AIMER
anagramme de
MARIE
- Année 2006 -
Cd épuisé (SB 13004-17)
AIMER anagramme de MARIE
Marie intercède pour nous parce que,
en elle, le Fils de Dieu est venu nous sauver.
Marie est associée par le Saint Esprit qui repose sur elle, associée par sa foi à toute la vie du Seigneur,
la Vierge Marie est devenue aussi, au pied de la croix (Jean 19, 25-27), la Mère de tous les hommes sauvés par le Seigneur.
Marie intercède parce qu’elle est la Mère de Dieu et la Mère des hommes, notre mère à chacun de nous. Son intercession est maternelle. Les chrétiens sont attachés à elle à cause de l’Amour Maternel qu’ils ressentent.
Qu’ils soient saints ou pécheurs, tous se tournent vers elle. La raison de cet élan est un attachement de fils vis-à-vis de leur mère. Plus précisément, dans la foi, les chrétiens croient à cette présence unique de leur mère auprès du Sauveur, auprès de la source de toutes les grâces. « Ils croient… »
Très souvent, cette foi
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La vente de ce Cd a permis d'aider :
- Père Pedro : Akamasoa-Tananarive-Madagascar
- Oeuvre de Ihousy tenue par les Soeurs de N.D de la Salette Madagascar
Orientation catéchétique :
14 chansons pour Célérations Mariales
« Sur Marie, on n'en fait jamais assez ».(Saint Bernard,)
Pourquoi prier Marie,
puisque Jésus nous dit que pour aller vers le Père
il faut passer par Lui, Il est le seul chemin.
Réponse:- Que nous enseigne la Vierge Marie ? La Vierge Marie nous enseigne à nous tourner vers Jésus: seul chemin pour aller à DieuNotre Père
La piété mariale est souvent associée à un culte sentimental et populaire,
réservé aux enfants, aux ignorants ou aux croyants d'un autre âge.
Or, une authentique piété mariale transporte au cœur de la foi chrétienne,
de telle sorte qu'il devient impossible de dissocier Marie
de l'action de la Trinité en faveur des hommes.
Modèle :
- Marie est avant tout celle qui, parce qu'elle a répondu la première à l'Amour total de Dieu, nous guide à faire de même.
- Figure discrète et silencieuse de l'Évangile, la Vierge Marie est d'abord Celle qui conduit à Jésus.
« À Jésus par Marie » Saint Louis Marie Grignions de Montfort.
- Le Nouveau Testament parle peu de Marie. Néanmoins, nous avons assez d’indications pour la connaître, découvrir son attitude profonde de disciple de Jésus, son fils, Fils de Dieu. C’est là le meilleur d’elle-même qui transparaît et éclaire notre foi de Chrétiens
- La Vierge Marie est à la fois l’Épouse du Saint-Esprit et la Mère du Fils de Dieu, la Fille de Dieu le Père..
Médiatrice
Aux Noces de Cana, Marie dit aux serviteurs :
« Faites tout ce que mon Fils Jésus vous dira..» (St Jn : 2:1)
Mère des hommes et Mère de l'Église
Jean, l’évangéliste relate une des dernières paroles de Jésus :
« Femme, voici ton fils ». Jésus confie l’apôtre Jean à sa mère.
Puis Jésus confie Marie à son disciple : « Voici ta mère » (Jean 19, 25-27)
Dévotion à Marie
Il semble bien que la dévotion à Marie est née dès les origines du christianisme, nourrie par le texte apocryphe Protévangile de Jacques plus que par les textes peu nombreux du Nouveau Testament. Mais le culte plus officiel rendu à Marie s’est développé surtout à partir du VIe siècle, à la fois dans les églises d’Orient et d’Occident.
L'Histoire de l'Église
Ma Foi de chrétien, s'inscrit dans la longue histoire des 21siècles de l'Histoire de l'Église .
=> Le Concile œcuménique de Nicée, de 325,
a posé les fondements :
- Jésus « Fils de Dieu » « fait homme ».
=> Le Concile d’Éphèse de 431
ré-affirme le terme grec « Théotokos » : « Mère de Dieu » :
« L’Emmanuel est Dieu en vérité et, pour cette raison la Sainte Vierge est Mère de Dieu.. »
Refuser le titre « Mère de Dieu » à Marie, ce n’est pas diminuer le statut de Marie, mais celui de Jésus.
C’est refuser la nature divine à l’homme Jésus, c’est refuser l’union des natures divine et humaine
en l’unique personne du Christ.
La première raison, qui suffit à elle seule à justifier le terme théotokos, c’est le témoignage de l’Écriture sur la divinité de Jésus.
Selon la Bible, l’enfant né des entrailles de Marie est bel et bien Dieu le Fils.
=> Le concile de Chalcédoine 451
confirme ce titre marial et son fondement christologique en confessant
« un seul et même Fils, Notre Seigneur Jésus-Christ, engendré du Père avant tous les siècles selon la divinité, et, le même, de la Vierge Marie, Mère de Dieu, dans les derniers jours
et pour notre salut, selon l’humanité ».
La Trinité et la Rédemption.
On ne peut pas séparer la Vierge Marie de la Trinité et de la Rédemption.
L’ange Gabriel annonce que cet enfant sera appelé « Fils du Très-Haut » (Lc 1.32) et « Fils de Dieu » (Lc 1.35). C’est lui l’Emmanuel, le Dieu-avec-nous prophétisé en Ésaïe 7.14 (voir Mt 1.23). Refuser le titre « Mère de Dieu » à Marie, ce n’est pas diminuer le statut de Marie, mais celui de Jésus. C’est refuser la nature divine à l’homme Jésus, refuser l’union des natures divine et humaine en l’unique personne du Christ
La Rédemption : Jean-Paul II nous explique que « Mère du rédempteur » consiste à faire de Marie une associée à l’œuvre du Christ, du fait que Marie eût accepté dans la foi de répondre à la demande de l’Ange, à l’Annonciation : « Le premier moment de la soumission à l’unique médiation “entre Dieu et les hommes” — celle de Jésus-Christ — est l’acceptation de la maternité de la part de la Vierge de Nazareth.
La Trinité Là où se trouve la Vierge Marie il y a le Christ; et là où se trouve le Christ il y a son Esprit Saint, qui procède du Père et de Lui-même dans le Saint Mystère de la Vie Trinitaire.
La Vierge Marie intercède pour nous parce que, en elle, le Fils de Dieu est venu nous sauver.
Marie est associée par le Saint Esprit qui repose sur elle, associée par sa foi à toute la vie du Seigneur,
la Vierge Marie est devenue aussi, au pied de la croix (Jean 19, 25-27),
la Mère de tous les hommes sauvés par le Seigneur.
La Vierge Marie intercède parce qu’elle est la Mère de Dieu et la Mère des hommes, notre mère à chacun de nous.
Son intercession est maternelle. Les chrétiens sont attachés à elle à cause de l’Amour Maternel qu’ils ressentent.
les deux dogmes : Immaculée conception et Assomption
L’Église catholique confirma sa pensée sur Marie à travers les dogmes de:
=> Dogme de l’Immaculée Conception :1854 - Pape Pie IX,
Le fait que Marie a été conçue exempte de tout pêché originel. Mais cette croyance existait déjà chez certains Pères de l'Église au IV e siècle. dont il n’existe cependant pas trace dans la Bible.
=> Dogme de l’Assomption: 1950 - Pape Pie XII.
Le dogme de l'Assomption ( du latin assumere signifie prendre, enlever), a été promulgué le 1er novembre 1950 par le Pape Pie XII.
L’Assomption de Marie est un dogme de l’Église catholique, c’est-à-dire un moyen de cheminer vers Dieu selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus a été « élevée au ciel ».
Avant d’être un dogme, l’Assomption de Marie était une croyance reposant sur des traditions et non sur des bases scripturaires reconnues des premiers temps de l’Église. D’une tradition enseignée par la liturgie et professée par les Pères et Docteurs des premiers siècles (dès saint Ephrem au IVème siècle), et paisiblement continuée durant l’histoire de l’Eglise, l’Assomption devint donc dès lors un dogme de foi que doivent tenir les catholiques.
Le mot assomption vient Marie fut ainsi « enlevée au ciel » en corps et en âme.
L’utilisation de ce mot marque la différence avec la fête de l’Ascension, qui signifie monter,
et qui se rapporte à l’élévation du Christ vers le ciel.
N.B:
Lorsque l'on chante,
l’important ne se situe pas seulement dans les mots,
mais dans la sincérité de notre cœur à chanter et à espérer.
01 -MAGNIFICAT, L'ÉTERNEL CHANTE DANS NOS VIES
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Magnificat - Lc 1, 46-55
n'est pas une prière à Marie mais il s'agit d'un chant de Marie à son Seigneur : " Le Puissant fit pour moi des merveilles Saint est Son Nom"
" Ce Magnificat est la prière d’action de grâce de Marie qui a cru en la Parole de Dieu. Même si sa situation humaine est angoissante, elle peut louer Dieu pour sa miséricorde infinie, son « amour qui s’étend d’âge en âge » et reconnaître qu’il entend l’appel des pauvres et des petits. « Le Seigneur fit pour moi des merveilles ! Saint est son nom ! » Avec la Vierge Marie nous apprenons la louange et l’action de grâce, nous devenons disciples et nous ouvrons notre cœur au Seigneur. Soyons heureux de la prier et d’apprendre par elle à prier Dieu notre Père. (Bernard Ginoux - Évêque de Montauban )
Le Magnificat nous fait contempler en Marie la réalisation parfaite de la pauvreté évangélique
Ce Magnificat célèbre la miséricorde divine qui, grâce au Fiat de Marie, commence à introduire la nouvelle alliance par laquelle vont s’accomplir les promesses faites dans l’ancienne alliance à Israël,
à Abraham et à sa descendance.
Comme toute la liturgie est l’acte de la communauté chrétienne qui se laisse « agir » par son Dieu, on comprend que le Magnificat ait une place privilégiée dans la liturgie des Heures : il est, chaque jour, le cœur de l’office de Vêpres ; on le chante debout, après s’être signé, pendant que le célébrant encense l’autel, quand il y a lieu de le faire.
Le Magnificat est le cantique chanté par la Vierge Marie après l'Annonciation, lors de la visite qu'elle rend à sa cousine Élisabeth, plus âgée qu'elle et enceinte. ...
Également intitulé Cantique de Marie, ainsi que Cantique de la Vierge,
le Magnificat est tiré de l'Évangile
de Luc, 1, 46-56
Le Magnificat est le chant d'action de grâce de Marie, en réponse à la salutation d'Élisabeth, sa cousine, rapporté par l'évangile de Luc, est le plus beau des cantiques bibliques. Déjà en usage dans la communauté primitive de Jérusalem, il y a deux mille ans, il fut longtemps un des chants les plus populaires de la liturgie chrétienne. Pourtant, la majorité des exégètes ne l'attribuent plus à Marie aujourd'hui...
Nous avons des raisons très sérieuses d'attribuer ces mots à la Mère de Jésus elle-même. C'est Marie qui les transmit à la communauté primitive.
Il montre l'universalité et l'originalité du Magnificat : le renversement des hiérarchies humaines et des structures d'injustices pour nous faire entrer dans la révolution de l'Amour de Dieu. En ce sens, Marie ne serait-elle pas le Premier Évangéliste ?
Le Magnificat est la prière de Marie à son Dieu.
La prière de Marie s’accomplit en fait dans le « Magnificat », sa « profession de foi » (Luc, 1, 46-55). Ce n’est plus la prière à Marie, c’est la prière de Marie. Chacun de nous peut en faire sa prière quotidienne. Elle est, en effet, l’action de grâce de Marie qui a cru en la Parole de Dieu. Même si sa situation humaine est angoissante, elle peut louer Dieu pour sa miséricorde infinie, son « amour qui s’étend d’âge en âge » et reconnaître qu’il entend l’appel des pauvres et des petits. « Le Seigneur fit pour moi des merveilles ! Saint est son nom ! » Avec la Vierge Marie nous apprenons la louange et l’action de grâce, nous devenons disciples et nous ouvrons notre cœur au Seigneur. Soyons heureux de la prier et d’apprendre par elle à prier Dieu notre Père.
01.- MAGNIFICAT L'ÉTERNEL
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
02 - MERCI SEIGNEUR DIEU POUR MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La place de la Vierge Marie dans notre vie de chrétien est d'abord celle que Dieu lui donne: « Femme, voici
ton fils » « Voici ta Mère » ((Jn 19, 25-34).
Avec Dieu, pour toujours, nous sommes les enfants de la Vierge Marie. Au pied de nos Croix, elle est debout.
Si le vin de la foi, de l'espérance, de la charité vient à manquer... la Vierge Marie est là, pour nous aider à
nous ouvrir à l’Esprit de son Fils : « Tout ce qu’il vous dira, faites-le » (Jn 2, 5).
Elle peut transformer notre pénurie en abondance afin de louer Dieu au chant de son Magnificat.
Saint Jean Baptiste de la Salle insiste : " Prions la Très Sainte Vierge Marie avec audace et confiance, sûrs d’être entendus,
compris, devinés même."
Prière à la Vierge Marie de Saint Jean-Baptiste de La Salle (1651-1719) : "Je vous salue, ô Mère de mon Dieu"
Je Vous salue,
Ô chaste et parfaite Marie !
Vous êtes de Grâces remplie,
Le Seigneur est avec Vous,
Vous êtes par-dessus
Toutes femmes bénie,
Et le fruit qui de Vous
Tire Sa sainte Vie
C’est Jésus qui nous bénit tous.
Incomparable Mère
D’un Fils qui n’a que Dieu pour Père
Priez pour nous présentement,
Et lorsque nous serons
A notre heure dernière,
Comme à peine en mourant,
On songe à la prière,
Priez pour nous plus ardemment. - Ainsi soit-il.
02.- MERCI SEIGNEUR DIEU POUR MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
03 - JE VOUS SALUE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Qui a écrit le Je vous salue Marie?
Le "Je Vous salue Marie", aujourd’hui prié aux quatre coins du monde en des langues différentes, s’appelait sous sa traduction latine Ave Maria. Cette prière iconique de la religion catholique a une particularité : elle est composée à la fois
d’une louange et d’une supplication.
a/ La louange
“Je vous salue Marie, pleine de grâce
Le Seigneur est avec vous
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.”
Ces quatres célébrissimes lignes sont tirées du premier chapitre de l’Évangile selon Saint Luc. La première partie vient de l’Annonciation de l’ange Gabriel à Marie : “L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »”,
Luc 1, 28. Elle correspond à la façon dont l’ange salue la Vierge, emprunte de respect et de confiance. Il lui annonce la naissance de Jésus, et Marie lui répond ce “Oui” si célèbre, qui a changé la face du monde.
La seconde partie provient de l’épisode de la Visitation, également relaté dans l’Évangile de Saint Luc. Élisabeth, remplie d’Esprit Saint, s’exclame : “Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.”, Luc 1, 42.
b/ La supplication
“Sainte Marie, Mère de Dieu
Priez pour nous, pauvres pêcheurs.
Maintenant, et à l’heure de notre mort. Amen.”
La seconde partie du Je vous salue Marie est une supplication, une demande faite à Dieu par l’intermédiaire de la Vierge Marie, d’intercéder pour notre Salut. Elle ne tire pas son origine des Écritures, et apparaît plus tard que la première partie dans les prières des chrétiens.
Cette seconde partie du Je vous salue Marie, quant à elle, apparaît entre le XIIème et le XIVème siècle.
Cette prière devient la prière la plus adressée à la Mère de Dieu.
Elle est bien sûr écrite et priée en latin, sous le nom d’Ave Maria, et n’arrive en français que bien plus tard.
03.- JE VOUS SALUE MARIE JE VOUS SALUE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04 - JE N'AI QUE MON SILENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Pourquoi prier Marie, puisque Jésus nous dit que pour aller vers le Père il faut passer par Lui et qu’Il est le seul Chemin ?
Marie « comblée de grâce » (Luc 1, 28). C’est ainsi que l’ange Gabriel s’adresse à cette humble jeune fille auprès de laquelle il vient de la part du Seigneur. Et il ajoute « le Seigneur est avec toi. » Et aussitôt après : « Tu es bénie entre toutes les femmes et le fruit de tes entrailles est béni. » (Luc 1, 42-45) Quand nous disons notre prière quotidienne à la Vierge Marie, le « Je vous salue Marie », nous reprenons les mots mêmes de l’Evangile. C’est donc la Parole de Dieu puisque, par l’ange, c’est Dieu qui parle !
Cette prière est aussi une prière trinitaire puisque l’Esprit du Seigneur est en Marie qui, par la volonté du Père nous donne le Fils : « L’Esprit-Saint viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre. » (Luc 1,34)
Prier ainsi est une reconnaissance de la vie trinitaire présente en Marie. A partir de cet évangile, notre prière est aussi reconnaissance de l’œuvre de Dieu en Marie. Prier celle qui est choisie par Dieu comme mère nous fait rappeler que le Christ, la deuxième personne de la Trinité « a pris chair de la Vierge Marie » selon les mots du Credo. En priant Marie, mère de Dieu, nous nous reconnaissons davantage enfants de Dieu et donc enfants de la Vierge Marie. Comment Dieu ne pourrait-il pas vouloir que nous soyons des enfants aimants de celle qui est sa mère et notre mère ? Penser que cette piété filiale envers Marie serait une atteinte à Dieu est manifestement contraire à la Parole même de Dieu que nous livrent les évangiles.
Marie nous apprend à prier
A Lourdes, lorsqu’elle se manifeste à Bernadette, avant toute chose, la « Belle Dame » lui apprend à faire le signe de la croix. C’est bien à la sainte Trinité que Marie se réfère, à la grâce baptismale que Bernadette a reçue. Par ailleurs, l’attitude de Marie rapportée par l’évangile nous fait entrer en prière : elle écoute la parole de Dieu, puis elle y répond « Voici la servante du Seigneur. Que tout se passe selon ta parole. » (Luc 1, 38) Plus loin, c’est une autre attitude priante qu’évoque l’évangile de saint Luc (2, 19.51) : « Marie retenait et méditait toutes ces choses dans son cœur. »
La foi, la confiance aimante, l’acceptation joyeuse de la volonté divine permettent à Marie d’être une « priante », le modèle de toute personne qui prie. Dans le « Je vous salue Marie » et donc, le chapelet et le rosaire, nous retrouvons cet itinéraire de foi lié aux mystères de la foi .Quand elle se manifeste sur la terre et vient visiter ses enfants, Marie, notre Mère, ne manque pas de les inviter à prier et à le faire par le chapelet. La prière du chapelet est la prière des petits et des humbles, des malades et des pauvres. Elle est parfois oubliée par « les savants et les sages ». Mais c’est en devenant « petit » qu’on peut en découvrir la saveur, le parcours évangélique en suivant la vie du Christ et l’universalité. Le chapelet est la prière de tous. Certains se sont moqués de son caractère répétitif. Si nous voulons honnêtement approfondir la valeur de cette prière nous pourrons relire avec profit l’Exhortation apostolique de Jean-Paul II publiée le 16 octobre 2002 sur « Le Rosaire de la Vierge Marie ». C’est dans cette lettre qu’il offre un nouveau chemin de méditation avec Marie : « les mystères lumineux » de la vie du Christ. Le chapelet nous ramène toujours au Christ : c’est en réalité une prière « christocentrique ».
04.- JE N'AI QUE MON SILENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
04.- JE N'AI QUE MON SILENCE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
05 - TU DESSINES AUJOURD'HUI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Marie « comblée de grâce » (Luc 1, 28). C’est ainsi que l’ange Gabriel s’adresse à cette humble jeune fille auprès de laquelle il vient de la part du Seigneur.
Et il ajoute « le Seigneur est avec toi. » Et aussitôt après : « Tu es bénie entre toutes les femmes et le fruit de tes entrailles est béni. » (Luc 1, 42-45)
Quand nous disons notre prière quotidienne à la Vierge Marie, le « Je vous salue Marie », nous reprenons les mots mêmes de l’Evangile. C’est donc la Parole de Dieu puisque, par l’ange, c’est Dieu qui parle !
Cette prière est aussi une prière trinitaire puisque l’Esprit du Seigneur est en Marie qui, par la volonté du Père nous donne le Fils : « L’Esprit-Saint viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre. » (Luc 1,34)
05.- TU DESSINES AUJOURD'HUI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
06 - MARIE anagramme d'AIMER
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La piété mariale est souvent associée à un culte sentimental et populaire,
réservé aux enfants, aux ignorants ou aux croyants d’un autre âge.
Or une authentique piété mariale transporte au cœur de la foi chrétienne, de telle sorte qu’il devient impossible de dissocier Marie de l’action de la Trinité en faveur des hommes.
06.- AIMER ANAGRAMME DE MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07 - SANCTA MARIA je viens vers toi
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
La foi, la confiance aimante, l’acceptation joyeuse de la volonté divine permettent à Marie d’être une « priante », le modèle de toute personne qui prie. Dans le « Je vous salue Marie » et donc, le chapelet et le rosaire, nous retrouvons cet itinéraire de foi lié aux mystères de la foi .Quand elle se manifeste sur la terre et vient visiter ses enfants, Marie, notre Mère, ne manque pas de les inviter à prier et à le faire par le chapelet.
La prière du chapelet est la prière des petits et des humbles, des malades et des pauvres. Elle est parfois oubliée par « les savants et les sages ». Mais c’est en devenant « petit » qu’on peut en découvrir la saveur, le parcours évangélique en suivant la vie du Christ et l’universalité.
07.- SANCTA MARIA JE VIENS VERS TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
07.- SANCTA MARIA JE VIENS VERS TOI
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
08 - DONN'MOI LA MAIN MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Comment la Vierge Marie peut-elle m’aider à être missionnaire à ma façon ?
ous Vivre en étant disciple missionnaire, comme le demande le pape François, est loin d’être facile tous les jours. Rester avachi sur son canapé ou mener une vie trop chargée, nous oscillons souvent entre ces deux écueils. Or toutes ces situations peuvent nous écarter du chemin de la foi, de la charité et de l’espérance, chemin auquel nous sommes tous appelés !
Et pourtant, le Christ n’a-t-il pas mis sur notre route la plus grande des missionnaires ? Marie, celle qui a accueilli Jésus dans sa grande pureté et sa simplicité, a été chargée d’une mission de la plus haute importance : « porter celui qui porte tout”. Elle peut en ce sens devenir notre meilleure alliée. Mère de Jésus, Marie est également notre Mère du Ciel : se confier à elle est donc d’autant plus normal qu’elle veille sans cesse sur chacun de nous, ses enfants. C’est également dans les moments d’épreuves, lorsque l’on vit sa mission de baptisé dangereusement ou loin de nos habitudes, que sa présence est primordiale à nos côtés. En ces temps de pandémie et ce mois de mai, dédié à la Mère du Christ, laissons-nous enseigner par ses soins.
Apprendre à dire “oui”
Comme Marie a su dire “Oui” à l’ange Gabriel et au projet de Dieu, sachons nous aussi accepter ce que Dieu attend de nous. Être missionnaire, c’est se mettre à l’écoute du Seigneur, de Marie, et de notre prochain. Ayons, comme la Vierge Marie, ce courage de faire confiance et d’accueillir avec humilité et simplicité chaque petit événement qui arrive dans notre vie. Qu’ils soient heureux ou parfois moins réjouissants, ces moments sont porteurs d’un message d’espérance et d’amour du Seigneur.
Pour parvenir à bien contempler et accueillir le projet de Dieu dans notre vie, le silence intérieur est une clé essentielle. C’est ce silence de Marie, qui médite tout dans son cœur, que le chrétien est appelé à observer. Il permet de pouvoir dire et redire “oui” chaque jour au Seigneur. Un “oui” de joie et de simplicité. Se mettre dans les pas de Marie, c’est donc suivre son exemple vertueux en vivant selon une discipline particulière : la discipline de la joie !
Apprendre à prier avec Marie
On ne peut pas être missionnaire sans donner une grande importance à la prière dans sa vie. En effet, c’est elle qui va rythmer nos activités, nous donner de la joie, et même quelques coups de pouce en temps d’épreuve. Pourquoi alors ne pas se tourner vers Marie, la reine de l’intercession ? Soutien pour tous ceux qui se placent sous sa protection, la sainte Vierge intercède auprès de Jésus son fils en notre faveur et accompagne ceux qui lui sont dévoués. En récitant des “Je Vous salue Marie”, en priant fidèlement le chapelet, et même en prononçant l’Angélus, la foi d’un chrétien et son espérance vont grandissantes ! Car même dans les difficultés, Notre Dame accompagne et rassure par la prière. Quoi de mieux pour illuminer sa vie que de laisser entrer dans son cœur la tendresse de notre Mère du Ciel ?
Apprendre à prier avec Marie
On ne peut pas être missionnaire sans donner une grande importance à la prière dans sa vie. En effet, c’est elle qui va rythmer nos activités, nous donner de la joie, et même quelques coups de pouce en temps d’épreuve. Pourquoi alors ne pas se tourner vers Marie, la reine de l’intercession ? Soutien pour tous ceux qui se placent sous sa protection, la sainte Vierge intercède auprès de Jésus son fils en notre faveur et accompagne ceux qui lui sont dévoués. En récitant des “Je Vous salue Marie”, en priant fidèlement le chapelet, et même en prononçant l’Angélus, la foi d’un chrétien et son espérance vont grandissantes ! Car même dans les difficultés, Notre Dame accompagne et rassure par la prière. Quoi de mieux pour illuminer sa vie que de laisser entrer dans son cœur la tendresse de notre Mère du Ciel ?
Apprendre à prendre soin des autres
Marie porte un regard attendri sur chacun de ses enfants qu’elle prend sous son manteau. Elle sert la volonté de Dieu avec bienveillance. C’est avec amour qu’elle a élevé le petit Jésus pour qu’il remplisse sa mission sur Terre. À notre tour alors, en nous mettant à son exemple et en suivant ses pas, de prendre soin des autres. À nous, chrétiens baptisés de prendre soin de chaque vie comme d’un trésor et de l’aider à s’épanouir sous le regard attendrissant de Marie. Cette mission, très simple, est réalisable au quotidien, dans son travail ainsi qu’avec son entourage. En prenant les plus fragiles sous son manteau, le chrétien vit sa mission de baptisé en union avec Marie guidant ses pas : il observe cette discipline si belle que la Vierge porte en elle : celle de l’amour.
08.- DONNE MOI LA MAIN MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09 - TOI NOTRE DAME DE LA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Mais qui est donc Notre-Dame-de-la-Route? Notre-Dame-de-la-Route (du nom de la Maison des jésuites à Fribourg)
Une «Madone» chère aux jésuites, où plus précisément la représentation de la Vierge Marie avec l’Enfant Jésus qu'elle tient de sa mains gauche, une œuvre qui se trouve dans la chapelle latérale gauche de l’église du Gesù, à Rome.
Certains se demandent pourquoi les jésuites célèbrent la Vierge Marie le 22 avril? Pourquoi une fête en dehors de celles déjà célébrées par L’Église?
Plusieurs événements de la vie de Saint Ignace et de la Compagnie de Jésus sont liés à Marie:
- Quand Ignace en 1522 quitte la maison familiale de Loyola, en Pays basque, il rejoint le monastère de Montserrat, près de Barcelone. Dans la nuit du 24 mars, dans un geste de rupture avec sa vie ancienne, il accroche ses habits militaires et ses armes devant la statue de la Vierge noire.
- Le 15 août 1534, le jour de l’Assomption, à l'issue de la messe célébrée par Pierre Favre sj, les sept compagnons de la première heure prononcent les deux vœux de pauvreté et chasteté, et le troisième de se rendre dans les deux ans en pèlerinage à Jérusalem pour y convertir les infidèles
- Et en 1538, Ignace célébre sa première messe dans une église qui est consacré à la vierge Marie: l’église Santa Maria Maggiore à Rome.
La prière, un vrai coeur à coeur avec Dieu, est au centre de la vie de tout chrétien.
C’est un cadeau immense que nous fait Dieu et pourtant elle nous donne parfois bien du mal.
09.- TOI NOTRE DAME DE LA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
09.- TOI NOTRE DAME DE LA ROUTE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10 - SALVE REGINA - SANCTA MARIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Salve Regina, Salut ô Reine
La plus célèbre des Antiennes adressées à Marie.
Elle est Reine bien sûr, mais l’auteur Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au XIe siècle, l’appelle aussitôt Mère de Miséricorde et ses yeux miséricordieux sont tournés vers nous.
Cette prière chantée: "Salve Regina-Sancta Maria", reprend les deux grandes expressions :
Salve Regina-Sancta Maria ne cherchant à établir qu'un simple moment de prière c'est-à-dire de relation personnelle avec Dieu,
"Salve Regina-Sancta Maria" nous rappelle que la prière c'est se laisser aimer par Dieu
et répondre à son amour, comme Marie s'est laissée aimer par Dieu.
10.- SANCTA MARIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
10.- SALMVE REGINA SANCTA MARIA
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11 - TOURNE, TOURNE ENTRE MES DOIGTS CES GRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Le chapelet est la prière de tous. Certains se sont moqués de son caractère répétitif. Si nous voulons honnêtement approfondir la valeur de cette prière nous pourrons relire avec profit l’Exhortation apostolique de Jean-Paul II publiée le 16 octobre 2002 sur « Le Rosaire de la Vierge Marie ». C’est dans cette lettre qu’il offre un nouveau chemin de méditation avec Marie : « les mystères lumineux » de la vie du Christ. Le chapelet nous ramène toujours au Christ : c’est en réalité une prière « christocentrique ».
Le rosaire comporte quatre chapelets. C’est un ensemble de prières successives dédiées à Marie, interrompues à intervalles réguliers par une prière à Dieu le Père (Notre Père). Chaque série est consacré à la méditation d’un passage d’Evangile dans lequel Marie joue un rôle central. Cette prière répétitive datée du XIIIe siècle vise à nous faire entrer dans la vie de Marie, modèle du chrétien.
La pédagogie du Rosaire permet de contempler le Dessein d’Amour du Seigneur et d’intercéder pour le monde, avec la Vierge Marie, Mère de Dieu, Mère des hommes.
“Qu’elle est grande la puissance de la prière !” nous disait Sainte Thérèse de Lisieux, qui, déjà enfant, s’endormait son chapelet à la main.
La neuvaine (du latin “novem”), telle que proposée par l’Eglise catholique, consiste à prier durant neuf jours consécutifs, généralement pour confier à Dieu une intention ou demander une grâce particulière.
Cette forme traditionnelle de prière, très populaire et encouragée par l’Eglise depuis le Moyen-Âge,
fait généralement recours
à l’intercession de la Vierge Marie. .`
11.- CES GRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11.- CES FRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11.- CES GRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
11.- CES GRAINS DE CHAPELET
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
12 - PRIÈRE - JE VOUS SALUE MARIE de Georges Brassens
Paroles : Francis JAMMES
Musique : Georges BRASSENS
Mélodie
Brassens a utilisé deux fois la même mélodie, d'abord sur le poème d'Aragon, Il n'y a pas d'amour heureux, puis sur celui de Francis Jammes, La prière.
Il s'en est expliqué dans une interview où il raconte qu'au XIXème siècle circulaient des mélodies de base (un peu comme pour le blues en jazz) sur lesquels les chanteurs pouvaient faire coller les paroles qu'ils avaient composées. Ces mélodies passe-partout s'appelaient des "timbres".
Les timbres ont été utilisés jusque dans les années 50 en France, notamment par les chansonniers du Grenier de Montmartre (sur Paris Inter) qui écrivaient ou même improvisaient des couplets d'actualité sur des airs standards, dont le public reprenait les refrains.
Mais voyant que ce qu'il avait cherché à ressusciter était mal compris,
("Qui c'est ce flemmard qui nous sert deux chansons sur le même air?") Brassens ne renouvela pas l'expérience.
Complément
Maxime Le Forestier a fait remarquer l'ironie de cette situation:
les deux seuls textes que Brassens a dotés d'une même musique sont l'un du très communiste Aragon et l'autre du très catholique Francis Jammes.
Calvaire
A l'origine, le poème de Francis Jammes Les mystères douloureux (1905), comportait 5 couplets :
1- Agonie
2- Flagellation
3- Couronnement d'épines (supprimé par G.B.)
4- Portement de croix
5- Crucifiement
Dans le 3) (Couronnement d'épines), F. Jammes réfléchissait sur son sort de poète et cherchait vers le Christ son inspiration.
"Par le poète dont saigne le front qui est ceint des ronces des désirs que jamais il n'atteint : Je vous salue, Marie"
Il faut savoir que Jammes était résolument chrétien, particulièrement en 1905, où il s'était de nouveau adonné à la pratique religieuse. Il est intéressant de remarquer que GB, loin d'être un fervent catholique, a néanmoins choisi de chanter une prière particulièrement pieuse.
Le couplet "Invention de Notre Seigneur au Temple", est écrit quant à lui par GB en personne. Ce titre est probablement choisi pour indiquer que ce couplet est une contribution de GB au poème. Contribution assez ironique toutefois, puisque GB se compare à "Notre Seigneur" (sous-entendu le Christ). De la même façon que Jammes comparait son travail de souffrance dans le 3e couplet à celui du Christ. Ainsi, GB se moquerait-il de F.J. dans cet ultime couplet, répondant sous des accents christiques aux implorations de F.J. ?
- PRIÈRE de L'ANGELUS -
L'Angelus est une magnifique prière qui rappelle trois fois par jour à notre mémoire ce mystère ineffable qui s'est réalisé le jour de l'Annonciation : l'union de la nature divine et de la nature humaine dans la personne du fils de Dieu,
deuxième personne de la sainte Trinité,
et une créature est devenue la Mère de Dieu.
De nos jours cette belle prière est tombée plus ou moins en désuétude,
comme beaucoup de dévotions populaires suite à la crise de la foi de ces dernières décennies.
L'origine provient sans doute de l'usage de la récitation quotidienne de trois Ave Maria recommandée par
saint Antoine de Padoue (1195 - 1231) et par sainte Mechtilde de Helfta (1241 - 1298).
Saint Bonaventure aurait proposé lors d'un chapitre général en 1269 la récitation de trois Ave,
le soir après complies, en méditant sur le mystère de l'Incarnation.
Saint Bonaventure eut bien soin à cette occasion de faire tinter la cloche pour appeler religieux
et fidèles à réciter les trois Ave après complies.
Cette coutume des trois Ave accompagnés de la cloche se trouvent encore mentionnée au XIVème et XVème siècle.
Au XVIème on introduisit l'usage de séparer les trois Ave par trois versets et leurs répons,
sensiblement les même que ceux en usage actuellement.
C'est donc depuis plus de quatre siècles que les fidèles chrétiens honorent trois fois par jour la sainte Vierge
dans son mystère de l'Annonciation par la prière de l'Angelus telle que nous la connaissons.
Que le tintement des cloches le matin, midi et soir, qui existe encore dans beaucoup de village, ne nous laisse pas indifférents :
c'est un appel à honorer Marie, Mère de Dieu, à rendre grâce à Dieu de l'incarnation du Fils de Dieu pour notre salut.
Cet événement qui, tout en transcendant le temps, a eu lieu dans un moment précis de l'histoire,
est le plus important de l'histoire humaine.
- L’ange du Seigneur porta l’annonce à Marie.
- Et elle conçut du Saint-Esprit.
Je vous salue Marie,
pleine de grâce
Le Seigneur est avec vous,
vous êtes bénie entre toutes les femmes
et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie,
Mère de Dieu,
priez pour nous,
pauvres pécheurs
maintenant et à l’heure de notre mort.
- « Voici la servante du Seigneur.
- Qu’il me soit fait selon votre parole. »
Je vous salue Marie,...
- Et le Verbe s’est fait chair.
- Et il a habité parmi nous.
Je vous salue Marie,...
- Priez pour nous, sainte Mère de Dieu.
- Afin que nous devenions dignes des promesses du Christ.
Prions le Seigneur.
Que ta grâce, Seigneur notre Père,
se répande en nos cœurs ;
par le message de l’ange,
tu nous as fait connaître l’incarnation de ton Fils bien-aimé ;
conduis-nous, par sa passion et par sa croix,
jusqu’à la gloire de la Résurrection.
Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.
Amen.
1.- Par le petit garçon qui meurt près de sa mère
Tandis que des enfants s'amusent au parterre
Et par l'oiseau blessé qui ne sait pas comment
Son aile tout à coup s'ensanglante et descend
Par la soif et la faim et le délire ardent
Je vous salue, Marie.
2.- Par les gosses battus, par l'ivrogne qui rentre
Par l'âne qui reçoit des coups de pied au ventre
Et par l'humiliation de l'innocent châtié
Par la vierge vendue qu'on a déshabillée
Par le fils dont la mère a été insultée
Je vous salue, Marie.
3.- Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids
S'écrie: " Mon Dieu ! " par le malheureux dont les bras
Ne purent s'appuyer sur une amour humaine
Comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène
Par le cheval tombé sous le chariot qu'il traîne
Je vous salue, Marie.
4.- Par les quatre horizons qui crucifient le monde
Par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe
Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains
Par le malade que l'on opère et qui geint
Et par le juste mis au rang des assassins
Je vous salue, Marie.
5.- Par la mère apprenant que son fils est guéri
Par l'oiseau rappelant l'oiseau tombé du nid
Par l'herbe qui a soif et recueille l'ondée
Par le baiser perdu par l'amour redonné
Et par le mendiant retrouvant sa monnaie
Je vous salue, Marie.
12.- LA PRIÈRE
Paroles : Francis JAMMES
Musique : Georges BRASSENS
13 - ON N'A JAMAIS ENTENDU DIRE
Musique : Jean-Claude GIANADDA
Prière de Saint Bernard
Souvenez-vous
ô très misécordieuse Vierge Marie,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours
à votre protection,
imploré votre assistance
ou réclamé vos suffrages,
ait été abandonné.
Animé de cette confiance,
ô Vierge des vierges, ô ma mère,
je viens vers vous,
et gémissant sous le poids
de mes péchés,
je me prosterne à vos pieds.
O Mère du Verbe incarné,
ne méprisez pas mes prières,
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer.
Amen.
13.- ON N'A JAMAIS ENTENDU DIRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
13.- ON N'A JAMAIS ENTENDU DIRE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
14 - VOUS ÉTIEZ LÀ MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Comment ne pas comprendre l'attachement filial de millions de croyants à une figure féminine, perçue comme plus proche, plus douce et consolatrice que celle d'un Dieu, fût-il tendre et attentionné ? Marie est celle qui protège, guide, apaise….
Marie est avant tout une femme qui, parce qu'elle a répondu la première à l'amour total de Dieu, nous guide à faire de même.
Figure discrète et silencieuse de l'Évangile, Marie est d'abord Celle qui conduit à Jésus.
Notre-Dame des Douleurs (ou plus souvent : Notre-Dame des sept Douleurs), et invoquée en latin comme Beata Maria Virgo Perdolens, ou Mater Dolorosa, est l'un des nombreux titres par lesquels l'Église catholique vénère la Vierge Marie, mère de Jésus.
Le titre souligne l’association de la mère à la souffrance de son fils. Les « sept douleurs » font référence aux événements, relatés dans les évangiles, qui firent souffrir la mère de Jésus dans la mesure où elle accompagnait son fils dans sa mission de Rédempteur. Le mois de septembre est dédié à Notre-Dame des Douleurs qui est liturgiquement commémorée le 15 septembre.
14.- VOUS ÉTIEZ LÀ MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
14.- VOUS ÉTIEZ LÀ MARIE
Paroles et musique : Jean-Claude GIANADDA
Quelles sont les principales fêtes mariales
Parmi les fêtes de Marie, nous rencontrons, dès le V° siècle, l'Annonciation au 25 mars, bientôt après, la Purification au 2 février, instituée par Justinien à Constantinople en 541, à l'occasion d'une maladie pestilentielle. La fête de la Dormition ou de l'Assomption de la Sainte Vierge remonte aussi au VI° siècle, témoin irrécusable de la croyance de l'Eglise sur ce point. La tradition de l'Assomption corporelle de la mère de Dieu, consignée dans les écrits apocryphes de saint Jean l'Evangéliste, au IV° siècle, est rapportée par Juvénal de Jérusalem, par le Pseudo-Aréopagite et par saint Grégoire de Tours. La Nativité de la Sainte Vierge, au 8 septembre, universellement célébrée en Orient dès le VII° siècle, ne le fut que depuis le XI° en Occident.
8 décembre - Immaculée Conception
C'est au XIIe siècle que s'élaborent les premiers traités théologiques sur l'Immaculée Conception de Marie Et c'est à cette époque aussi que le culte populaire de Notre-Dame dans le Mystère de sa conception immaculée prend de l'importance. Après la proclamation du dogme, en 1854, cette fête liturgique sera élevée au rang de solennité.
1° janvier - Sainte-Marie, Mère de Dieu
Dans la liturgie d'Orient, en référence à la proclamation du concile d’Éphèse, la maternité divine de Marie était fêtée le lendemain de Noël. Pie XI, en 1932, à l'occasion du 1500e anniversaire du concile d’Éphèse, décide d'étendre cette solennité à l'Église universelle.
2 février - Présentation du Seigneur au Temple
Encore appelée fête de la Purification de Marie, celle-ci était célébrée par l'Église de Jérusalem dès avant le IVe siècle. Elle s'est ensuite progressivement dénommée fête des lumières (d'où le nom de Chandeleur, de la même racine que chandelle, cierge) en s'étendant à tout l'Empire d'Orient. Elle a été introduite dans la liturgie au VIIe siècle pour rappeler la montée de la sainte famille au Temple de Jérusalem.
11 février - (facultative) de Notre-Dame de Lourdes
Fête qui célèbre la première apparition de la Vierge à Bernadette Soubirous. Jean-Paul II a fait également de cette fête la Journée mondiale des malades, en raison du très grand nombre de personnes malades qui, chaque année, se rendent en pèlerinage à Lourdes.
25 mars - Annonciation du Seigneur
Célébrée dès le Ve siècle, l'Annonciation a été ensuite élevée au rang de solennité. Comme son nom l'indique, on y fête l'annonce de la venue du Messie à la suite du message de l'Ange à Marie et de son «Oui».
31 mai - Visitation de la Vierge Marie
Samedi après Sacré-Coeur - Coeur Immaculé de Marie
(le 22 août au calendrier traditionnel)
Ce n'est qu'à la fin du XIVe siècle que le pape Urbain VI déclare que la fête de la Visitation de Marie à Élisabeth fera l'objet d'une célébration particulière dans le calendrier liturgique. Jusqu'alors, cette fête se tenait à des dates variées durant la période de l'Avent.
16 juillet - (facultative) Notre-Dame du Mont-Carmel
Au milieu du XIIe siècle, des ermites s'établissent sur les pentes du mont Carmel (près d'Haïfa, en Israël), où la tradition situe la grotte du prophète Elie. Ils se groupent autour d'un oratoire dédié à la Vierge Marie. Sous la pression musulmane, certains d'entre eux fuient vers l'Europe où ils se font reconnaître par le pape Honorius III. Cette fête fait mémoire de la fervente dévotion mariale de la famille carmelitaine dès ses origines.
5 août - (facultative) Sainte-Marie-Majeure
Dès les premiers siècles de l'histoire de l'Église, la Vierge Marie sera honorée de manière particulière et une basilique lui sera spécialement dédiée. La liturgie fait mémoire de la dédicace - c'est-à-dire la consécration - de cette basilique, la première du genre, juste après la proclamation de la maternité divine de Marie au concile d'Ephèse, en 431.
15 août - Assomption de la Vierge Marie
Fêté dès le Ve siècle par les églises d'Orient et d'Occident sous le vocable de «Dormition de la Vierge», le 15 août célèbre le fait que Marie est montée corps et âme au ciel. Cette solennité a pris une grande importance en France depuis que le roi Louis XIII décida, en 1638, de faire de la Vierge la patronne principale de la France. C'est pour cette raison que depuis, le 15 août est un jour férié. En 1950, la proclamation du dogme de l'Assomption a donné encore plus d'importance à cette solennité de l'Église universelle.
22 août - Vierge Marie Reine
(Le Coeur Immaculé de Marie au calendrier traditionnel)
Fête qui clôturait, dans le passé, l'octave de l'Assomption : huit jours de fêtes et de célébrations. Aujourd'hui, seule la mémoire de cette fête a été conservée par le calendrier liturgique.
8 septembre - Nativité de la Vierge Marie
L'une des fêtes les plus anciennes de l'Église, en particulier en Orient. Elle figure au calendrier liturgique sans revêtir maintenant la solennité qui était la sienne à ses origines.
15 septembre - Notre-Dame-des-Douleurs
Cette mémoire est célébrée le lendemain de la fête de la Croix Glorieuse. L'époque patristique atteste déjà d'une dévotion naissante à la Mère des Douleurs (Mater Dolorosa). Très présente dans la liturgie d'Orient, particulièrement à l'occasion de la semaine sainte, elle passe en Occident à partir du Xe siècle. Il faudra cependant attendre le XIVe siècle pour que la fête de la «Compassion de Marie» s'étende progressivement à toute l’Église latine.
7 octobre - Notre-Dame-du-Rosaire
Au XIIe siècle se répand l'usage de réciter des Ave Maria par cinquantaines. Les Chartreux et les Dominicains orienteront progressivement cette dévotion en l'accompagnant de méditations sur les Mystères du Christ. Le Rosaire sera approuvé au XVe siècle par Rome comme prière de l'Église.
21 novembre - Présentation de la Vierge Marie
La tradition nous transmet ce premier épisode de la vie de la Vierge, celui où elle aurait été présentée au Temple de Jérusalem, 75 jours après sa naissance selon la loi de l'époque, pour y être consacrée à Dieu.
- Aide Humanitaires -
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- Père Pedro : Akamasoa-Tananarive-Madagascar
- Oeuvre de Ihousy tenue par les Soeurs de N.D de la Salette Madagascar