit La Semaine sanglante et harangue les foules.  

     

    Et si Le Temps des cerises n'a jamais été chanté durant les deux mois de la Commune, le peuple se l'approprie au début des années 1880, peu après le retour de Clément de Londres (condamné à mort par contumace en 1874, il bénéficie de l'amnistie générale de 1880), et l'associe définitivement à cet événement crucial de l'histoire nationale. 

     

    Des cerises rouges comme le drapeau des insurgés

     

     

    1.- Quand nous chanterons le temps des cerises

    Et gai rossignol et merle moqueur

    Seront tous en fête

    Les belles auront la folie en tête

    Et les amoureux du soleil au coeur

    Quand nous chanterons le temps des cerises

    Sifflera bien mieux le merle moqueur.

     

    2.- Mais il est bien court le temps des cerises

    Où l'on s'en va deux cueillir en rêvant

    Des pendants d'oreilles

    Cerises d'amour aux robes pareilles

    Tombant sous la feuille en gouttes de sang

    Mais il est bien court le temps des cerises

    Pendants de corail qu'on cueille en rêvant.

     

    3.- Vous avez peur des chagrins d'amour

    Evitez les belles

    Moi qui ne crains pas les peines cruelles

    Je ne vivrai pas sans souffrir un jour

    Quand vous en serez au temps des cerises

    Vous aurez aussi des peines d'amour.

     

    4.- J'aimerai toujours le temps des cerises

    C'est de ce temps-là que je garde au coeur

    Une plaie ouverte

    Et Dame Fortune, en m'étant offerte

    Ne saura jamais calmer ma douleur

    J'aimerai toujours le temps des cerises

    Et le souvenir que je garde au cœur.

    08 - LE TEMPS DES CERISES

    Paroles : Jean-Baptiste CLÉMENT

    Musique : Antoine RENARD

    09 - MARSEILLE - MASSALIA  

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    Marcher sur les traces de l'histoire

     

    Marseille 2.600 ans d'histoire 

    Dès le paléolithique, les premières traces d’occupation humaine sont attestées dans les calanques marseillaises, au niveau de la grotte Cosquer dont les exceptionnelles peintures rupestres sont datées de 27 000 ans av. J.-C. La fondation de Marseille, à proprement parler, est un peu plus «récente», bien qu’elle remonte au VIe siècle av. J.-C..

    Ce qui en fait la doyenne des villes françaises.

     

    Massalia serait née de l’union d’une princesse autochtone, Gyptis, avec un navigateur venu de Phocée en Asie mineure, Protis, qui allait créer un comptoir grec sur les rives du Lacydon, notre actuel Vieux-Port. Cette rencontre portait déjà en germe les valeurs d’ouverture au monde qui demeurent, vingt-six siècles plus tard, la marque de la cité phocéenne.

     

    Par cette implantation, Massalia contribue à introduire en Gaule la culture de la vigne et de l’olivier, la monnaie et l’écriture. Elle s’impose d’ailleurs rapidement comme une place d’échanges influente entre l’espace méditerranéen et le monde celtique.

     

    Avec la fondation de l’abbaye de Saint-Victor par Jean Cassien, au Ve siècle, Marseille étend son rayonnement spirituel bien au-delà de la Provence. L’antiquité tardive constitue un nouvel âge d’or pour la ville.

    Lorsqu’elle est rattachée à la France, en 1481, Marseille s’impose comme l’une des premières villes du royaume par sa population et par son port qui constitue le principal débouché français sur la Méditerranée. Signe de la vitalité de son négoce, c’est d’ailleurs à Marseille qu’est créée la première Chambre de commerce du pays, en 1599.

     

    Rebelle à l’autorité royale, Marseille est soumise en 1660 par les troupes de Louis XIV.

    Le Roi Soleil fait construire de part et d’autre de la passe le fort Saint-Jean et la citadelle Saint-Nicolas dont les canons sont braqués sur la ville. Son autorité affirmée, il initie à partir de 1666 une importante opération d’urbanisme qui fait sortir Marseille de son rempart médiéval. La superficie de la ville est triplée avec la création du Cours, de l’arsenal des galères, d’un nouvel Hôtel de Ville, de l’hôpital général de la Charité confié à Pierre Puget…

    La peste de 1720, apportée par le « Grand Saint-Antoine », vient briser cet élan. La moitié de la population marseillaise est alors décimée par l’épidémie.

    Mais Marseille va une nouvelle fois rebondir. Elle trouve un nouvel élan économique dans l’ouverture aux mondes océaniques qui permet à ses grands négociants cultivés de prendre l’ascendant sur la noblesse locale.

     

    Acquise aux idéaux révolutionnaires, la ville lève un bataillon de fédérés qui « montent » à Paris, en juin 1792, afin de défendre la Révolution menacée. La reprise de leur chant de marche, initialement écrit par Rouget de l’Isle pour l’armée du Rhin, deviendra notre hymne national. 

     

    1.- C’est une ville antique avare de vestiges.

    Ici tout est précaire : ville sans monument,

    La Cité du PATCHWORK, ici rien ne se fige.

    MARSEILLE insaisissable défie encore le temps.

    Cette histoire d’amour et ce beau métissage.

    Idylle entre GYPTIS : marin grec et PROTIS.

    Semble encor’ s’murmurer le long de son rivage ... :

    MARSEILLE, la rebelle, MASSALIA, l’oasis.

     

    Refrain :

    Un ciel bleu, du soleil allez, vaï, c’est Marseille

    2 600 ans encore jeune avec ça ! Galéjades et fous rires

    Allez, vaï, c’est Marseille tiens tu me prends le cœur Marseille - Massalia.

     

    2.- Comme pour rassurer “ l’ESTRANGER de LUTÈCE ” :

    Là-haut, le FORT SAINT-JEAN domine le VIEUX PORT,

    Là-bas, le CHATEAU D’IF, où plane encore Dantès

    Et la VIERGE DORÉE,... et ici SAINT-VICTOR.

    Et on peut s’inventer un chemin de farniente,

    Dans les ruelles ocres, l’escalier du PANIER

    Dans cette BABEL d’OR aux mille et une teintes,

    Du Quartier de BELSUNCE à la BELLE DE MAI.

     

    3.- La MÉDITERANÉE grogne dans les CALANQUES

    Et le MISTRAL emporte du FRIOUL à CASSIS,

    Les cris d’vendeurs de POGNES et d’parties de PÉTANQUE,

    L’odeur de BOUILLABAISSE à l’heure du PASTIS.

    Les SCOTTO, les PAGNOL, les CÉSAR, les PANISSE

    Et encore aujourd’hui IMMIGRÉS... voyageurs...

    Gardent ce “ parler-vrai ” - la tchache sans malice

    MARSEILLE la rebelle a toujours eu du cœur.

     

    4.- Les filles d’aujourd’hui : PROTIS à la peau brune,

    GYPTIS de l’an 2000, casquettes renversées,

    Les TCHACHEURS du “ Stade Vel’ ” : les rappeurs, les sans tune,

    Faut se les “ EMPÉGUER ”, les MINOTS des CITÉS.

    Ne m’ont jamais fait rire, toutes ces “ GALÉJADES ”,

    Car j’aime trop MARSEILLE, même si e n’ai pas L’ACCENT ;

    J’avais à peine 11 ans (“ UN GARRI ” d’la CALADE),

    Que j’affirmais déjà : “ CH’SUIS MARSEILLAIS PUR SANG !

    09 - MARSEILLE - MASSALIA  

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    10 - JE REVIENS CHEZ NOUS

    Paroles et musique : Jean-Pierre FERLAND

     

    Marcher pour dire : " JE REVIENS CHEZ NOUS "

    Pour regagner l'endroit où l'on se trouvait 

     

    Il a neigé à Port-au-Prince

    Il pleut encore à Chamonix

    On traverse à gué la Garonne

    Le ciel est plein bleu à Paris

    Ma mie l'hiver est à l'envers

    Ne t'en retourne pas dehors

    Le monde est en chamaille

    On gèle au sud, on sue au nord

     

    Refrain :

    Fais du feu dans la cheminée

    Je reviens chez nous

    S'il fait du soleil à Paris

    Il en fait partout.

     

    La Seine a repris ses vingt berges

    Malgré les lourdes giboulées

    Si j'ai du frimas sur les lèvres

    C'est que je veille à ses côtés

    Ma mie j'ai le cœur à l'envers

    Le temps ravive le cerfeuil

    Je ne veux pas être tout seul

    Quand l'hiver tournera de l'œil

    Je rapporte avec mes bagages

    Un goût qui m'était étranger

    Moitié dompté, moitié sauvage

    C'est l'amour de mon potager

     

    Refrain :

    Fais du f

    eu dans la cheminée J

    e reviens chez nous

    S'il fait du soleil à Paris

    Il en fait partout

    Fais du feu dans la cheminée Je rentre chez moi

    Et si l'hiver est trop buté

    On hibernera

    10 - JE REVIENS CHEZ NOUS

    Paroles et musique : Jean-Pierre FERLAND

    11 - MÉFIE TOI DES SIRENES

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    Marcher en se MÉFIANT DES SIRÈNES

     

    Différentes manières de marcher

    Rappelons quelques expressions importantes des épîtres. Marcher en nouveauté de vie (Rom. 6:4) : la vie nouvelle se montre pratiquement par une marche nouvelle. Marcher par l’Esprit (Gal. 5:16) : c’est lui qui agit dans le croyant. Marcher dans l’amour, « comme aussi le Christ nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous » (Éph. 5:1, 2) : suivre de telles traces, c’est montrer la même compassion, le même esprit de sacrifice, le même dévouement complet. Marcher dans la vérité (3 Jean 4) : c’est montrer dans notre vie pratique que nous connaissons la vérité et que nous vivons en elle. Telle est l’atmosphère de notre sanctification, demandée par le Seigneur au Père (Jean 17:18). Marcher dans la lumière « comme lui est dans la lumière » : ainsi se goûte la communion des enfants de Dieu les uns avec les autres (1 Jean 1:7). Marcher dans la sagesse envers ceux de dehors, saisissant l’occasion (Col. 4:5) : le Saint Esprit peut nous donner le discernement nécessaire pour que notre parole soit « dans un esprit de grâce, assaisonnée de sel ».

     

    Nous pouvons aussi nous inspirer de l’exemple de ceux que la Parole distingue comme ayant marché avec Dieu, même si, à la différence du Modèle parfait, ils ont eu des défaillances. À Abraham, Dieu avait dit : « Marche devant ma face, et sois parfait » (Gen. 17:1) ; et plus tard, le patriarche peut dire en vérité : « L’Éternel, devant qui je marche, enverra son ange… » (Gen. 24:40).

     

    Hénoc est un exemple remarquable ; le récit de sa vie est bref, mais d’une grande valeur. Après qu’il eut engendré Metushélah, il marcha avec Dieu trois cents ans (Gen. 5:22). Savons-nous ce que c’est que de marcher avec Dieu un seul jour ? Le principe d’une marche comme celle d’Hénoc, c’est la foi. Elle se traduit par la dépendance, la piété, la séparation du mal, la sainteté. La relation maintenue avec Dieu permet de connaître ses pensées. Aucun détail n’est donné sur la marche d’Hénoc ni sur son enlèvement. Mais le témoignage lui est rendu qu’avant d’être enlevé, il a « plu à Dieu » (Héb. 11:5). Comme Élie, le ciel le réclame, et il est un type de ceux qui seront enlevés sans passer par la mort, à la venue de Christ. Son nom signifie « instruit ». Dieu l’a enseigné, lui a donné une vision de l’avenir, de ce moment où le Seigneur viendra au milieu de ses saintes myriades (Jude 14, 15). Et cette révélation l’a maintenu séparé au milieu de ceux qui allaient connaître le jugement. Tout ce que Dieu nous révèle par sa Parole a-t-il la même action sanctifiante sur nos vies ? Que sa gloire ait du prix pour nos cœurs (2 Thess. 1:10) !

     

     

    « Qu’est-ce que l’Éternel recherche de ta part, sinon que tu fasses ce qui est droit, que tu aimes la bonté, et que tu marches humblement avec ton Dieu ? » (Mich. 6:8).

     

     

    1.- Méfie-toi des sirènes qui chantent un peu partout

    Méfie-toi de la haine ; elle nous met à genoux

    De tous ces anathèmes dans ce monde un peu fou.

    Méfie-toi de toi-même, cet étrange jaloux.

     

    Refrain :

    Envole-toi là-haut Jusqu’au bout de tes rêves

    Vers ce monde plus beau Seul l’amour nous élève

    Envole-toi là-haut.

     

    2.- Méfie-toi de ces chaînes que l’on met à son cou

    Méfie-toi de tes peines : ne rend jamais les coups

    Invente des : “Je t’aime ”, affiche-les partout

    “Va toujours vers toi-même ! ” Surtout va jusqu’au bout !

     

    3.- “Les faces de carême ”, faut les fuir à mon goût.

    Tolérance quand même, c’est là le vrai atout.

     

    Avec seul théorème : “Bienheureux les cœurs doux ”

    Va où ton cœur t’emmène, vers ce qui chante en nous.

    11 - MÉFIE TOI DES SIRENES

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    12   - SAINT VINCENT DE PAUL

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    Marcher à la suite de  SAINT VINCENT DE PAUL

     

    Saint Vincent de Paul a profondément marqué de son empreinte la France du XVIIème siècle. Sa vie est toute donnée au service de la charité et du salut des âmes des pauvres. Et son oeuvre ne cesse de s’étendre aujourd’hui encore.

     

    St Vincent de Paul

    Le grand saint Vincent de Paul naît dans une famille de paysans des Landes. C’est le 24 avril 1581 qu’il voit le jour, dans le village de Pouy, près de Dax. Ses parents sont pauvres sans être misérables. L’enfant est intelligent : son père le pousse à faire des études et l'envoie au collège de Dax. Puis Vincent est orienté vers la prêtrise. A cette époque, être clerc c’est avoir une situation qui le met, lui et ses proches, à l'abri du besoin. A quinze ans, il part donc pour Toulouse étudier la théologie. Il est ordonné prêtre à dix-neuf ans, à Château-l’Évêque, le 23 septembre 1600, par Mgr de Bourdeilles, évêque de Périgueux.

    Commence alors pour Vincent une longue période de flottement et de maturation. Prêtre, âgé d'à peine vingt ans, il n'a pas encore trouvé sa véritable vocation. Il part sans succès à la recherche d'un bénéfice ecclésiastique, notamment à Bordeaux, puis à Rome. Au cours d'un voyage, il est enlevé par des pirates turcs et réduit en esclavage à Tunis pendant deux ans.

    Il monte à Paris en 1608 et devient ami avec le secrétaire de l'ancienne reine, Marguerite de Valois. Celle-ci le nomme aumônier, chargé de distribuer ses libéralités. Il visite alors les pauvres malades de l'hôpital de la Charité et parcourt les salles où s'entassent les malheureux. Comment ne pas être alors choqué par le scandale de la pauvreté, quand la plupart des Parisiens vivent dans des lieux sordides, dépourvus de la moindre hygiène ?

     

    Rencontre avec les grands spirituels français

    Vers 1610, il rencontre Pierre de Bérulle qui fondera, l'année suivante, la congrégation de l'Oratoire de France. Vincent le prend comme conseiller spirituel. Il se familiarise avec le mouvement de spiritualité qu'on appellera plus tard l'École Française de Spiritualité, qui marque si profondément la France religieuse du XVIIème siècle. Il y rencontre François de Sales.

    Vincent traverse à cette période une profonde crise intérieure de doutes contre la foi. Il partage durant quelques mois la vie et les exercices de l’Oratoire. Bérulle l’invite à prendre une cure de campagne proche de Paris, à Clichy. Le jeune prêtre restaure l'église en mauvais état et se met avec enthousiasme au service spirituel de ses fidèles, visite les malades, prêche avec ardeur et cherche à rendre la foi à ses six cents paroissiens ruraux. L'année suivante, Bérulle lui procure la charge de précepteur chez Philippe-Emmanuel de Gondi, Général des galères, l'une des plus riches familles de France. Outre ses obligations dans la famille, Vincent se met à évangéliser les populations de leurs fiefs.

     

    Quand tout bascule

    1617 est l'année où tout va basculer dans sa vie. Un jour de janvier, alors que Vincent accompagne madame de Gondi au château de Folleville, en Picardie, arrive la nouvelle qu’un paysan moribond désire le voir. Vincent accourt immédiatement au chevet du malade et lui fait faire une confession générale qui libère cet homme des fautes les plus graves de sa vie qu’il n’avait jamais avouées. Pour Vincent, c'est une révélation : il découvre la misère spirituelle des gens de la campagne qui représentent l'immense majorité de la population. Madame de Gondi constate et s'interroge : "Que d’âmes se perdent ! Quel remède à cela ?". À Folleville, près d'Amiens, Vincent prêche sur la confession générale et y invite les fidèles. L'affluence est telle qu'il faut appeler d'autres prêtres à la rescousse.

    En juillet, il se retrouve dans les Dombes, à Châtillon, comme curé. Là, c'est la misère corporelle des pauvres et le peu d'organisation des secours qu'il découvre. Pour y remédier, il crée la première Confrérie de la Charité, avec des dames de diverses conditions sociales. De retour chez les Gondi, il va désormais s'adonner entièrement aux missions populaires. Son projet de service corporel et spirituel des "pauvres gens des champs" va remplir toute sa vie.

    En 1619, Monsieur Vincent est chargé de l'aumônerie générale des galères : les missions se feront aussi dans les bagnes ! Mais il n'a que des coopérateurs occasionnels et un homme seul ne peut suffire à la tâche. Le projet d'une association plus stable germe peu à peu. En 1625, grâce à la fortune des Gondi, il crée une société de prêtres missionnairesdont il sera le supérieur. Le but est simple : "Suivre le Christ évangélisateur des pauvres".

    La Congrégation de la Mission sera approuvée par l'archevêque de Paris en 1626 et par Rome en 1633. Comme ils sont installés depuis 1632 dans l'ancienne léproserie de Saint-Lazare, on appellera ces premiers missionnaires les lazaristes. La simplicité, l'humilité, la douceur, la mortification et le zèle sont, pour Vincent de Paul, les vertus principales de ces missionnaires : "Les cinq belles petites pierres avec lesquelles on peut vaincre l'infernal Goliath."`

     

    Au secours du clergé français

    En juillet 1628, la préoccupation de l’évêque de Beauvais face à l'ignorance des prêtres le pousse à inviter Monsieur Vincent à réfléchir au meilleur moyen de régénérer le clergé de France. Il inaugure des retraites d'ordinands pour préparer les futurs prêtres à recevoir les ordres. En 1633, il met sur pied les Conférences des mardis, destinées aux prêtres souhaitant "s'entretenir des vertus et des fonctions de leur état". "Quand attentifs, nous l'écoutions parler dans quelque conférence, nous sentions s'accomplir en lui ce mot de l'apôtre : si quelqu'un parle, que ses paroles soient comme des paroles de Dieu", témoigne Bossuet.

    En 1641, Monsieur Vincent ouvre un grand séminaire à Annecy, sensiblement en même temps que la fondation de la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice par Jean-Jacques Olier. Pour Vincent, le prêtre a pour mission non pas de rappeler au peuple les pratiques de la religion, mais plutôt de les inviter à persévérer dans la fidélité à leurs devoirs.

    Entre temps, grâce aux missions, les Confréries de la Charité se sont multipliées. Pour aider les Dames dans le service corporel des pauvres, de simples "filles de village" se sont présentées. Louise de Marillac les regroupe en novembre 1633 ; ce seront les Filles de la Charité (appelées aussi soeurs de Saint-Vincent-de-Paul).

    À partir de 1632, les guerres dévastent les provinces, la Lorraine d'abord, puis l'Ile-de-France, la Picardie, la Champagne. Monsieur Vincent y organise inlassablement les secours. Dès 1639, il recueille les enfants trouvés – un par jour en moyenne –, crée un foyer pour les mendiants et un autre pour les vieillards. Il se lance dans des fondations en Irlande et en Pologne. Les terres non chrétiennes l'appellent : l'Afrique du Nord, puis Madagascar. La reine Anne d’Autriche l’appelle au Conseil de Conscience qui nomme évêques et abbés.

    L'oeuvre de Vincent de Paul s'est construite sans plan d’ensemble, sans illumination miraculeuse. Travaillant passionnément à partir des réalités qui s’imposent à lui, toujours en lien avec d’autres, hommes et femmes, il cherche simplement à répondre aux besoins de son temps, notamment dans deux secteurs décisifs pour tout l’apostolat de l’Église : les pauvres et le clergé.

     

    Refrain :

    Comme un grand feu

    Qui chante et danse et nous éclaire,

    Un feu vivant,

    Un feu puissant,

    Comme un grand feu,

    Une espérance qui libère.

    Il est présent

    Monsieur Vincent

    Il est présent

    Monsieur Vincent ...

     

    1.- Il est présent dans notre monde

    Lorsque la charité abonde,

    Dans tous les gestes généreux

    Bienheureux les cœurs audacieux.

     

    2.- Il est présent et il s’immisce

    Dans les démarches de justice,

    Là où l’on donne sans retour

    Bienheureux, les cœurs pleins d’amour.

     

     

    3.- Il est présent dans notre zèle

    Pour une SOCIÉTÉ plus belle,

    Pour DESSINER un arc-en-ciel

    Bienheureux les cœurs fraternels.

    12   - SAINT VINCENT DE PAUL

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    13 - SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT JÉSUS - MA JOIE 

    Paroles :  Ste Thérèse de l'Enfant Jésus

    Musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

     Marcher à la manière de  SAINT THÉRÈSE DE L'ENFANT JÉSUS

     

    Thérèse de Lisieux, docteur de l'Église (+1897)

    Sainte Thérèse de l'enfant Jésus, Martin est la cinquième et dernière fille d'une famille chrétienne où elle grandit "entourée d'amour". Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et la quintette de ses filles s'installent alors à Lisieux pour se rapprocher d'une partie de sa famille. 

    Deuxième drame qui ébranle Thérèse enfant: sa sœur Pauline puis sa sœur Marie, qu'elle avait choisies successivement comme "petite mère" entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s'élance, dans "une course de géant", vers le Dieu-Amour qui l'a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu'à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d'entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888. 

    Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa "petite voie" d'abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s'offre à l'amour miséricordieux de Dieu. 

    Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle s'est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie pour le salut des pécheurs qui n'ont pas la foi.

     

    Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre "une pluie de roses'" et de passer son ciel à faire du bien sur la terre. 

    Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant et les  témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère, si nombreux que le Pape parle d'un "ouragan de gloire". Proclamée patronne des missions de l'Église universelle et docteur de l'Église en 1997.

     

     

    1.- Il est des âmes sur la terre

    Qui cherchent en vain le bonheur

    Mais pour moi, c’est tout le contraire

    La joie se trouve dans mon cœur

    Cette joie n’est pas éphémère

    Je la possède sans retour.

    Refrain (Bis) :

    Comme une rose printanière,

    Elle me sourit chaque jour,

    Elle me sourit chaque jour.

     

    2.- Vraiment je suis bien trop heureuse,

    Je fais toujours SA volonté...

    Pourrais-je n’être pas joyeuse

    Et ne pas montrer ma gaîté ?..

    Ma joie, c’est d’aimer la souffrance,

    Je souris en versant des pleurs.

    Refrain (Bis) :

    J’accepte avec reconnaissance,

    Les épines mêlées aux fleurs,

    Les épines mêlées aux fleurs.

     

    3.- Lorsque le Ciel bleu devient sombre

    Et qu’il semble me délaisser,

    Ma joie, c’est de rester dans l’ombre

    De me cacher, de m’abaisser.

    Ma joie, c’est la Volonté Sainte

    De Jésus mon unique amour.

    Refrain (Bis) :

     

    Ainsi je vis sans nulle crainte,

    J’aime autant la nuit que le jour,

    J’aime autant la nuit que le jour.

    13 - SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT JÉSUS - MA JOIE 

    Paroles :  Ste Thérèse de l'Enfant Jésus

    Musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    14 - DEVANT TOI MON DIEU

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

     Marcher avec TOI MON DIEU

     

    Être un "juste" devant Dieu.  

    La justice, c'est la droiture, l'impartialité, l'honnêteté.

     

    Être juste, c'est  marcher fidèlement en suivant les commandements et les préceptes du Seigneur est important. Mais ce n’est pas le plus important.

    Lorsque nous prétendons être juste tout en méprisant les autres nous ne savons  pas vraiment ce que signifie la justice pour Dieu et pour Jésus.

     

     La prière ça n'est pas se tourner vers soi-même mais, se tourner vers Dieu en qui nous mettons toute notre confiance. 

     

    La prière est un appel au secours. C'est se reconnaître pécheur et invoquer la "miséricorde de Dieu".

     

    Le fait d’être sauvé ne provient pas de ce que nous faisons, mais bien plutôt de ce que nous laissons Dieu faire en nous.

     

    Jésus rappelle qu’il ne s’agit pas de se montrer juste devant Dieu mais de permettre à Dieu de faire de nous des justes en son Fils Jésus: le Juste par excellence.

     

    « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde! » 

     

    Refrain :

    “ Devant toi ”, mon Dieu,

    Tout simplement en Ta présence.

    “ Avec Toi ”, mon Dieu,

    Et demeurer dans la confiance.

     

    1.- Sur Tes pas, mon Dieu,

    Ton Esprit Saint peut me conduire

    C’est mon choix, mon Dieu,

    Pour TÉMOIGNER, je veux Te suivre.

     

    2.- Sur Tes pas, mon Dieu,

    L’Esprit d’Amour nous fait revivre.

    C’est mon choix, mon Dieu,

    Pour PARTAGER, je veux Te suivre.

     

    3.- Sur Tes pas mon Dieu,

    L’Esprit de Feu, seul nous rend libre.

    Garde- moi, mon Dieu, 

    Pour T’ANNONCER, je veux Te suivre.

    14 - DEVANT TOI MON DIEU

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

    15 - VOUS NOTRE DAME DE LA PRIÈRE

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

     

    Marcher avec NOTRE DAME DE LA PRIÈRE

     

    Ô Notre-Dame,

    nous nous confions en vous,

    en votre obédience bénie

    et en votre garde très spéciale.

    Aujourd’hui et chaque jour

    nous vous confions nos âmes et nos corps ;

    nous vous confions tout notre espoir

    et toute notre consolation ;

    toutes nos angoisses et nos misères ;

    notre vie et la fin de notre vie,

    pour que par votre très sainte intercession

    et par vos mérites,

    toutes nos actions soient dirigées et disposées

    selon votre volonté

    et celle de votre Fils. Amen.

    (Prière composée par le Père Lucien-Marie, à partir d’une prière latine « Ô Domina nostra ». Le terme « obédience » vient du verbe latin « obedire » qui signifie « obéir ».

    Se confier en l’obédience de la Vierge Marie signifie se mettre sous sa direction, avec une obéissance confiante.)

     

     

    Refrain :

    Vous, notre Dame de la prière

    De la rencontre, de l’Essentiel,

    Vous, notre Dame de la Lumière,

    Des lumignons et du soleil.

     

    1.- Je vous salue, au Nom du Père,

    Pour adorer la Trinité.

    Un chapelet et un rosaire,

    Pour contempler Dieu de Bonté.

     

    2.- Je vous salue, je vous espère

    Mère de Dieu, pour cheminer.

    Pour méditer les Saints Mystères.

    Et supplier Dieu de Bonté.

     

    3.- Je vous salue, et gloire au Père !

    Pour discerner l’Éternité.

    Devenir ‘signe’ pour nos frères.

    Et annoncer Dieu de bonté.

     

    Vous, notre Dame de la prière

    De la rencontre, de l’Essentiel,

    Vous, notre Dame de la Lumière,

    Des lumignons et du soleil.

    Vous, notre Dame de la prière.

    15 - VOUS NOTRE DAME DE LA PRIÈRE

    Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA 

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