RÉSISTER - 2011
Année 2011 -
Cd épuisé
Orchestrations :
Christian BROGNIART
Choeurs : Floriane - Christian -
Pianiste : Stéphane SIGNORET
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01 - ENVIE DE VIVRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - C'EST UNE CHOSE ÉTRANGE
Paroles : Louis ARAGON
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Le confinement nous a rappelé notre finitude. Il a été le moyen de se rapprocher de l’Essentiel.
La mort est le terme naturel de la vie terrestre même si elle peut paraître injuste. Pour les proches, c’est une rupture douloureuse, parfois tragique. Face à la mort, il est difficile de s’exprimer. Devant le désespoir, on se sent toujours petit.
Nous n’avons pas nous même l’expérience de la mort, la seule expérience que nous avons de la mort, c’est celle qui consiste à faire un bout de chemin avec celle ou celui qui va mourir.
Le Christ s’est peu exprimé sur la vie après la mort physique. Il a simplement affirmé que la Vie qu’Il donnait, Lui, c’est-à-dire la Vie Éternelle, n’était pas altérée par la mort.
Nous croyons, nous, chrétiens, qu’après la mort, ils sont vivants avec Dieu pour toujours. Notre corps n’existe plus, mais grâce à Jésus Christ, mort et ressuscité, nous passons nous aussi de la mort à la vie avec Dieu. Il est le chemin qui mène au Père.
Le deuil accompagne la mort, chacun de nous le rencontre sur son chemin, un jour ou l’autre. Il touche notre être tout entier à cause du lien personnel avec la personne décédée.
Ce lien a été rompu, on éprouve le vide et l’absence et il va falloir apprendre à vivre autrement. Chaque personne fait son chemin de deuil à sa manière.
Dans un premier temps, faire le deuil, c’est se confronter avec le choc, prendre conscience de la réalité du « plus jamais ». Il faut vivre l’abandon, la perte.
Faire le deuil, ce n’est pas oublier la personne disparue, mais accepter un processus naturel qui se met en marche, c’est aussi se donner des balises. Le travail de deuil se fait lentement, il est de notre responsabilité, car personne ne pourra le faire à notre place.
Aider quelqu’un à faire son deuil, ce n’est ni minimiser, ni vouloir atténuer ses souffrances, mais c’est l’aider à les exprimer et petit à petit à les accepter.
Le travail de deuil comporte une dimension spirituelle. La personne endeuillée dit à Dieu l’épreuve qu’elle traverse, exprime ses questions, ses incompréhensions, sa colère et lui demande la force de l’Esprit pour continuer la route et retrouver la paix.
Refrain
C’est une chose étrange, à la fin, que le monde.
Un jour je m’en irai Sans en avoir tout dit :
Ces moments de bonheur Ces midis d’incendie,
La nuit immense et noire Aux déchirures blondes.
1.- Rien n’est si précieux peut-être qu’on le croit, D’autres viennent, ils ont le cœur que j’ai moi-même, Ils savent toucher l’herbe et dire : "je vous aime"
Et rêver dans le soir où s’éteignent des voix.
2.- Il y aura toujours un couple frémissant
Pour qui ce matin-là sera l’aube première
Il y aura toujours l’eau, le vent, la lumière. Rien ne passe après tout si ce n’est le passant.
3.- C’est une chose au fond
Que je ne puis comprendre
Cette peur de mourir que les gens ont en eux, Comme si ce n’était pas assez merveilleux Que le ciel un moment nous ait paru si tendre.
4.- Malgré tout, je vous dis que cette vie fut telle Qu’à qui voudra m’entendre à qui je parle ici. N’ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci Je dirai, malgré tout, que cette vie fut belle.
LOUIS ARAGON
On croirait entendre un auteur du XVIIème avec le choix de « chose » et de l’expression « à la fin » ainsi que par la construction « c’est…que », construction qui a en outre l’avantage de placer « monde » à la rime.
C’est au soir de sa vie que l’homme se sent proche du départ mais la seconde partie du vers amène une idée personnelle puisqu’il fait cette terrible soustraction des illusions de jeunesse avec le terme « sans » dans « sans en avoir tout dit ».
Ce passant, ce personnage insignifiant que l’on ne cherche même pas à connaître, à rencontrer, dont on ne se souvient pas, c’est chacun de nous bien sûr.
Oui, on nous donne la vie et puis on nous l’enlève mais sachons rendre grâce pour ce cadeau.
03 - JE N'AI QUE MON ÂME
Paroles et musique : J. KAPLER
04 - C'EST POUR TOI (Alzheimer)
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - LA PROMESSE
Paroles et musique : GRÉGOIRE et Jean-Jacques GOLDMANN
06 - UN ARC-EN-CIEL
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - LES PORTES DU PÉNITENCIER
Paroles et musique : Alan PRICE - Vine BUGGY
08 - J'AI DÉCOUVERT L'AFRIQUE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - LES COULEURS DE TON COEUR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - CAR VOICI DÉSORMAIS
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La piété mariale est souvent associée à un culte sentimental et populaire, réservé aux enfants, aux ignorants ou aux croyants d'un autre âge. Or une authentique piété mariale transporte au cœur de la foi chrétienne, de telle sorte qu'il devient impossible de dissocier Marie de l'action de la Trinité en faveur des hommes.
Quel catholique n’a jamais vu un autre chrétien s’étonner de la place qu’il réserve dans sa vie et sa prière à la Mère de Jésus, voire lui reprocher de rendre un culte trop ostentatoire à la Vierge Marie ? Il arrive même que cette critique émane parfois d’un catholique ! En pareil cas, que répondre afin de justifier notre piété mariale ?
Ne jamais séparer la Vierge Marie de la Trinité et de la Rédemption
En la matière, il ne suffit pas de mettre en avant les débordements de notre affection pour la Mère de Dieu. Sinon, on pourra toujours nous objecter que notre zèle marial porte l’empreinte d’un complexe œdipien, d’une fixation sur l’amour maternel (qui nous a manqué, ou bien que nous regrettons), et accuser ainsi notre piété de résulter davantage de notre affectivité que d’un ancrage dans l’objectivité de la foi. Rendre raison de la place de Marie dans l’ensemble organique de la foi, demande de cultiver une vue d’ensemble des divers articles du Credo. Sans doute tout le monde n’est-il pas appelé à être théologien. Mais si on nous presse un jour de justifier notre amour pour la Vierge et la grande place que nous lui accordons, il sera difficile de ne pas mentionner les liens entre Marie et les trois mystères majeurs de la foi : la Trinité, l’Incarnation et la Rédemption.
La Vierge au cœur du dispositif de la Rédemption
On reconnaît en effet une authentique piété mariale au fait qu’elle nous transporte au cœur de la foi chrétienne, de telle sorte qu’il devient impossible de dissocier Marie de l’action de la Trinité en faveur des hommes. La Vierge reste toute relative à Dieu. Sa mission et sa maternité spirituelle n’ont pas pour but d’arrêter les regards sur sa personne, mais de les reporter sur la Trinité, source et terme du salut.
Ainsi replacé dans le cadre trinitaire, notre amour pour la Vierge met en valeur les harmoniques, ainsi que l’architectonique, du plan de salut dans lequel s’insère la personne de la Vierge. Dans les gloires de Marie, tout tourne à la gloire de Dieu. Nul ne le sait davantage que l’humble servante de Nazareth.
11 - DEUS CARITAS ET AMOR
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Encyclique
Deus Caritas est du souverain pontife Benoît XVI
«Dieu est amour : celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu en lui» (1 Jn 4, 16). Ces paroles de la Première Lettre de saint Jean expriment avec une particulière clarté ce qui fait le centre de la foi chrétienne: l’image chrétienne de Dieu, ainsi que l'image de l'homme et de son chemin, qui en découle. De plus, dans ce même verset, Jean nous offre pour ainsi dire une formule synthétique de l’existence chrétienne : «Nous avons reconnu et nous avons cru que l’amour de Dieu est parmi nous».
Refrain :
Deus caritas est... Dieu est Amour !
Deux caritas est... Notre secours !
1.- Dieu a tant aimé le monde
Qu’il lui a donné son Fils :
"Tout homme qui croit en Lui
Obtient la vie Éternelle"
2.- Disponibles à tous nos frères
Chaque jour et mieux servir.
"Sans réserve et sans retard,
Sans retour et par amour"
3.- Dieu a tant aimé le monde
Qu’il lui a donné son Fils :
"Tout homme qui croit en Lui
Obtient la vie Éternelle"
12 - MON DIEU MON ÂME A SOIF DE TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
13 - "SI" - SI TU PEUX VOIR DÉTRUIT
Paroles : Rudyard KIPLING
Musique : Jean-Claude GIANADDA
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